• Pêle-mêle de la semaine du côté de la municipalité et des associations

    Voilà des informations que nous ne pouvons développer pour le moment. Par manque de précisions ou par incertitude sur la finalité de la visite.

    Côté Mairie

    Une délégation composée du Maire Jean-Luc Gardeau, de trois de ses adjoints et de deux conseillères municipales a été reçue par le Maire de Lestiac sur Garonne, Monsieur Daniel Bouchet pour visiter le futur bâtiment qui sera proposé comme habitat partagé à destination des retraités. Présente également pour répondre aux questions de nos élus et expliquer le but de son association, Florence Delisle-Errard, fondatrice et directrice de l’association Habitats des Possibles. Pas plus de précisions pour le moment. Il faudra attendre les décisions du conseil municipal pour savoir si une collaboration est possible. Mais sachez que l’habitat partagé des maisons Brugère est toujours d’actualité.

    Côté associations

    Nous pouvons affirmer que Peter Cain, président du Comité des Fêtes et les membres des Amis de la Sauveté dont Jacques Foglia leur président qui ont participé à la première soirée consacrée aux associations sont revenus avec plusieurs sujets de réflexions et la certitude que l’Office de Tourisme du Pays de Lauzun, qui organisait cette rencontre inter-associations du territoire, serait toujours là pour donner un coup de pouce et largement diffuser l’information.

     

  • « A place in the sun », les caméras de nouveau dans le village

    Pour la seconde fois, le village de La Sauvetat du Dropt recevait les caméras d’une équipe de tournage de « A place in the sun ». Une émission de télévision britannique qui suit les acheteurs de biens immobiliers à la recherche de leur maison idéale à l’étranger.
    Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau les a croisé lundi 15 novembre devant le Pont Roman et en a ramené ces photos.

  • Stage USEP pour obtenir l’agrément avant la Ronde cycliste 2022

    Explication de Sylvie Chambolle, sauvetatoise et institutrice à l’école de Seyches.

    L’USEP 47 organisait un stage à Miramont de Guyenne pour faire passer les agréments cyclo aux parents qui accompagneront les classes de la Ronde Cycliste 2022. 90 stagiaires sur leur vélo séparés en 3 groupes étaient encadrés par les bénévoles USEP et les conseillers pédagogiques.
    Puisqu’elle est sauvetatoise, Sylvie Chambolle, en charge des parcours de 15, 22 et 27 km décidait de faire découvrir son village aux cyclistes en arrivant par le Pont Roman.

  • Un bel attelage traverse le village

    Le passant du jour se trouvait être le 1er adjoint de la commune, Germain Sauron. Charmé par l’arrivée d’un attelage inhabituel, il nous envoie ces deux photos pour immortaliser l’instant. Le cocher, Jean-Pierre Ménini, bien connu dans le village et résidant à Agnac, a déjà été sollicité avec une autre de ses carrioles à cheval pour conduire le Père-Noël au cœur du Marché de Noël.

  • Un coin presse aux Fées Gourmandises

    Une nouveauté dans votre Bar-Tabac-Restaurant Les Fées Gourmandises de l’Avenue de Grammont à La Sauvetat du Dropt, l’ouverture d’un coin presse depuis lundi 18 octobre.
    Le rayon s’étoffera très bientôt pour vous proposer un choix de 150 titres. Des magazines à sensation en passant par les journaux sportifs, la déco, le jardin, la maison, l’auto et même, pour les plus jeunes, des magazines jeunesse comme ce très attirant livret où s’étale en couverture la fameuse Reine des Neiges !


    Autre info glanée auprès de Céline tout en sirotant un café, un possible agrément « Accueil Vélo » qui serait tout à fait adéquat puisque la Vélo-Route passe à l’entrée du village via le Pont Roman et que nos cafetiers sont tous deux de fervents adeptes des randonnées à bicyclette. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés …

  • DROPT’ART, visite des deux ateliers de peintres sauvetatois, Audrey Bastard et Manu Henrion

    Samedi 25 septembre, avec Jean-Luc Gardeau et son épouse, je pars visiter les ateliers des peintres sauvetatois prenant part à l’itinérance artistique de la semaine DROPT’ART.
    Ces deux artistes, Audrey Bastard et Manu Henrion, ne se connaissaient pas avant de s’implanter dans le village de La Sauvetat du Dropt, au lieu-dit Peyronnette. Maintenant voisins, c’est tout naturellement qu’ils ont échangé sur leur travail d’artiste et que Manu incitait Audrey à faire découvrir son travail au cours des dix jours de balades en Pays du Dropt.

    AUDREY BASTARD

    Le premier atelier visité fut celui de AUDREY BASTARD. Déjà en pleine conversation avec un amateur de peinture, Audrey, au regard bleu azur, nous recevait en jeans, blouse et boucles d’oreilles aussi colorées et gaies que ses tableaux. Très peu de figuratif, surtout de l’abstraction, et libre aux visiteurs d’y découvrir des personnages ou des paysages, car la fluidité de l’encre suggère à chacun de s’imaginer une histoire derrière la libre expression d’Audrey. Suivant le grain, plus ou moins fin, ou suivant la texture du support plus ou moins absorbante, son travail est à la fois technique et ludique.

    Bien qu’elle ait commencé sa carrière d’artiste par la sculpture, Audrey, victime de grave maladie, a dû abandonner les volumes pour s’adonner à la peinture et au dessin. Une évidence lorsque dans son coma, elle avouera plus tard avoir littéralement intégré, “comme si elle avait été inondée de chaque œuvre”, les grands maîtres peintres et photographes qu’elle avait étudiés et aimés depuis l’enfance.

    Il en résulte dès le début de son difficile réveil, un attrait immédiat pour la couleur avec la réalisation de petites peintures carrées, aujourd’hui marouflées sur Médium (mdf). Puis durant les épreuves de sa longue convalescence, elle développe en parallèle deux petites pratiques, faciles à mettre en œuvre quelles que soient ses conditions de santé.

    S’ensuit un travail en noir et blanc où l’encre de Chine intensifie les contrastes et les gestes du dessin au pinceau, puis un travail d’expressions et techniques libres dans un journal de bord.
    Il en découle une très grande diversité de graphismes, une foisonnante liberté, une énergie follement colorée et un goût certain pour les encres de toutes sortes avec lesquelles elle peint et joue aujourd’hui. Quelles que soient les épreuves, Audrey cherche à les sublimer au travers de sa peinture.

    Une rencontre riche en émotions. Le partage d’une expérience douloureuse pour comprendre le chemin parcouru et ce besoin d’expression visible dans ces belles créations que vous pourrez découvrir à votre tour si vous contactez Audrey via labomarto@audreybastard.fr

    Photos des journaux de bord de la collection personnelle de l’artiste.

    MANU HENRION

    Second atelier, de l’autre côté de la route, dans une maison cubique d’allure ultra moderne bâtie autour de l’atelier de l’artiste, nous étions reçus chez MANU HENRION. Ce Belge installé avec son épouse dans le village depuis quelques années est toujours resté discret quant à ses activités artistiques avant d’accepter de participer à l’itinérance DROPT’ART.
    Nous entrons dans sa maison par l’entrée où sont accrochées de grandes toiles, là aussi, colorées. Sur la plupart des tableaux, une couleur domine et se décline en nuances subtiles. Des gris infinis, des bleus turquoise, des verts prairies de printemps … le style est abstrait bien que l’on y devine de vastes paysages ou des étendues d’eau aux reflets changeant, aux mouvements menaçants, surplombées de ciels chargés au travers desquels percent des rayons de lumière. Le fil conducteur en est toujours une ligne horizontale posée sur le premier tiers de l’œuvre et aussi, souvent, une touche de rouge flamboyant qui rappelle l’œil malicieux et pétillant du peintre.

    Dans cet univers cubique, nous empruntons un escalier rond en colimaçon pour parvenir à ce qui est véritablement l’atelier de l’artiste. Atelier où de grandes baies vitrées font jouer la lumière sur de nombreuses œuvres exposées aux murs et sur des tables. Des peintures acryliques et des pastels. Tout en discutant à bâton rompu, Manu Henrion propose une démonstration de pastel. Sur un petit papier carré au grain prononcé provenant des papeteries du Moulin de Larroque en Dordogne, la main est sûre et le geste précis. D’autant plus que ce travail, qu’il va offrir à Madame Gardeau, raconte, avec tout l’humour qui le caractérise, leur première rencontre dans le village. Contact mouvementé pour ne pas dire houleux au sujet d’une place de parking ! Histoire retranscrite au pastel qu’elle ne pourra pas oublier !
    Pour moi, un ancien grément toutes voiles gonflées prend le large. Au centre de la ligne horizontale de départ, une virgule rouge vermillon qui signale, au choix, le point d’ancrage quitté, le pompon du marin ou peut-être un avertissement à ne pas se fier au calme apparent de la mer qui semble, là, apaisée …

    Bien que Manu Henrion ait reçu une petite centaine de personnes au cours de ces 10 jours DROPT’ART, nous sommes seuls à ce moment-là et avons le privilège de partager un verre au comptoir de sa cuisine. Un autre espace de la maison où l’on prend conscience de l’échange permanent de l’artiste avec la nature. A travers une large baie vitrée se déploie un immense parc de verdure. Quelques arbres et posée au sol, une sculpture de métal rouillée que l’on dirait représenter un château fort aux murailles crénelées.

    Un grand merci pour cette intrusion dans votre univers d’artiste. La porte de l’atelier de Manu Henrion reste ouverte à qui le souhaite. Il suffit de prendre rendez-vous sur la page ad hoc de son site. Vous pouvez également suivre l’actualité de ses expositions sur sa page Instagram.

    Photos des tableaux seuls de H-uman.

     

  • DROPT’ART, visites d’ateliers d’artistes en Pays du Dropt

    Photo de l’affiche DROPT’ART créée par Manu Henrion, artiste peintre de La Sauvetat du Dropt.

    Dix jours de balades en pays du Dropt, sur nos routes de campagne, au cœur de 13 villages et bastides, du 17 au 26 septembre au rythme de 14 ateliers d’artistes et 7 lieux d’expositions, vous y rencontrerez les 56 artistes et découvrirez leurs œuvres, leurs techniques, leur univers.

    Pour la troisième année, les artistes du pays du Dropt : peintres, sculpteurs, photographes, tisserande, dessinateurs, plasticiens vous invitent à découvrir leurs lieux de créations, leurs différentes démarches artistiques, leurs invités en ouvrant leurs portes et en s’associant à des lieux de culture et du patrimoine.

    Le florilège vous permet de rencontrer une œuvre de chaque artiste du parcours sur trois jours dans le village de Monteton.

    Vendredi 17 septembre : Ouverture du Dropt’Art avec le vernissage du florilège à 18h30 au Bourg de Monteton.
    Samedi 18 et dimanche 19 septembre : Florilège de 10h00 à 19h00 au Bourg de Monteton.
    Du samedi 18 au dimanche 26 septembre : Ouverture des ateliers d’artistes et des lieux d’expositions, tous les jours de 10h00 à 19h00. Entrée libre et gratuite.

    Des vernissages, des rencontres, des ateliers découvertes (adultes et enfants) et des concerts sont programmés sur les différents sites tout au long de la manifestation (voir dépliant ou site).

    Contact : dropt.art.ateliers@gmail.com – 06 49 11 50 32 / 06 74 54 54 03
    https://droptartateliers.wixsite.com/artistes/ ou https://www.facebook.com/visitesdateliersdartistes

    Parmi les 56 artistes qui ouvrent leur atelier, deux sauvetatois

    Manu HENRION et Audrey BASTARD sont tous deux sauvetatois et se sont rencontrés parce qu’ils sont voisins. Leur maison respective se situent au lieu-dit Peyronnette, sur les hauteurs du village. Ils ouvriront tous deux leur atelier lors de ces journées DROPT’ART. Entrée libre.

    MANU HENRION, peintre pastelliste abstrait, il ouvrira son atelier et travaillera le pastel en direct.

    Naissance en 1951. Études en arts graphiques I.A.T.A. Namur , Belgique. Cours de dessin, croquis et peinture à l’Académie Constantin Meunier à Etterbeek (Bruxelles) en 1980 et 1981. Diplômé de l’ Académie des Beaux Arts à Namur : Cours de peinture de et avec Jean-Pierre Gonthier de 1987 à 1988 et de 1998 à 2004. Stages avec Sébastien Delire en 2003 et 2004.​

    AUDREY BASTARD, graphiste en art contemporain.

    Née à Marseille en 1975. Elle entre successivement aux Beaux-arts de Rueil-Malmaison, Amiens et Paris dont elle obtient les diplômes. C’est au cours de cette période intensive d’étude, qu’elle voyage en Grande-Bretagne, Chine, Thaïlande, Australie, Norvège, Italie, et développe sa maturité, sa sensibilité et l’assurance d’un travail artistique précis et “abrasif”.

    Après avoir travaillé 10 ans en région parisienne, Audrey Bastard se retire dans le sud-ouest de la France afin de poursuivre sereinement son travail. Ses sculptures, dessins et installations interrogent et revendiquent le monde contemporain en y convoquant les liens physiques et émotionnels qui le relie au passé ; « ce qui fait que le monde est ce qu’il est : difficilement palpable au présent et dans lequel une mise en ordre des choses finit par nous échapper… »

    DROPT’ART, les ateliers d’artistes, l’agenda et les temps forts
  • Monsieur le Maire visite le wagon 4150 jadis stationné à la gare de La Sauvetat du Dropt

    A l’origine des relations entre le CFV et La Sauvetat du Dropt

    Depuis novembre 2019, la municipalité de La Sauvetat est en relation avec un membre de l’Association Chemin de Fer de Vendée, Monsieur Éric Comont. Cette association est basée en Vendée, à Mortagne-sur-Sèvre. Et cet appel concernait une luxueuse Voiture Salon Pullman, la n°4150, classée aux Monuments Historiques depuis 2003 et dont l’histoire est liée à l’ancienne gare de notre village, étrangement située sur la commune d’Agnac. Cette 4150 est toujours en cours de restauration dans leurs ateliers.

    Un cadeau pour découvrir le Chemin de Fer de Vendée et le privilège de visiter les ateliers de restauration

    En janvier 2020, pour fêter le départ en retraite du Maire Jean-Luc Gardeau, le Conseil Municipal et les employés communaux lui offraient une balade en train-restaurant à bord d’une voiture de l’Orient Express. COVID oblige, Monsieur le Maire et son épouse ont enfin pu faire cette sortie alors qu’elle était programmée en mai 2020.

    Revenus enchantés par cet escapade gastronomique en voiture de luxe, le couple Gardeau a eu le privilège, ensuite, d’être reçu par le responsable d’exploitation du site et le président de l’association qui, exceptionnellement, leurs ouvraient les portes des ateliers de restauration de ces prestigieuses machines. Visite rendue possible à la demande de Monsieur Comont qui reste en étroite collaboration avec un adjoint de notre commune pour enrichir petit à petit l’épisode historique de la gare de La Sauvetat et plus largement, celle du chemin de fer de notre région.

    Une épopée dont on se souvient … Jean-Luc Gardeau raconte

    « Parti sous un beau soleil vendéen, le train faisait un arrêt sur le plus haut viaduc du trajet, celui de Barbin (voir photo du CFV ci-dessous). Puis, la pluie se mit à tomber et les conséquences furent immédiates, la locomotive patinait dans la première montée. Après deux essais de départ en côte, le conducteur se résignait à reculer pour prendre de l’élan et nous repartions pour notre destination Gare des Herbiers, de nouveau accompagnés par le soleil.

    Après un très bon déjeuner dans cette luxueuse voiture dont on sait qu’elle était stationnée en gare de Moustier au cours de la seconde guerre mondiale, nous prenions le chemin du retour vers le terminus de la Gare de Mortagne-sur-Sèvre. Nous eûmes le privilège ensuite d’être reçus dans les ateliers situés à St Laurent-sur-Sèvre par Maxime Mathon, responsable du site, pour une visite où nous avons également rencontré Jean-Pierre Dupont, président de l’association CFV.

    Mon épouse se joint à moi pour remercier le conseil municipal et les employés communaux pour ce beau cadeau nostalgique et plein d’histoire. Et je remercie personnellement Monsieur Comont qui réside dans le nord de la France mais qui aurait souhaité se déplacer pour l’occasion s’il n’avait pas été empêché par un souci de santé. Nous espérons l’accueillir chez nous très prochainement.
    J’invite les amoureux de l’Histoire locale et plus particulièrement celle de la gare de La Sauvetat / Agnac à profiter du récit détaillé que ce passionné du chemin de fer envoie régulièrement par épisodes. Histoire retransmise sur le site de notre village à la page « La gare et ses voitures de luxe« .
    « 

  • Olivier Cain et Julien Le Naour sur la Dordogne Intégrale

    La 12e édition de la Dordogne Intégrale, une course de 130 km sur un des plus beaux cours d’eau du pays, s’est tenue samedi 11 septembre entre Argentat (19) et Castelnaud-la-Chapelle (24). L’événement, organisé par l’Argentat Dordogne CK, était cette année support des premiers championnats de France Ultra.

    Initialement prévue en mai, la Dordogne Intégrale a été repoussée de quatre mois en raison du contexte sanitaire du printemps dernier. Samedi 11 septembre, ils étaient 282 participants dont un bon tiers sur des Stand Up Paddle, et les autres en canoë, kayak et pirogue. Plusieurs spécialistes de la (très) longue distance étaient sur la ligne de départ samedi aux aurores à Argentat. Ainsi qu’un grand nombre d’amoureux venus en prendre plein les yeux, et les bras.

    Le parcours a traversé les 3 départements de la Corrèze, le Lot, et la Dordogne sur 130 km linéaires de rivière, sans aucun portage. Avec dans le menu : gorges sauvages, falaises calcaires, châteaux médiévaux, villages haut-perchés…

    Parmi les sportifs connus, Olivier Cain et Julien Le Naour en stand up paddle

    Olivier Cain, président du Canoë Kayak Club Vallée du Dropt termine 16ème sur 52 à l’arrivée en 11h41. Julien Le Naour, ex président du Canoë Kayak Club Vallée du Dropt, avec le dossard 189, réalise une belle performance malgré sa déception et termine 4ème au championnat de France paddle longue distance en 10h25. Il raconte cette course qu’il a déjà expérimentée :

    « Encore une sacrée expérience sur les 130 km de la Dordogne Intégrale cette année !

    C’était l’année ou jamais, alors j’ai tenté ma chance. J’ai joué et je n’ai pas gagné. Pour la première fois, j’ai voulu accrocher un résultat en plus de la performance de finisher (qui reste une satisfaction personnelle). Les premiers 70 km se sont plutôt bien passés malgré 6 chutes (rien que ça…),le seigneur de l’épreuve 🤴 Dode Florent 🥇m’a même laissé faire quelques petits kilomètres devant lui en début de parcours… Et puis j’ai traversé le désert, en paddle, pendant 50 km environ. Un long moment d’introspection… A partir du km 90, j’ai cédé la 2° place puis la 3° sans trouver les ressources de batailler. J’ai enfin retrouvé de l’énergie sur les 10 derniers km mais les jeux étaient faits… Je termine 4ème à 20 secondes du troisième après 10h25 de rame.

    J’en retiens une expérience différente avec toujours le même plaisir de la mise en route silencieuse du matin🌃 et surtout le partage avec ce petit milieu d’initiés🍷.

    J’ai une pensée particulière pour mon père (qui a passé 24h à me faire l’assistance), mes 2 clubs dont les présidents/amis ont particulièrement participé au partage du plaisir Olivier Cain et Christophe Mora et à ma petite famille😘 ! »

  • Gagnant du prix Canson Aquarelle, Jean-Louis Giron offre son œuvre à la Mairie


    Ce vendredi 27 août, suite à sa seconde participation au concours des peintres dans la rue organisé par l’Association Couleurs d’Aquitaine et Les Amis de la Sauveté, Jean-Louis Giron, qui partage son temps entre Soumensac et la région parisienne, vient d’offrir à la municipalité son tableau intitulé « Le passé réuni« .

    Autour de lui pour recevoir son œuvre, Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau, les responsables des Amis de la Sauveté avec Jacques Foglia et Francine Pandolfo respectivement président et vice-présidente de l’association, Martine Brosse, trésorière et coordinatrice du concours ainsi qu’un des membres du jury, sauvetatois d’origine belge et peintre pastelliste Manu Henrion.

    Avant d’être encadrée et de trouver sa place à la Mairie, cette aquarelle sera très certainement utilisé en support de document touristique puisqu’elle réunit le Pont Roman, la Maison de la Tour, une belle fenêtre à meneaux de la Rue du Temple et la petite porte menant aux parking de la Rue de l’Hospice.

    La Municipalité remercie chaleureusement Monsieur Giron pour ce don apprécié.

  • Journée colorée avec les peintres de Couleurs d’Aquitaine

    Nombreuses photos de Francis Secco, Alain Bartolo et Yves Pénicaud.

    Grâce à l’Association Couleurs d’Aquitaine basée à Pessac en Gironde, les Amis de la Sauveté accueillaient samedi 7 août, pour une seconde édition, le concours de peinture et de dessin dans les rues du village et dans le cadre de la Fête Votive du Comité des Fêtes.

    Ce concours gratuit invite les artistes de tout âge et tout niveau à sortir de leur atelier et à venir peindre en extérieur. Ces journées sont l’occasion de découvrir ou de redécouvrir notre patrimoine et de rendre hommage, aux bâtisseurs de monuments et d’habitations.

    Ils étaient 20 adultes, ados et enfants à participer. Les membres du jury appelés par Les Amis de la Sauveté étaient Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau et deux sauvetatois : Anaëlle Meyer, étudiante en photographie et Manu Henrion, artiste peintre.

    Résultat du concours 2021 par catégorie

    Enfant de 7 à 9 ans : Victoire Fleury pour « Mon arbre »
    Enfant de 10 à 12 ans : Shelly Ziegler pour « L’église »
    Adolescent de 13 à 15 ans : Loup de Casamayor pour « Le Dropt »
    Adolescente de 16 à 18 ans : Mila Adam pour « Voyage à La Saivetat »
    Adulte débutant : Marie Serre
    Adulte confirmé aquarelle / lavis : Jean-François Kotarski pour « Vue sur La Sauvetat »
    Pastel sec, craie, crayon de couleur, dessin à la pointe : Annie Dufour pour « Reflets du port »
    Adulte confirmé technique mixte : Sandra Labeau pour « La Salvetat-du-Dropt »
    Prix Sennelier « interprétation singulière du paysage » : Eddy Bonnot pour « En direction du pont »
    Prix le géant des beaux-arts « coup de cœur » : Jean-François Kotarski pour « Vue sur La Sauvetat »
    Prix canson aquarelle : Jean-Louis Giron pour « Le passé réuni »

  • Succès du week-end festif aux animations diverses et variées

    Nombreuses photos de Francis Secco. Quelques-unes du responsable pétanque Alain Bartolo, d’autres encore glanées ici et là. 

    Après bien des incertitudes dans l’attente des décisions gouvernementales finales, la Fête Votive du Comité des Fêtes, en partenariat avec les associations sauvetatoises, a finalement eu lieu. Da la Soirée Gourmande du vendredi au vide-greniers du dimanche, toutes les activités connurent un franc succès. Est-il permis de penser que l’échéance du pass sanitaire devenant obligatoire lundi 9 aura incité les gens à profiter de ces quasi derniers moments de liberté ?

    Pas de surprise pour la foule venue se régaler et danser à la soirée gourmande de vendredi. On sait que la magie du lieu, la bonne chère et l’esprit guinguette sont des plus appréciés ! Samedi matin, Martine des Amis de la Sauveté et les responsables de l’Association Couleurs d’Aquitaine inscrivaient une vingtaine de peintres ou dessinateurs adultes et enfants au concours se déroulant dans les rues du village. Plus tard, Alain, notre marseillais local, accueillait les pétanqueurs amateurs pour des parties à la mêlée. Bonne participation bien qu’il fut nécessaire de chercher un abri en raison d’une averse orageuse en début d’après-midi. Dans le même temps, la salle des sports recevait la famille des joueurs d’Accordons-nous venue déballer de nombreux jeux de société disponibles gratuitement jusque tard dans la soirée. Hugues, professionnel du jeu, passait de table en table pour expliquer les règles de chacun des jeux choisis par les nombreux participants.

    En soirée, sous le soleil revenu, le Comité des Fêtes proposait un repas sans prétention près du kiosque associatif de la Prairie des Croquants animé par Aurélien des As du Mic.

    Dimanche, dès 5h du matin, l’équipe chargée de la vente au déballage était sur le pied de guerre pour installer plus d’une centaine de stands dont certains venus parfois de loin : Haute-Vienne, Gers ou encore des Landes. Les visiteurs agréablement surpris de l’importance de la manifestation purent chiner à loisirs. A 8h30, les randonneurs pédestres avec Dino et cyclistes avec Paulo prenaient qui les chemins, qui les routes pour des circuits respectivement de 8 ou 60 km. Et dans l’après-midi, les Accordons-nous dans la salle des sports largement ouverte sur l’extérieur offraient de nouveau un imposant éventail de jeux de société.

    Le mot du président Peter Cain

    Peter Cain, président du Comité des Fêtes, remercie les bénévoles des associations de leur participation. Force est de constater que les effectifs sont en baisse après cette année 2020 marquée par des restrictions COVID ayant empêchées toutes manifestations. Peu de jeunes, bien que les présents soient motivés et très actifs. Moins d’anciens, peut-être par crainte du virus ou par lassitude. Mais l’ambiance reste conviviale et chaleureuse se dont se félicite Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau ayant passé, lui aussi, de nombreuses heures au service de la buvette.

    Annulation des Soirées Gourmandes

    En revanche, puisque le pass sanitaire est maintenant obligatoire et que les contrôles sont difficiles voire impossibles, le bureau du Comité des Fêtes et le Maire ont pris la décision, à regret mais à l’unanimité, d’annuler les Soirées Gourmandes de l’été.

    Concours de Peintres – Photos
    Vide-greniers / Brocante – Marche, jeux de société et pétanque – Photos