• Un drone survole le cimetière

    Photos de Aurélien Jollis, employé communal.

    Exploitation numérique de la gestion du cimetière

    Pour une mairie, la gestion d’un cimetière est toujours difficile et délicate. Pour faciliter la tâche, le CDG 47 (Centre de Gestion de la Fonction Publique Territoriale du 47) met en place des applications numériques qui permettront aux agents ou élus d’exploiter les données graphiques du cadastre pour la gestion du cimetière. Ces informations seront répertoriées sur le portail InfoGéo47, Système d’Informaion Géographique départemental mutualisé.

    Notre mairie de La Sauvetat du Dropt ne disposant pas de plans du cimetière suffisamment exploitables (échelle correcte, lisibilité…) a fait appel, par l’intermédiaire du CDG 47, à une société proposant des prises de vue aériennes par drone. Les clichés seront repris par InfoGéo47 puis numérisés. Et les secrétaires de mairie seront ensuite formées sur 1/2 journée pour maîtriser le logiciel.

    Prises de vue aériennes effectuées par un drone

    Après étude des devis, l’entreprise proposée par le CDG 47 dont la candidature a été retenue par la Mairie de La Sauvetat du Dropt est gérée par Monsieur Thierry Vialard de Boudy-de-Beauregard (47). Son entreprise BeauxregardDrone est spécialisée dans la photographie et la vidéo aérienne réalisées à partir de drones électriques.

    Pour ce travail de prises de vue du cimetière, il était secondé par Aurélien, un de nos employés municipaux qui a pris quelques photos de l’engin dont la piste d’atterrissage ressemble à s’y méprendre au tapis d’Aladin…

  • Curieux visiteurs à La Sauvetat du Dropt

    Nombreuses photos à télécharger si vous le souhaitez. Elles sont de Michèle, Martine et Isabelle.

    Visites croisées, visites guidée, la dernière de la saison

    Troisième et dernière visite guidée ce vendredi 22 juin à La Sauvetat du Dropt dans le cadre des visites croisées de nos bourgs, à l’initiative des Amis de Soumensac et de son président Benoît Boucard-Mussini.

    Belle participation puisque plus de 50 visiteurs se sont retrouvés sur la Place du Moulin où les attendaient leurs guides, Francine Pandolfo, présidente des Amis de La Sauveté pour la version française et Lesley Walker, sauvetatoise britannique, adoptée depuis plusieurs années, pour la version anglaise. Notons la présence de Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau, lui-même toujours en quête de découvertes quant au passé de sa commune.

    La visite guidée du village mêle à la fois l’histoire et la vie d’aujourd’hui entrecoupée d’anecdotes truculentes des années passées. Depuis les origines datant de l’installation d’abbés Prieurs au VI° siècle menant à la construction des murs d’enceintes, dont quelques vestiges subsistent, et du Pont Roman au cours des XII° et XIII° siècles dont une partie fut décidée par les Seigneurs de Caumont  en passant par les guerres de religion puis la quasi disparition du village en 1637 au cours de la Révolte des Croquants pour arriver au modeste mais dynamique village d’aujourd’hui.

    Le pont, en cours de restauration est inscrit aux monuments historiques. Joyau du village avec ses 11 arches de styles roman et 12 de style gothique, il est cependant sur le territoire de deux communes, celle de La Sauvetat du Dropt bien sûr mais aussi celle d’Agnac.

    Déambulant à travers rues et ruelles, les groupes ont pu découvrir le patrimoine bâti tel que les maisons à pans de bois joliment restaurées, la Maison de la Tour et Monviel dont on dit qu’elle fut propriété des Templiers, de belles portes aux linteaux romans, l’imposante église St Germain ou encore la maison renaissance.

    La visite se terminait par un apéritif convivial, pris, sur invitation des propriétaires, dans la cour de l’ancien Restaurant Ma Maison situé au cœur du village dans l’Avenue de Grammont. Cette belle bâtisse, il n’est pas interdit de divulguer l’information, attend un acquéreur.

    Conclusion de l’historien organisateur

    Pour clore cette série de 3 visites baptisées visites croisées, Benoît Boucard-Mussini prenait la parole pour remercier les organisateurs des 3 communes et se féliciter du succès semblant être un encouragement à recommencer dans les années futures. Il espère que d’autres communes se manifesteront pour participer à l’opération permettant ainsi de faire de nouvelles rencontres et de découvrir les trésors de nos petits villages de campagne.

    Découvrir La Sauvetat du Dropt

    Le parcours touristique de La Sauvetat du Dropt peut se faire à la demande en contactant la présidente des Amis de La Sauveté via le mail assos.sauvetat@gmail.com ou tout simplement en venant au village et en suivant les explications du dépliant que vous trouverez dans la Cabane-Info ou en scannant les qr-codes des plaques de couleur orange installées dans les rues et ruelles.
    Depuis chez vous, en consultant les pages du Circuit Touristique pour une version longue de l’histoire. Nous sommes bien sûr ouverts à tout complément d’information.

  • Prairie des Croquants parée pour les Soirées Gourmandes

    Nous savons que tous les bénévoles ne sont pas présents sur ces photos et que le travail de certains n’a pas été immortalisé. Qu’ils veuillent bien ne pas se froisser et nous en excuser. Il y aura toujours une place pour les occuper puis une place pour le verre ou le casse-croûte du travail partagé.

    Photos de Marie Requier et Germain Sauron, respectivement secrétaire et trésorier adjoint du Comité des Fêtes, de Constance Tenot, notre plus jeune bénévole venue avec ses parents et son frère et de Stéphane et Marie-Claire Bottin.

    C’est reparti pour les Soirées Gourmandes saison 2018

    La Prairie des Croquants retrouve son air de fête avec ses guirlandes lumineuses, ses fanions de couleurs et son kiosque « Comité des Fêtes ».

    Cette année, c’est donc le nouveau président Peter Cain qui a réuni tout son monde les vendredi 8 et samedi 9 juin pour parer aux hostilités. De nombreux bénévoles ont répondu à l’appel dont de jeunes recrues dynamiques, de nouveaux sauvetatois français ou britanniques que le groupe est heureux d’accueillir et même les copains des communes voisines que sont Moustier ou Soumensac.

    Chacun a trouvé sa place selon ses compétences. Une équipe à la vérification des chaises pour remplacer les embouts de pied manquants, deux équipes pour poser les guirlandes électriques et fanions perchées sur des nacelles sécurisées fixées sur le tracteur du paysan et le manuscopic du maçon, les équipes chargées de préparer ces guirlandes au sol et de veiller à leur bon déroulement, l’équipe de nettoyage des sanitaires et du local Comité des Fêtes, l’équipe de montage du kiosque, l’équipe du lavage des tables, l’équipe de pose des banderoles  …. Un travail de titan qui se fait chaque année dans la bonne humeur grâce aux nombreux volontaires présents.

    Les hostilités se terminent toujours autour de la table, pour un apéritif ou un joyeux gueuleton souvent composé de grillades où les anecdotes des années passées sont la base des échanges verbaux.

    Peter Cain peut être confiant pour la prochaine saison des Soirées Gourmandes qui débute le vendredi 6 juillet. L’as du débriefing et de la médiation est assuré que ses troupes sont prêtes et soudées pour accueillir les nombreux visiteurs qui ne manqueront pas de venir s’installer, le temps d’un repas champêtre à l’esprit guinguette, sur ce bel espace qu’est la Prairie des Croquants.

     

  • Fête des voisins, quartier du Temple

    Photos de Francis Secco, photographe amateur, membre du Club Objectif Duras.

    A La Sauvetat du Dropt comme dans les grandes villes, la Fête des Voisins s’organise par quartier. Une semaine après celle du quartier du Plantier, c’est vendredi 8 juin que le quartier du Temple réunissait les habitants de la place et de la rue du même nom agrandit de la Rue de la Pompe et de la Petite Rue des Fossés ainsi que de propriétaires loueurs venus en amis ou pour rejoindre les membres de leur famille.

    Dans ce quartier, ce sont Didier, Louise et Régine qui portent les invitations dans les boites aux lettres puis qui organisent. Le barbecue est traditionnel, les autres plats portés par tous sont partagés. Le repas s’est terminé à la nuit tombé par un joyeux lâcher de lanternes volantes qui sont parties haut dans le ciel au dessus du village. Une soirée paisible et conviviale immortalisée par les photos de Francis.

  • L’ASSA accueille l’Assemblée Générale du District 47

    Information et photos de Sylvain Michelet, Président de l’ASSA Football Club Pays du Dropt.

    Samedi 9 juin à 10h00 s’est déroulée, dans la salle d’animation de La Sauvetat du Dropt, l’Assemblée Générale du District 47 avec l’ensemble des présidents de club du district, le Maire Jean-Luc Gardeau et le Président de la Commission Sport de la Communauté des Communes Jean-Marie Farbos.

    Un apéritif a été offert par l’Assa suivi d’un repas dînatoire offert par le district à l’ensemble des 100 participants. Notons qu’André VINCENT a été distingué en recevant une médaille d argent. L’après midi, se sont déroulées 2 finales de championnats et 5 finales de coupes du district.

    Une organisation commune avec le district a permis au club de l’Assa d’accueillir environ 1000 spectateurs ainsi que 14 équipes sur des installations magnifiques du complexe sportif Pierre Périé et des stades communaux. Merci à tous les bénévoles du club pour ce gros travail de préparation et de réception. Merci également au district à son président, aux membres du bureau, aux délégués et aux arbitres de nous avoir aidés.

    Le temps était au rendez vous afin que cette journée soit merveilleuse sportivement.

  • Fête des voisins au Plantier

    Information de Francis Secco, habitant du Plantier, photographe amateur membre du Club Objectif Duras.

    Une trentaine de personnes se sont retrouvées pour la fête des voisins au lotissement du Plantier de La Sauvetat du Dropt autour d’un apéro Sangria suivi de différents plats réalisés par chacun. Le soleil était au rendez-vous ajoutant à la très bonne ambiance du moment.

  • Le maillot USS Cyclo à Bilbao

    Épique résumé de l’expédition de Paulo Labattut, secrétaire de l’USS Cyclo Club ayant participé au périple Bordeaux-Bilbao avec son ami Germain Sauron, trésorier du club et 1er adjoint à la commune de La Sauvetat du Dropt. Photos de Hervé et Régine Goulard et de Germain.

    Paulo, Hervé et Germain étaient inscrits à la Randonnée Cyclotouristique Bordeaux/Pampelune/Irun/Bilbao organisée du 10 au 12 mai 2018. Paulo et Germain sont réellement partis sur leur destrier mais Hervé a dû déclarer forfait suite à une mauvaise blessure. Il décidait néanmoins de faire l’assistance et de suivre en voiture accompagné de son épouse Régine et de l’épouse de Paulo, Louise.

    Jeudi 10 Mai 2018, 1ère étape. BORDEAUX, DAX

    5 heures, le réveil sonne déjà à Roumagne et La Sauvetat chez Hervé, Paulo et Germain. 7h30, nous voici rendus place Pey-Berland à Bordeaux. Après la confirmation d’inscription et avoir accroché nos plaques de cadre numérotées, nous apprécions le chocolat chaud avant de nous rapprocher de la ligne de départ.
    A peine sortis de Bordeaux, l’allure s’accélère sur les routes plates des landes, nous traversons Saucats, Moustey quand la première averse arrive aux alentours de Pissos.
    Pendant que nous mangeons à Commensacq la pluie redouble d’intensité, nous nous changeons et nous voilà repartis pour la deuxième partie du circuit, après Mourcenx les nuages s’éloignent, bientôt la route est sèche et c’est sous le soleil que nous atteignons Dax avec nos premiers 159 kms au compteur.

    Vendredi 11 Mai 2018, 2ème étape. DAX, PAMPELUNE

    Grosse étape en perspective avec 3 cols au programme. A peine partis nous attaquons déjà les premiers contreforts de Peyrehorade avec les Pyrénées comme panorama. Une erreur d’inattention nous éloigne du circuit officiel et nous regagnons St Palais par la départementale, pas grave si ce n’est le passage par plusieurs pentes de 10% avec un fort vent de face en prime. Dans la galère, nous sommes rattrapés par nos amis du cyclo club de Miramont qui ont fait la même erreur que nous (sûrement petit problème local).
    A midi nous mangeons ensembles sous le marché couvert à St Jean Pied De Port. La guardia civile espagnole arrive pour nous escorter en direction du col de Roncevaux 1057m. Chacun monte à son rythme, les efforts du matin ont laissé des traces! Au sommet, photo souvenir avec André et Jacques de Miramont qui nous ont attendus. Ensuite descente pour un ravitaillement officiel à Orreaga, encore 2 cols à franchir 800 et 922m et c’est toujours encadré par la police espagnole que nous regagnons Pampelune, 166 km de mieux.

    Mais où sont passés Louise, Régine et Hervé nos fidèles accompagnateurs? En panne de GPS, ils nous retrouvent enfin après 2 heures d’attente et quelques bières, il fallait bien meubler le temps. Par contre le GPS de Paulo fonctionne bien, pour rejoindre l’hôtel que nous avions réservé à une dizaine de km, il nous amène vers un vieil hôtel désaffecté qui portait le même nom! Avec l’aide des locaux et de Germain qui parle couramment espagnol, nous arrivons enfin à destination vers 21h! Mais comme un « bonheur » n’arrive jamais seul, pas de restaurant dans le quartier, nous nous rabattons sur le saucisson et le pâté que Régine et Hervé avaient glissé dans leurs bagages au cas où! Le signe des accompagnants pro.

    Samedi 12 Mai 2018, 3ème étape. PAMPELUNE, BILBAO

    Toujours escortés par la police, ce qui élimine systématiquement feux rouges et priorités, nous sortons de Pampelune avec la fraîcheur matinale. Grandes lignes droites montantes, vent de face par rafales, puis circuit par des petites routes graveleuses, enfin pas facile. Les premières giboulées font leur apparition avant la grosse averse juste avant midi.
    A 12h30 nous arrivons au ravitaillement à Zalduondo, trempés comme la soupe, comme on dit chez nous. Casse-croùte rapide, changement de tenue pour repartir secs, avec 7° seulement au thermomètre, pas évident.

    Des cyclistes espagnols locaux nous ont rejoints pour nous accompagner jusqu’à Bilbao. Nous empruntons des routes meilleures, la pluie s’estompe et la fin d’après midi se déroule relativement bien. Une dernière grande descente jusqu’à l’entrée de la ville, nous rattrapons un petit groupe de 7 personnes et ensemble, parcourons les derniers kilomètres sur la rocade. Le service d’ordre nous oriente vers la bretelle qui mène tout droit vers la ligne d’arrivée, chacun reprend son rythme de croisière, Paulo franchit la ligne sous les acclamations de ses supporters.
    Mais où est passé Germain? C’est pas possible, il était derrière moi à l’instant. Fâcheuse crevaison à 400m de l’arrivée, le voici qui déboule grande plaque 10 mn plus tard. Sacré Germain! Que ne ferait-il pas pour se faire remarquer? (humour bien sur).

    Ouf, les derniers 157 kms avalés, les vélos sur la voiture, maintenant place aux réjouissances. Pointage, remise symbolique de récompense, douche et direction la salle de réception avec discours officiel puis apéritif dînatoire pendant lequel chacun raconte ses anecdotes.
    Bilan très positif malgré les caprices de la météo, aucun accident ni incident grave à déplorer. Bravo aux organisateurs pour leur présence et leur convivialité sans faille.

    Nous voici réunis, tous les cinq, Régine, Hervé, Germain, Louise et Paulo. Ensemble, nous nous dirigeons vers ISLA où nous avions réservé. Le dimanche fût consacré au tourisme, entre les averses.
    Lundi, après un arrêt obligé à la frontière pour un dernier bon repas local, nous avons regagné calmement nos foyers.

    PS: Nous avions décidé de réaliser ce périple à 3 cyclistes de l’USS CYCLO: Hervé, Germain et Paulo. Malgré une chute sévère le 7 avril, qui lui a valu 5 fractures, 1 à l’aine (os litione), plus 4 côtes cassées, HERVÉ a quand même tenu à participer en qualité d’accompagnateur avec Régine et Louise. De plus c’est lui qui nous à servi d’assistance avec sa voiture. Tous nos vœux de rétablissement rapide et sincères remerciements à HERVÉ.

  • Dordogne intégrale en stand up paddle pour 3 présidents du CKC Vallée du Dropt

    Voici ce que l’on peut lire actuellement sur la page facebook du Canoë Kayak Club Vallée du Dropt.

    Envoyer les bonnes ondes !!!! Et déclenchez le VDD FOREVER.

    Nos deux derniers présidents, Boris Lesimple et Julien Le Naour et notre président actuel Olivier Cain sont alignés sur la Dordogne intégrale samedi 12 mai.

    Un périple en stand up paddle de 130 km entre Argentat et Castelnaud La Chapelle. Temps estimé – ou espéré – entre 10 et 12h. Top départ à 6h!! Résultats la semaine prochaine.

    Sur la photo prise avant le départ vendredi 11 mai, les 3 amis « frais »! De gauche à droite: Julien, Boris et Olivier. Prochaines photos et résultats la semaine prochaine.

  • Les Amis de La Sauveté fleurissent le village

    Après avoir créé, en 2017, un circuit jalonné de plaques numérisées dans le village de La Sauvetat du Dropt, Les Amis de La Sauveté souhaitent maintenant embellir certains lieux de passage. Notamment le tour de l’Église St Germain.

    Début avril, avec l’aide d’Aurélien, jeune employé communal, des plantations de terre de bruyère, acquises par l’association, ont été remplacées devant l’église: hydrangeas arbustifs, hortensias ou encore camelias.

    Parmi les changements notoires envisagés et approuvés par la municipalité, le dégagement de l’impasse qui mène de l’Avenue de Grammont vers l’arrière de l’église. Ce dégagement impliquant de supprimer l’énorme pied de lierre situé contre la grille et le portail à l’entrée de l’impasse. S’il est magnifique lorsqu’il est bien taillé, ce végétal n’incite pas le visiteur a poursuivre ses pérégrinations, laissant penser, à tort, que ce passage est privé. Cette coupe nette permettra, par la même occasion, de dégager la plaque signalant la naissance de Jacques Delmas de Grammont située contre le mur de l’ancien presbytère.

    Après le dégagement de cette entrée, des plantations devraient être effectuées tout au long de l’impasse, contre l’église. Cet espace est à l’ombre. Les Amis de La Sauveté ont demandé le concours de Maëlle Valdevit, paysagiste et conseillère municipale, de leur dresser une liste de végétaux adaptés. Liste remise avec un plan 3D des lieux fleuris tels que nous espérons le proposer ce prochain automne. De son côté, la Mairie propose de dresser une clôture de ganivelles contre le mur de la location communale située côté presbytère.

    Nul doute que cette collaboration Mairie – Amis de La Sauveté ne donne de bons résultats et n’incite le visiteur à flâner et utiliser les services de notre modeste mais dynamique village.

    Plantations devant l'église Plantation devant l'église Beau mais envahissant pied de lierre obstruant l'impasse Vue côté impasse Triste et sans couleur, cette portion de circuit sera embellie Projet de fleurissement simple et facile d'entretien imaginé par Maëlle
  • Le village dans le viseur d’Objectif Duras

    Partage de photos

    Le club photo Objectif Duras est toujours très actif et rayonne sur l’ensemble du territoire du Pays de Duras. Les nombreuses photos prises lors des sorties sont généreusement mises en ligne et téléchargeables sur le site du club. C’est ainsi que notre bibliothèque d’images vient de s’enrichir de nouvelles vues de La Sauvetat du Dropt prises fin mars, entre deux averses est-il précisé.

    Atelier Mémoire, saison 2

    Autre action menée par ce club, la mise en place d’Ateliers Mémoire qui permettent de réunir d’anciennes photos des villages et de leurs habitants et de les diffuser sous forme de diaporama. Le bureau des Amis de La Sauveté et sa présidente Francine Pandolfo tiennent à remercier Michel Michelot, qui vient de laisser sa place de président, pour l’élan donné à la création d’un Atelier Mémoire dans notre commune ainsi que Francis et Michèle Secco, sauvetatois et membres du club, pour le montage diffusé en octobre 2017. Suite au succès de cette projection, une date pour un nouveau diaporama est à nouveau proposée cette année, le samedi 20 octobre 2018.

    Place aux photos: le Pont Roman et sa partie romane maintenant restaurée, la croix des pèlerins, beaucoup d’eau sous les arches de la partie gothique du pont et incitation à la flânerie sur le beau sentier de verdure qui relie l’aire de camping-car à la Place du Moulin…

  • Employés municipaux et zéro phyto

    Verdissement des allées et bordures pour accueillir la biodiversité

    Loin de nous l’idée de vous parler d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître mais, à voir Jean-Marc et Aurélien entretenir les trottoirs à la bêche et à la binette, il nous revient à l’esprit l’image du cantonnier qui, autrefois, fauchait les banquettes et les fossés à la faux.
    Rien de dégradant ou d’associé à un retour en arrière, au contraire. Simplement une remise en question obligatoire et nationale avec l’interdiction d’utiliser les produits phytosanitaires pour diminuer les pollutions et préserver la santé de nos employés municipaux comme celle du public.

    Bien sûr, cette transition ne se fait pas sans mal et sans inquiétude. Pour le moment, ces nouvelles réglementations imposant le zéro phyto alourdissent la tâche et posent tout un questionnement. Si le désherbage chimique se faisait sur une petite journée, il faudra multiplier le temps par 10 pour faire le même travail de façon manuelle. Même en utilisant le nouveau matériel acquis par la commune: une souffleuse et un réciprocateur – débroussailleuse électrique à batterie, silencieuse, sans pollution et sans projection.

    La santé et la préservation de l’environnement avant tout, c’est très compréhensible, mais résidents et visiteurs devront être indulgents et accepter, dans un premier temps, que les allées et les bordures ne soient plus aussi nettes qu’auparavant. C’est bien d’ailleurs ce qu’il est difficile d’admettre par nos employés municipaux qui ont l’impression d’être dominés par la nature et supposent que le passant y verra un manque d’entretien.

    Rassurons les. Le changement sera progressif et il est l’affaire de tous. Comme d’autres communes avant la nôtre, il faudra certainement revoir l’aménagement des espaces verts et sensibiliser le public à une nature plus spontanée et plus sauvage qui favorisera le retour des abeilles, des papillons ou des nichées d’oiseaux. On peut imaginer, cela se pratique ailleurs, que les bordures de bâtiments ou de jardins soient enherbées ou fleuries et que les riverains prennent part à l’entretien de l’espace public.

  • Nouveaux romans et livres régionaux à la bibliothèque

    Françoise Ivars, responsable de la bibliothèque de La Sauvetat du Dropt, section des Amis de La Sauveté, vous fait part de l’arrivée de nouveautés sur ses rayons. Des livres d’auteurs régionaux pour la plupart, pour connaître l’histoire de notre région ou se détendre à la lecture d’un roman.

    Pour rappel, la bibliothèque est ouverte le mercredi après-midi de 14h30 à 17h. C’est aussi un lieu où se retrouvent les amateurs de scrabbles ou de rummikub. N’hésitez pas à venir pousser la porte pour un premier contact.

    « Au fil du Dropt » de Jacques Reix originaire de Port-Ste-Foy (24).

    De Capdrot à Caudrot, voici une invitation à une balade au fil du Dropt, jadis navigable… de villages en moulins, de châteaux en bastides. Laissez-vous porter par le charme de cette rivière aux soixante-six moulins dont l’auteur nous conte l’histoire, de la batellerie au chemin de fer, de la période gallo-romaine à l’époque contemporaine.

    Ce livre met en lumière le grand et le petit patrimoine qui constituent tous les éléments de cette « machine à rêver » qu’évoque si bien l’auteur. Conscients du passé mouvementé et laborieux de ces lieux de vie et de leurs liens sociaux, rêvons avec lui d’un avenir radieux fait d’échanges et de partages tout au long de la « Trame Bleue » de nos rivières (Jacques Constantin, raconteur de pays du Moulin de Cocussotte).

    « Chronique du patrimoine ferroviaire en Lot-et-Garonne » de Damien Follet, agriculteur à Lévignac de Guyenne.

    Saviez-vous que douze lignes de chemin de fer ont jadis sillonné les paysages du Lot-et-Garonne ? Le couloir de la Garonne a servi de colonne vertébrale à un réseau qui se développa en arête de poisson sur les rives droite et gauche du fleuve. Chaque chef-lieu de canton voulait son train et sa gare ! Pourtant, dans sa plus grande extension, vers 1930, le réseau ferré, qui semblait bien quadriller le territoire, ne comptait que 530 kilomètres de rails ! Dans les faits, la conception et la construction de ces lignes fut compliquée, et cela pour une durée de vie souvent abrégée à cause de leur faible rentabilité… Entre la fin du XIXe siècle et la seconde guerre mondiale, elles rendirent pourtant des services inégaux mais irremplaçables ! C’est sans doute le souvenir des dernières locomotives à vapeur ou celui du sifflement des turbines diesels, à la charnière des années 1960-1970, qui ont forgé la passion de Damien Follet pour l’histoire du rail. Après de longues années de recherches et des centaines de kilomètres parcourus, il nous livre une étude approfondie sur « l’épopée du rail » en Lot-et-Garonne. Au fil des pages et des images, nous prenons conscience de l’investissement humain, matériel et financier que la construction du chemin de fer a demandé. Il est important aujourd’hui de témoigner sur ce patrimoine disparu ou abandonné.

    « La liseuse » de Yvonne Robert du Mas d’Agenais que nous avons accueilli à l’occasion du Marché de Noël de 2017.

    Ninon, veuve et grand-mère encore jeune, est biographe dans une maison d’édition.
    Un jour, un vieux monsieur fait appel à leurs services pour la rédaction de sa biographie. Son récit en forme d’aveux va bouleverser Ninon qui se sent concernée.
    Qu’a-t-il bien pu divulguer pour l’affecter aussi douloureusement? Malheureusement il décède avant d’avoir tout dévoilé et de nombreuses questions restent posées. Elle ne peut en rester là. Elle doit savoir. Elle doit comprendre… Il lui semble évident que sa naissance et la vie de sa famille sont impliquées.
    D’Agen où elle réside, c’est dans le petit village du Mas-d’Agenais que vont l’amener ses investigations pour lesquelles elle va bouleverser ses habitudes de vie. Dans son esprit tourmenté elle espère faire entrer la lumière à travers les souvenirs d’une attachante vieille dame.
    Trouvera-t-elle des réponses? de l’affection? et, pourquoi pas, de l’amour?

    « Un Juif pour l’exemple » de Jacques Chessex

    1942 : l’Europe est à feu et à sang, la Suisse est travaillée de sombres influences. À Payerne, ville de charcutiers « confite dans la vanité et le saindoux », le chômage aiguise les rancoeurs et la haine ancestrale du Juif. Autour d’un « gauleiter » local, le garagiste Fernand Ischi, et du pasteur Lugrin, proche de la légation nazie à Berne, s’organise un complot de revanchards au front bas, d’oisifs que fascine la virilité germanique. Ils veulent du sang. Une victime expiatoire. Ce sera Arthur Bloch, marchand de bestiaux. À la suite du Vampire de Ropraz, c’est un autre roman, splendide d’exactitude, à l’atmosphère lourde, que nous donne Jacques Chessex. Les assassins sont dans la ville.