• Un nouveau président à la tête des Amis de la Sauveté

    Une assemblée générale repoussée en raison du Coronavirus !

    Programmée en mars 2020, l’Assemblée Générale des Amis de la Sauveté était bien sûr reportée à une date ultérieure et indéfinie en raison de l’événement épidémique. Finalement, c’est le lundi 3 août que l’association donnait rendez-vous aux membres actifs, tous masqués, pour élire un nouveau bureau. Étaient annoncées les démissions de la présidente Francine Pandolfo, depuis de nombreuses années à la tête de cette association, et de la secrétaire Françoise Ivars, retenue fréquemment par des obligations familiales loin de la commune. Françoise, également responsable du Point Lecture avec l’aide de Martine Brosse.

    Bilans positifs et candidatures masculines

    Après un bilan moral faisant état d’une année 2019 bien active puis un bilan financier positif et la constatation de l’annulation de nombreuses dates cette année, venait le temps du vote. C’est un jeune sauvetatois par son installation récente dans le village qui se proposait au poste de président. Jacques Foglia, retraité déjà actif auprès des associations, était accepté à l’unanimité. Spécialiste de randonnées pédestres dans son département de Haute-Savoie d’où il est originaire, Jacques annonçait qu’il poursuivrait les actions menées précédemment, notamment les repas traditionnels avec, bien sûr, le concours de ces dames puisqu’ils plaisent et sont suivis, et très certainement des innovations au niveau des balades.

    Un autre sauvetatois se présentait pour entrer dans le bureau, André Dubernard, lui aussi déjà membre actif des associations. Élu aussitôt par l’assistance et d’ores et déjà sollicité pour le poste de secrétaire, il faudra attendre une prochaine et annoncée réunion du conseil d’administration pour connaître la place des élus au sein de ce nouveau bureau. Bien que la parité ne soit pas atteinte, notons que le bureau jusqu’alors féminin se masculinise avec l’arrivée de Jacques et André.

    Quant au Point Lecture, Martine Brosse poursuivra les permanences du mercredi après-midi mais demandait une suppléante pour la remplacer lors de ses absences. Francine Pandolfo se proposait spontanément. Ces deux membres des Amis de la Sauveté font aussi découvrir le village lors de certaines occasions ou à la demande de groupes.

    Avant le pot de l’amitié, Régine Jolibert, vice-présidente, prenait la parole pour remercier le dynamisme de la présidente sortante. Moins de stress et plus de temps pour les parties de scrabble ou de belote sur la tablette ou pour lire les livres du Point Lecture. Elle offrait pour l’occasion un livret de jeux mélangés.

    La passation de pouvoir entre Francine Pandolfo, présidente sortante et Jacques Foglia, président nouvellement élu, était officialisé par la remise du fameux trousseau de clefs ! Ces clés souvent perdues … puis retrouvées, puis égarées puis … Anecdote épique évoquée par Régine lors du petit discours. La soirée se finissait dans la joie et la pose des masques de protection pour le partage du pot de l’amitié.

  • Dans le village, la vie a repris au son des cloches

    Réparation et navrante constatation !

    Les sauvetatois ont pu constater que les cloches de l’Église St Germain ont repris du service. La vie est de nouveau rythmée par le battement des marteaux sur le bronze de ces mastodontes. Le mal était bénin puisqu’il ne s’agissait que d’un simple faux contact dans le boitier électrique.

    Pour la petite histoire, assez grinçante, il faut savoir que le devis de l’entreprise campaniste qui s’occupe de ce clocher habituellement était de 1300 € alors que la facture de réparation faîtes par un campaniste nouvellement contacté s’élève à moins de 150 € !!!

    Cherchez l’erreur !… Plus d’éthique lorsqu’il s’agit de l’argent public !

  • Le silence des cloches intrigue le journal Sud-Ouest !

    Suite à un premier article sur le silence des cloches à La Sauvetat du Dropt paru sur votre blog/site et sur la page Facebook du village, la direction du journal Sud-Ouest d’Agen a demandé à une jeune journaliste de Marmande de venir sur place constater les faits. Nous avons donc eu la chance de recevoir Camille Groc lundi 6 juillet. Le rendez-vous était programmé au Bar-Tabac-Restaurant Les Fées Gourmandises comme il se doit, pour la convivialité du lieu et pour la position stratégique face à l’Église St Germain.

    Au comptoir pour cette rencontre, Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau entouré de sauvetatois résidents du bourg venus témoigner des conséquences du silence des cloches ! Parmi eux, Pascal, responsable de l’entretien des stades qui ne débauche plus à l’heure puisqu’il n’a plus de repère; Anne dont les insomnies ne sont plus rythmées par la sonnerie des heures; Martine qui n’entend plus l’Angélus de midi, Jean-Paul, perturbé a dû remettre sa montre ou encore Céline qui accueille dans son bar avec un peu d’avance ou de retard puisqu’elle n’a plus son repère auditif pour ouvrir ses portes entre les deux sonneries de 7h !

    Camille a posé beaucoup de questions et nous avons réalisé que cet incident, que l’on pensait banal, occasionnait une gène bien réelle. Les cloches qui sonnent les heures, de jour comme de nuit, rythment la vie des habitants. Sans cloche, plus de repère ! Le marteau de Marie-Joseph, la plus grosse des cloches pesant 817 kg, ne fonctionne plus entraînant le silence des deux autres cloches puisqu’elles sont liées par un système électrique. La réparation se fera au cours de l’été. La Mairie est en attente d’un second devis.

    Avant de laisser repartir Camille vers d’autres reportages, il lui a été proposé de voir de près les objets du silence. C’est avec enthousiasme qu’elle a grimpé les marches à la découverte du clocher et de ses trois cloches de bronze que Monsieur le Maire et son adjointe n’ont pu s’empêcher de faire sonner à toute volée !

    L’article du Sud-Ouest est paru le 8 juillet sous le titre :« Lot-et-Garonne : à La Sauvetat, la cloche de l’église ne sonne plus, les habitants perturbés ! » Cet article n’est pas visible dans son intégralité si vous n’êtes pas abonnés.

  • Il reste de beaux brochets dans le Dropt …


    A La Sauvetat du Dropt, on ne voit plus beaucoup Hugues Lesimple puisqu’il est devenu chiropracteur, comme l’était son regretté père avant lui, installé à Angoulême. Cependant, ce passionné de pêche revient souvent le week-end dans son village natal titiller le carnassier dans la rivière du Dropt.

    Et enfin, en ce dimanche tant attendu du second tour des élections municipales, notre jeune pêcheur, ayant posé ses lignes du côté d’Eymet, a vu ses efforts récompensés en ramenant à la surface une belle bête, après dit-il « un combat acrobatique » qui l’a obligé à descendre au bas du barrage ! Un beau brochet de 98 cm et environ 6 kg ! Bravo pour cette respectable prise qui a été relâchée dès les photos faîtes par des gens qui se trouvaient en promenade à ce moment-là !

  • La cloche Marie-Joseph ne sonne plus

    Plus de sonneries de cloches !

    Depuis plus d’un mois, la vie du village de La Sauvetat du Dropt n’est plus rythmée par le son des cloches en raison d’une panne de marteau sur la cloche principale. Ce silence a perturbé certains des administrés qui attendaient chaque jour la sonnerie de midi pour quitter leur boulot !

    Le marteau de Marie-Joseph sera réparé prochainement par l’entreprise Bodet qui fait l’entretien du système campanaire.

    Un peu d’histoire

    D’un poids de 817 kg, la grande cloche se prénomme Marie-Joseph du nom de son parrain Joseph Raymond Mercat et de sa marraine Marie Elizabeth Caroline Bousquet. Elle est encadrée de deux autres cloches. La moyenne pèse 412 kg et s’appelle Sacré Cœur. Son parrain est Jean Dunis et sa marraine Marguerite Marie Dunis (sa fille). La troisième cloche, la petite, pèse 235 kg et s’appelle St Germain. Son parrain est Germain Antoine Marie Gal et sa marraine Marie Amélie Gal (sa fille).

    Elles ont été placées dans le clocher au cours de la construction de celui-ci entre 1898 et 1899, date de sa finition. Le clocher a été inauguré en juin 1900.

    Pour en savoir plus sur l’histoire de l’Église St Germain, rendez-vous sur la page de la visite numérique. Ces informations proviennent des écrits de Monsieur Aloy, Maire de 1878 à 1912, repris par Jean Guillerm, adjoint au Maire de 1983 à 1994.

  • Les passeurs de mémoire … le concours de pêche autrefois

    Objectif Duras, la mémoire de notre pays

    Grâce à l’excellent travail des membres du club photo Objectif Duras, la vie de nos villages d’hier et d’aujourd’hui est visible sur de nombreux clichés par de nombreux abonnés et archivée pour ne pas tomber dans les oubliettes de nos mémoires. Un travail fastidieux mais précieux auquel se rajoutent depuis quelques temps et particulièrement au cours de la période du confinement des textes sur l’Histoire du pays, souvent ressortis des archives du Duraquois René Blanc grâce à sa fille Dany. René Blanc, passionné et passionnant Raconteur de Pays avant l’heure, écrivain régional et guide du Château de Duras.

    Concours de pêche sauvetatois

    Cette semaine, Michel Michelot, à l’origine du club Objectif Duras et pendant longtemps son président, mettait en ligne sur Facebook les photos des concours de pêche de La Sauvetat du Dropt. Concours suivis par une population enthousiaste mêlant jeunes et anciens. Beaucoup ont disparu, d’autres se reconnaîtront …

     

  • Sortie déconfinement attendue de l’US Cyclo sauvetatois

    Les cyclistes déconfinés de l’US Cyclo Club de La Sauvetat du Dropt ont enfin pu reprendre la route pour une virée de 76 km qui les a conduit jusqu’en Gironde en passant par Duras, Le Puy, Couthures, La Violette, Monségur puis retour dans le département par Allemans du Dropt et Roumagne. Accompagnés de 2 cyclistes miramontais, Hervé, Polo, Germain et Jean-Claude ont savouré cette première sortie d’après confinement.
    La photo de Germain, un arrêt « prostate » et ravitaillement comme il le mentionne avec humour, est prise près du monument aux morts du Puy.

  • Rencontres inopinées entre adjoints et volatiles !

    Dans la musette de la messagerie associative et communale de la semaine, deux photos de volatiles observés dans les domaines respectifs de Jean-Pierre Tenot et Germain Sauron, tous deux adjoints à la commune. Un couple de cigognes pour le premier qui travaillait dans son champ et une jeune chouette qui vient d’élire domicile près de son habitation pour le second. Si les cigognes ne sont que de passage, les chouettes chevêches, même si elles sont moins nombreuses, vivent bien dans notre région.

  • Illustrations humoristiques du confinement, pour garder 2020 en mémoire !

    Album illustré du confiné 2020 !…

    Ce petit clin d’œil à la période des 8 semaines de confinement de cette année 2020 est édité par Jean-Louis Giron de Soumensac.
    Jean-Louis, on le connaît à La Sauvetat du Dropt pour être un fervent participant du concours de peintres dans les rues du village.

    Mis au pied du mur par un ami lui ayant lancé le défi de faire chaque jour du confinement un dessin en rapport avec cet événement sanitaire inédit, cet architecte à la retraite passé par des études artistiques s’est pris au jeu et a croqué, quotidiennement, de façon humoristique ou sarcastique, l’actualité découlant du fameux COVID-19.

    Le résultat sera édité prochainement sous la forme d’un album que tout un chacun peut acquérir pour la somme de 15 €. Pas de frais de port si vous passez par le Point Lecture de La Sauvetat du Dropt. Pour commander, envoyez un email à assos.sauvetat@gmail.com ou via Facebook sur la page de La Sauvetat du Dropt Lot-et-Garonne

     

  • Pour les petits et même les grands : « Lavez-vous les mains ! »… démonstration et comptine

    Expliquer l’importance du lavage de main aux enfants avec une amusante expérience scientifique puis une comptine

    Belle leçon de Pauline Di Palma-Gardeau ! Maman d’un petit Charly depuis 2 mois, Pauline cherchait, de façon ludique, à faire comprendre l’importance du lavage des mains pour éviter la propagation du COVID-19 à son fils Loukas âgé de 5 ans. Une expérience amusante comme on le voit sur cette vidéo.

    De son côté, Germain Sauron, 1er adjoint à la commune de La Sauvetat du Dropt et grand-père de 2 jeunes enfants, partage la comptine du lavage des mains.

    A voir puis expérimenter sans attendre avec tous les enfants !

  • Témoignage de confinés qui prennent du plaisir en famille

    Cette famille vit à Roumagne et s’est fait connaître à La Sauvetat du Dropt au cours des soirées sans frontière lorsque l’Association des Amis de la Sauveté présentait les Gavaches locaux. Et puis Véronique et Roland sont présents dans notre annuaire pour leur profession respective : elle est sage-femme, il est horloger.

    Depuis ce mardi 17 mars où le confinement est devenu obligatoire en raison de la crise sanitaire due au Coronavirus, cette famille, qui a la chance de vivre à la campagne, s’organise et passe le temps de la meilleure des façons. On sent un vrai plaisir partagé. Il y a l’organisation de l’école à la maison avec les devoirs envoyés via Pronote. A ce sujet, la maman précise que les filles sont assez sérieuses. La visite du Louvre puisque les musées sont virtuellement gratuits en ces temps perturbés. Puis, pour bouger et se dépenser, Roland improvise un ping-pong sur la table de la salle à manger et organise d’autres sports dans le jardin pour profiter des douces températures du printemps. Quelques puzzles dont un bien coloré avec de petites pièces qui a demandé une forte concentration. Une bonne tranche de rigolade avec la séance déguisement et la pose inspirée pour des photos souvenirs. Et puis, comme beaucoup de confinés, le plaisir de se retrouver autour de vrais repas cuisinés. Ici, Roland a régalé la famille de pizzas maison cuites au feu de bois. Les filles, de leur côté, ont le temps de faire de bons desserts.

    Merci à Véro et Roland pour ce témoignage illustré qui immortalise cette période tout à fait inédite. L’occasion de changer ses habitudes et de prendre du temps pour la famille.
    Pour d’autres, le confinement peut être synonyme d’inquiétude, de panique ou d’ennui. Si vous aussi souhaitez raconter votre quotidien, votre façon de passer le temps, vos joies ou vos galères de confinés, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Interview du Pays de Lauzun au Salon de l’Agriculture

    L’Office de Tourisme du Pays de Lauzun est présent au Salon de l’Agriculture.

    C’est sur le stand du Lot-et-Garonne que le représentant de l’Office de Tourisme du Pays de Lauzun, Joël Rivier, a été interviewé par une radio. Pour situer le Pays de Lauzun, Joël n’a pas manqué de mentionner le Pays de Duras et le Pays des Bastides ainsi que Val de Garonne et bien sûr le département du Lot-et-Garonne. Un bon ambassadeur qui a su mettre en avant le tourisme, la gastronomie et le patrimoine de notre territoire. Bravo Monsieur Rivier !