• US Cyclo, entraînement d’un vétéran pour le Tour de France 2021

    Un comité de pilotage « Les éclaireurs du tour 2021 » lance une campagne auprès des maisons de retraite qui a pour thème « RE-SANTÉ VOUS ». L’EHPAD de la Madeleine à Bergerac y participe. Un des résidents est un sauvetatois bien connu pour sa passion du vélo et ses exploits cyclistes. C’est ce que nous explique le secrétaire de l’USS Cyclo Club Paulo Labattut qui a rendu visite à Simon Brugère.

    « Pour cette nouvelle édition des « Éclaireurs du Tour de France 2021 », des vélos spécifiques sont à la disposition des résidents volontaires pour effectuer quelques tours de pédale. Cependant, notre vétéran Simon BRUGERE, co-fondateur de l’USS CYCLO, considère que c’est pour « les vieux » alors que lui, fort de ses 94 printemps, enfourche allègrement son vélo fixé sur home trainer pour son quart d’heure d’entrainement quotidien !

    A son actif, rappelons que jeune retraité, il n’hésitait pas à grimper régulièrement le Pech De Berre à Aiguillon, avant d’aller affronter les différents cols pyrénéens depuis sa résidence secondaire à Argelès Gazost. Sans oublier son palmarès encore réalisé la veille de son entrée à l’EHPAD : parcourir annuellement la distance du tour de France soit 3500 kms !

    La participation à cette épreuve va avoir lieu entre le 26 MAI et le 25 JUIN, pour un périple partagé de 3383 kms. Prochainement, le compte rendu de ce chalenge audacieux. »

    En savoir plus sur « Les éclaireurs du Tour de France » – Une édition 2021 extraordinaire !

    Le projet : course virtuelle de vélo inter établissements qui reprend le parcours intégral du Tour de France 2021 soit 3383 kms à parcourir sur vélo indoor un mois avant le départ officiel.

    Les participants :

    • référents vélo formés dans chaque structure pour que le projet roule
    • résidents et professionnels

    Le challenge sportif :

    • les 9 établissements associent leur effort et leur motivation pour parcourir à eux tous 3383 kms entre le 26 mai et le 26 juin 2021. Soit 380 km chacun.
    • il serait important que chaque équipe puisse partager chaque jours la distance parcourue pour qu’ensemble le défi soit relevé.

    Le challenge animation : réaliser des projets culturels inclusifs autour des villes traversées en s’appuyant sur l’histoire de vie des résidents.

    Le Bonus Vivons Vélos : 1 km parcouru = 1 € versé à une association par AG2R La Mondiale. Vous pouvez rouler 3383 kms mais aller jusqu’à 5000 kms pour faire bénéficier l’association d’un chèque de 5000 € (Institut Curie ou Astrée en cours de sélection).

  • Réflexions du Maire en charge de la mobilité à la CCPL


    En tant que vice-président en charge de la mobilité à la Communauté de Communes du Pays de Lauzun (CCPL), le Maire de La Sauvetat du Dropt, Jean-Luc Gardeau, veut rassurer la Région Nouvelle Aquitaine car, la CCPL a voté la prise de compétence et deviendra donc Autorité Organisatrice Mobilité. Il ajoute cependant que les élus sont des hommes de raison comme en témoigne cette expérience qui a suscité un vif intérêt auprès des sauvetatois …

  • Un périple dans une carriole tractée par deux ânesses … le vrai voyage d’Olivier

    Nombreuses photos en couleurs de Alain Requier, Constance Tenot, Sylvie Pujol et Isabelle. Les photos en noir et blanc du village sont celles d’Olivier le voyageur.

    Une rencontre qui débute sur la page « F’ânes d’ânes »

    Marie Requier, connue dans le village de La Sauvetat du Dropt pour être une bénévole active au sein du Comité des Fêtes avec son mari Alain, a rencontré puis invité Olivier, Vénus et Pénélope via la page F’ânes des Ânes sur Facebook.

    Olivier, c’est le boss comme il s’amuse à le dire. Vénus et Pénélope sont ses deux valeureuses ânesses qui tractent une petite carriole orangée ne passant pas inaperçue sur les petites routes de campagne.

    Passer de métro-boulot-dodo au véritable voyage !

    Olivier avait une vie bien rangée et chronométrée avec un travail qui le faisait partir tôt et rentrer tard de son petit village de l’Orne où ils ne connaissaient personne. Et puis, à l’âge de 42 ans, un gros problème de santé le fait réfléchir sur le bilan de sa vie. Mais quelle vie ?
    A partir de là, il prend conscience du temps qui passe et décide de vivre autrement. Il a des animaux dont ces deux ânesses, mère et fille, qu’il commence à entraîner à la marche régulièrement. Elles sont suivies par une clinique vétérinaire équine au cours de ces 7 dernières années. La vétérinaire, au courant du projet, donne le feu vert après un check up de santé complet et voilà Olivier et son attelage sur les routes. C’est lui aussi qui a fabriqué la carriole en optimisant chaque longueur de fer pour ne pas gaspiller, en récupérant la bâche orange pour être bien visible, en imaginant un compartiment stockage-douche et en installant un mini poêle à bois dans l’habitacle. Tout a été minutieusement préparé et les voilà partis depuis le 5 juin 2020.

    9 mois d’itinérance et pas encore au bout de l’Aventure

    Olivier, qui marche à côté de son attelage pour ne pas alourdir le poids tiré par ses animaux, est parti de Normandie en direction du Mont St Michel qu’il voulait visiter, puis en Bretagne où l’accueil a été tellement chaleureux qu’il y est resté plus que prévu. La route n’est pas droite. Il n’est pas question de demander aux ânesses de monter des côtes de plus de 10%. Et de toute façon, rien ne presse. Il arrive que l’attelage fasse un crochet de 20 km pour éviter les collines et atteindre le but initialement prévu. Pas de points d’arrêts précis, sauf si la magie du bouche-à-oreille opère comme ce fut le cas en Vendée puis dans les Charentes. En Dordogne, par contre, c’est décevant mais l’accueil n’a pas été partout chaleureux. Il aura même dû payer l’eau pour abreuver ses animaux ! Parce que l’eau est un souci. C’est l’hiver. Les points d’accès communaux ou ceux des cimetières sont fermés en raison du gel. Il faut donc demander. Demander aussi l’autorisation de se poser pour la nuit dans un champ où Vénus et Pénélope sont parquées sur un petit espace grâce à quelques piquets de clôtures embarqués pour le périple.

    L’arrivée à La Sauvetat du Dropt

    Et puis enfin, puisque Marie et Alain l’ont invité, Olivier a choisi un itinéraire le faisant arriver dans notre village. En raison des fortes pluies des semaines précédentes, Marie n’a pu le garder sur son terrain argileux gorgé d’eau mais a demandé au Maire Jean-Luc Gardeau l’autorisation de l’installer sur l’aire de camping-car. Les animaux ont pu se reposer et paître dans le pré du Maire qui jouxte l’aire.
    L’équipage est arrivé samedi 20 février en tout début d’après-midi. Quelques visites, celles du premier édile et de deux sauvetatoises charmées par l’aventure, celles de Marie et Alain qui lui ont offert le couvert et la machine à laver avec en bonus une visite du village, celles d’autres sauvetatoises au moment du départ le mercredi suivant.

    Le but de cette aventure minutieusement préparée ? Aucun ! Juste celui de prendre le temps de voyager, de découvrir des paysages, des odeurs, des couleurs. De s’enrichir d’échanges et de rencontres. De faire partager sa vision de la vie. Mais tout ça en gardant permanent à l’esprit le bien-être de ses deux ânesses. Si l’une d’entres elles montre des signes de faiblesse, ils rentreront à la maison. En attendant, les arrêts sont fréquents et même si elles gardent le harnais sur le cou, Vénus et Pénélope sont dételées toutes les 2h pour se restaurer avant de reprendre la route.

    Laissez-vous conter l’histoire du vrai voyage

    Le bout du trajet se trouve près de Montauban où Olivier souhaite proposer ses services pour quelques temps dans une association qui sauve des ânes. Puis il refera le chemin inverse avec l’assurance d’être accueilli soit chez des gens qui l’ont rencontré à l’aller, soit chez d’autres personnes qui auront eu vent de l’aventure et qui ouvriront leurs portes avec plaisir. Quoiqu’il en soit, lorsque vous croiserez ou parviendrez à la hauteur de cet équipage aux grandes oreilles, ralentissez et prenez le temps de vous laisser conter l’histoire du vrai voyage

    L’arrivée et l’installation au village samedi 20 février

    Le départ mercredi 24 février

    Les photos d’Olivier lors de sa visite dans le village

     

  • Tati Sauvette, épisode 3 : une vidéo pour limiter les déchets papiers !

    Trier c’est alléger le poids de nos poubelles noires ,c’est recycler et récupérer de la matière première, c’est préserver notre planète. Actuellement, 3/4 du contenu de nos poubelles n’y ont pas leur place (source ADEME) alors progressons tous ensemble ! Vos élus vous accompagnent dans cet effort en vous informant. N’ hésitez pas à consulter le site internet de vos collectivités.

    1- LES CONSIGNES

    ADOPTONS LES BONS GESTES : RESPECTONS LES CONSIGNES DE TRI !


    Vous avez tous reçu le document de consignes de tri. Prenez le temps de le relire et de dissiper vos doutes.

    Pour rappel l’élargissement des consignes de tri pour tous les emballages plastiques dont les pots de yaourts ne sera effective qu’à partir de 2022 En attendant jetez les dans le sac/bac noirs . Ou mieux encore évitez les lors de votre acte d’achat : préférer les pots de verre , privilégier l’emballage carton.

    2- LES LOGOS

    Pour vous aider à trier, il existe, sur les produits que vous achetez, des symboles qui vous donnent des informations et des consignes de tri. Tels des détectives privés, recherchez-les pour déjouer les pièges et sortir vainqueur du combat pour la réduction des déchets.

     

    ATTENTION !

    Les erreurs de tri ne sont pas sans conséquence donc dans le doute jetez dans le sac noir.
    Au niveau du centre de tri nos poubelles jaunes (recyclage) font l’objet de caractérisation : 18 fois par an un échantillon est examiné pour évaluer le pourcentage d’erreur. Ce taux est actuellement de 20% pour notre communauté .Ce pourcentage est appliqué au calcul d’une pénalité financière .
    Soyons des écocitoyens responsables et tentons d’être les premiers de la classe !!!

    Chez Tati Sauvette, avec STOP PUB, on évite les déchets papiers et on sauve les arbres !

    Trier c’est bien , éviter les déchets c’est mieux !
    Un foyer français reçoit en moyenne 40 kgs de publicités papier par an. Seulement 57% de ces papiers sont recyclés (source CITEO). Les déchets ainsi générés ont un poids financier pour le contribuable. La publicité papier, c’est 13,4M d’arbres abattus.

    QUE FAIRE ?

    Si vous ne lisez pas les imprimés publicitaires adoptez le geste STOP PUB. Et si vraiment vous voulez profiter des informations promotionnelles, adoptez le E-prospectus !
    Le mouvement stop pub a pris sont essor depuis 2004 (wwwstoppub.fr). Amis des arbres, adeptes du zéro déchet,écocitoyens avertis … pour rejoindre le mouvement rien de plus simple : récupérez à la mairie votre autocollant STOP PUB, et collez-le sur votre boite à lettre. Ainsi, votre volonté sera respectée !

    Et pour une démonstration du Stop pub, le tutoriel vidéo de TATI SAUVETTE : installer l’autocollant sur les boites aux lettres. En mode « sportive » ou « furtive », du pêcheur à la ménagère, à vous de trouver votre style !

    Scénario : Isabelle René alias Tati Sauvette / A la caméra, au montage et au mixage  : Caroline Grannereau / Souffleuse : Céline Dehez / Acteurs : Isabelle René, Martine Brosse, Anne Lesimple, Isabelle Janssen, Jean-Luc Gardeau et Jean-Paul Mothes.

  • Ambiance sportive pour le tournage du troisième épisode écocitoyen de Tati Sauvette


    Cette fin de semaine, les quelques véhicules qui ont circulé au Lotissement du Plantier à La Sauvetat du Dropt auront pu croiser une troupe en plein tournage. Tati Sauvette s’est en effet entourée d’une équipe élargie en vue d’une compétition dont vous aurez très prochainement des nouvelles. Le thème écocitoyen abordé vous sera, à ce moment-là, dévoilé …

  • Des promeneurs fascinés par la crue du Dropt

    A La Sauvetat du Dropt, vous êtes nombreux à avoir observé la montée des eaux du Dropt. Suite aux pluies abondantes et parce que le Lac de l’Escourou est plein depuis plusieurs semaines, il n’aura pas fallu beaucoup de temps pour que le lit de la rivière s’étale dans les champs alentours et même sur la chaussée à certains endroits.

    Loin d’avoir atteint la crue de 1856 comme l’atteste la photo de Francis Secco, il n’en reste pas moins qu’un gros travail de nettoyage sera nécessaire pour dégager les branches accumulées au niveau des arches maintenant presque invisibles du Pont Roman ! Il va s’en dire que les camping-cars ne s’aventureront pas de sitôt sur l’aire qui leur est réservée et que les travaux de plantation des usagers des jardins familiaux devront attendre une période plus sèche !

    Merci à Francis, Céline Dehez, Alain Crossoir et Michel Michelot du club Objectif Duras, observateurs-photographes, pour leurs nombreux clichés dont voici une sélection … Beaucoup plus à découvrir encore sur les pages FB de ces photographes amateurs.

  • Les Pyrénées à Soumensac, quel beau spectacle de la nature !

    En ces temps de restrictions sanitaires où salles de spectacles, théâtres et cinémas sont interdits, où les manifestations de nos petits villages sont annulées depuis bientôt 10 mois, nous sommes heureux de vous faire partager le beau spectacle de la nature. Depuis les promenades de Soumensac, en ce dimanche 27 décembre d’un petit matin gris et venteux où même le fameux méchant virus n’aurait pu survivre, se sont retrouvés des sauvetatois et eymétois pour admirer la chaîne des Pyrénées qui brillait de neige à quelques 200 km de là !

    Comment l’ont-ils su ? Par la magie du téléphone arabe ! Claude et Annie, qui ont balcon sur panorama, ont appelé Ian qui a relayé auprès de Mamie Francine, de ses parents, de son frangin et de son copain Bastien. Ce petit monde s’est donc retrouvé vers 9h tout là-haut, sur les promenades de Soumensac. La vue y est toujours grandiose mais ce matin là, vers l’ouest derrière le château d’eau de La Sauvetat du Dropt, s’étalait la majestueuse chaîne des Pyrénées ! Un phénomène pas si rare que ça que l’on peut observer en hiver. Il suffit juste d’être prévenu à temps. En tout cas, un spectacle qui a ravi les chanceux contemplateurs du jour !

  • L’histoire de la gare de La Sauvetat du Dropt contée par Monsieur Eric Comont

    Novembre 2019, un appel téléphonique qui concerne notre gare et ses voitures fait découvrir l’Association « Chemin de Fer de Vendée » (CFV), restauratrice du patrimoine ferroviaire

    Tout commence le 15 novembre 2019 lorsque Jean-Luc Gardeau, Maire de La Sauvetat du Dropt, reçoit un appel téléphonique de Monsieur Comont, membre de l’Association « Chemin de Fer de Vendée » basée à Mortagne sur Sèvre (85). Dans leurs ateliers en cours de restauration actuellement, une luxueuse Voiture Salon Pullman, la n°4150, classée aux Monuments Historiques depuis 2003 dont l’histoire est liée à l’ancienne gare de notre village, étrangement située sur la commune d’Agnac.

    Après plusieurs échanges téléphoniques, l’idée d’un récit détaillé sur l’Histoire de la gare est né visant à enrichir les pages du site du village mais aussi à interpeller les amoureux de l’histoire passée, comme l’est Monsieur Comont, pour que chacun puisse partager des éléments écrits ou oraux qu’il aurait en sa possession.

    Pour l’anecdote, il faut savoir que des dates de rencontres ont été fixées à La Sauvetat du Dropt entre Eric Comont et Jean-Luc Gardeau auxquelles été invité Stéphane Dusseau, responsable du Comité Archéologique d’Eymet. Deux dates prévues en mars puis en novembre mais reportées en raison des arrêtés de confinements ! Les échanges se poursuivent malgré tout, par téléphone ou par mail permettant de mettre en ligne aujourd’hui le préambule de l’Histoire de la gare …

    La gare de La Sauvetat-du-Dropt, ou l’histoire d’une rencontre improbable et mouvementée avec une voiture de luxe (wagon pullman n°4150) de la Compagnie des Wagons-Lits en juin 1944
    Préambule

    Début juillet 2017, le Chemin de Fer de la Vendée (CFV) réceptionnait après quelques péripéties, le wagon pullman n°4150. Ce wagon inscrit aux monuments historiques avait été confié par l’armée au CFV, et avant son arrivée, un travail historique nécessaire à sa restauration avait été entamé, lequel n’a pas cessé depuis. Très vite, l’histoire de ce véhicule prestigieux s’est révélée passionnante, avec des épisodes singuliers, qui vont me conduire avec d’autres personnes, dont un membre de l’association, aux confins de la Dordogne et du Lot et Garonne, et de la gare de la Sauvetat-du-Dropt en particulier. C’est à la fois les contacts avec la commune de La Sauvetat, et les informations accumulées qui ont fait germer l’idée de retracer l’histoire de la gare, et « l’irruption » du 4150 dans cette gare en juin 1944.

    L’objectif de ces épisodes est double : Retracer les faits historiques importants relatifs à la gare de la Sauvetat-du-Dropt, afin de comprendre les raisons qui ont poussé la Compagnie des Wagons-Lits à placer du matériel dans cette gare et d’autres, aux limites de la Dordogne et du Lot-et-Garonne. Une remarque, la notion de gare renvoie à un espace dans lequel on va trouver différentes installations, plus ou moins développées, cela désigne également le bâtiment destiné aux voyageurs, avec un guichet, une salle d’attente et un espace bagages. Le terme sera utilisé dans ces deux sens.

    Cela a nécessité de revenir sur l’histoire locale, où l’arrivée du Chemin de Fer à la fin du XIXème siècle, a eu un impact économique et social important, et ce à l’image de beaucoup d’autres régions rurales françaises, et quasi oublié depuis. On est aussi dans le présent et le futur, avec cette voiture qui fait le lien entre l’histoire locale de la gare de La Sauvetat, et la vie actuelle du CFV. C’est aussi une forme de contribution à cette histoire, et l’objectif au final, est de la partager en toute simplicité.

    Outre l’histoire de la gare, chaque épisode comprendra un point travaux sur la restauration du pullman 4150. Ces épisodes sont construits à partir des informations disponibles à la date de rédaction, et peuvent être modifiés en fonction de mises à jour. Les informations sont parfois limitées, et certaines demanderaient un gros travail de recherche qui n’est pas possible en l’état, ou tout au moins à court terme. Evidemment, toutes les questions et tous les témoignages relatifs à ces épisodes sont les bienvenus, et pour ces derniers, ils seront intégrés dans cet historique.

    Un aspect important, c’est de respecter les propriétaires actuels des bâtiments de l’ancienne gare, et la tranquillité des lieux.

    Bonne lecture à tous

    Eric COMONT, membre du Chemin de Fer de la Vendée, octobre 2020

    Histoire à retrouver sur la page dédiée La gare et ses voitures de luxe et en version originale Préambule.

  • Anecdotes de la semaine … un cèpe à 8 têtes et une palombe tombée dans la musette !

    Chacun dans leur foyer respectif, Domi et Yves auront ramené une belle et étrange récolte en cet automne propice à la pousse des champignons !

    Pour Yves, la cueillette d’un cèpe à 8 têtes qu’il s’est bien gardé de ramener au Proxi de son épouse pour ne pas attiser les convoitises ! Et pour Domi qui alliait promenade en forêt et ramassage de champignons, une petite frayeur lorsqu’une palombe venue du ciel lui est tombée devant les pieds ! Bien qu’elle n’ait pas entendu de salve, l’oiseau ne rejoignit la poche de cèpes qu’elle ait attendu, en vain, la venue d’un supposé palombiste.

  • Survol du village en montgolfière, merci La Castagnère !

    C’est lors de leurs vacances dans un des gîtes de La Castagnère, que des touristes ont pu survoler notre village de La Sauvetat du Dropt par un beau matin ensoleillé de l’été. La montgolfière est bien connue dans le secteur puisqu’elle est basée au Domaine de Durand à St Jean de Duras et qu’elle survole notre territoire au gré du vent régulièrement tôt le matin à la belle saison.

    Profitons de ce vol grâce aux photos partagées par Jacqueline et Jean-Pol Poulet propriétaires de La Castagnère. Le soleil levant illumine la toile gonflée par le brûleur qu’actionne Michel Fonvielhe tandis que l’on découvre, vue du ciel, les arches du Pont Roman et l’imposante Église St Germain confirmant qu’elle est une des plus grandes du département ! Puis, plus loin, l’étendue du Lac de l’Escourou que se partagent les communes de Soumensac et d’Eymet voisines …

  • Filmés lors d’un Escape Game dans le Monbazillac

    Un jeu de piste géant proposé par une viticultrice de Dordogne à la découverte du monde du vin.

    Qualifiés de Périgourdins par l’équipe de France 3 Nouvelle Aquitaine, les 7 concurrents d’un Escape Game organisé dans le vignoble de Monbazillac sont en fait tous du Pays de Lauzun. Parmi eux, Jean-Pierre Tenot, 3ème adjoint à la commune de La Sauvetat du Dropt avec Agnès et Constance, son épouse et leur fille. Ainsi que le couple Gardeau (frère de notre maire) de Lavergne et le couple Bohigas de Moustier. Une après-midi ludique et instructive qui aura donné du fil à retordre aux participants !

  • Un nouveau président à la tête des Amis de la Sauveté

    Une assemblée générale repoussée en raison du Coronavirus !

    Programmée en mars 2020, l’Assemblée Générale des Amis de la Sauveté était bien sûr reportée à une date ultérieure et indéfinie en raison de l’événement épidémique. Finalement, c’est le lundi 3 août que l’association donnait rendez-vous aux membres actifs, tous masqués, pour élire un nouveau bureau. Étaient annoncées les démissions de la présidente Francine Pandolfo, depuis de nombreuses années à la tête de cette association, et de la secrétaire Françoise Ivars, retenue fréquemment par des obligations familiales loin de la commune. Françoise, également responsable du Point Lecture avec l’aide de Martine Brosse.

    Bilans positifs et candidatures masculines

    Après un bilan moral faisant état d’une année 2019 bien active puis un bilan financier positif et la constatation de l’annulation de nombreuses dates cette année, venait le temps du vote. C’est un jeune sauvetatois par son installation récente dans le village qui se proposait au poste de président. Jacques Foglia, retraité déjà actif auprès des associations, était accepté à l’unanimité. Spécialiste de randonnées pédestres dans son département de Haute-Savoie d’où il est originaire, Jacques annonçait qu’il poursuivrait les actions menées précédemment, notamment les repas traditionnels avec, bien sûr, le concours de ces dames puisqu’ils plaisent et sont suivis, et très certainement des innovations au niveau des balades.

    Un autre sauvetatois se présentait pour entrer dans le bureau, André Dubernard, lui aussi déjà membre actif des associations. Élu aussitôt par l’assistance et d’ores et déjà sollicité pour le poste de secrétaire, il faudra attendre une prochaine et annoncée réunion du conseil d’administration pour connaître la place des élus au sein de ce nouveau bureau. Bien que la parité ne soit pas atteinte, notons que le bureau jusqu’alors féminin se masculinise avec l’arrivée de Jacques et André.

    Quant au Point Lecture, Martine Brosse poursuivra les permanences du mercredi après-midi mais demandait une suppléante pour la remplacer lors de ses absences. Francine Pandolfo se proposait spontanément. Ces deux membres des Amis de la Sauveté font aussi découvrir le village lors de certaines occasions ou à la demande de groupes.

    Avant le pot de l’amitié, Régine Jolibert, vice-présidente, prenait la parole pour remercier le dynamisme de la présidente sortante. Moins de stress et plus de temps pour les parties de scrabble ou de belote sur la tablette ou pour lire les livres du Point Lecture. Elle offrait pour l’occasion un livret de jeux mélangés.

    La passation de pouvoir entre Francine Pandolfo, présidente sortante et Jacques Foglia, président nouvellement élu, était officialisé par la remise du fameux trousseau de clefs ! Ces clés souvent perdues … puis retrouvées, puis égarées puis … Anecdote épique évoquée par Régine lors du petit discours. La soirée se finissait dans la joie et la pose des masques de protection pour le partage du pot de l’amitié.