• Pour son dernier acte de président, Peter et le Comité des Fêtes invitent bénévoles et commerçants

    Il est désormais traditionnel, pour clôturer la saison festive, que les bénévoles et les commerçants qui œuvrent à la réussite des Soirées Gourmandes de l’été soient conviés, par le bureau du Comité des Fêtes, à mettre les pieds sous la table. Le rendez-vous était honoré samedi 29 novembre en soirée à l’Étape Gasconne d’Allemans du Dropt.

    C’est dans une ambiance détendue et chaleureuse que le groupe prenait place dans la vaste salle à manger. Si certains des commerçants s’interrogent sur la composition du bureau à venir, les sortants, dont Peter Cain actuel président, et les pressentis leur ont simplement demandé d’attendre la réunion du 4 décembre où seront votés les nouveaux membres. En attendant, le suspens est à son comble !

    Mais la soirée ne s’est pas résumée au partage d’un copieux repas arrosé de bonnes bouteilles puisque Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau tenait à prendre la parole pour un discours de départ visant à remercier, de sa plume humoristique, l’ami Peter pour toutes ses années de service auprès du Comité des Fêtes appelé USS à l’origine. Discours, source de franche rigolade dispensant de nombreuses anecdotes sur le parcours de ce président à l’humour parfois corrosif. Les propos furent plusieurs fois applaudis. Le voici dans son intégralité.

    « Peter, tu es arrivé à La Sauvetat en 1983 et tu as très vite intégré l’USS *. Vu tes mollets, le club a vite compris que ce ne serait pas sur un terrain de foot que tu allais exceller, mais comme bénévole aux festivités, sous les ailes des piliers Michel, Pierrot, Jean et Raymond qui t’ont rapidement adopté et fait de toi le bénévole que tu es aujourd’hui.

    Puis, petit à petit, tu es devenu une pièce majeure de l’équipe. Jusqu’à prendre le présidence après le retrait de tous les anciens. Ce n’est pas une tâche facile que de prendre une présidence, car il faut exceller dans plein de domaines. Par exemple, en relation humaine, il ne faut jamais contredire un con, car si on attend un peu, il va le faire lui même !
    Il faut être organisé : Marine Tondellier pourrait te récompenser pour ton action écologique car tu n’as utilisé qu’une seule feuille de papier recto verso pour toutes tes notes durant ton mandat.
    Il faut être diplomate, avoir un langage clair : quand Peter fait kékékéké, ça veut dire fermer vos gueules. Quand il dit : « c’est presque fini », c’est qu’il y a encore tout à faire. « J’ai tout noté », attention il a tout dans sa tête. « Tout va bien », il vaut mieux s’inquiéter. « Vous me faite chier », je vous aime tous.

    J’ai essayé de lui dire ses 4 vérités mais ce n’est pas la peine, il se met en colère à la première. J’aurais voulu par moment être d’accord avec lui aussi mais, on aurait été deux à avoir tort.
    Mais alors, quel est son secret à Peter pour être toujours aussi entouré ? C’est simple : la convivialité, la convivialité et encore la convivialité. Voilà son fils rouge. La méthode Peter, c’est que quand quelques bénévoles s’éloignent, il a une recette bien à lui. Il fait comme avec les échalotes : il les fait revenir avec du vin blanc ! Mais pas trop car il faut faire attention avec l’alcool. Il y des hormones féminines dedans et après on parle, on parle, on raconte sa vie et on conduit mal.

    Tes secrétaires et tes trésorières ont été intransigeantes avec toi Peter. Il a fallu que tu rendes des comptes. La trésorière n’aime pas le liquide, elle préfère les chèques, mais Peter n’aime pas parler d’argent. Pourtant, l’argent redonne souvent le sourire. Ne dit-on pas l’argenterie ?
    On a essayé de t’apprendre à communiquer avec WhatsApp. Pourtant, c’est facile, très facile. C’est comme la guillotine, il y a juste un coup à prendre mais toi, tu préfères le faire autour d’un apéro. C’est bien plus chaleureux il est vrai. Tu as refusé Facebook. C’est vrai que, être connu sur Facebook, c’est comme être riche au Monopoly.

    Mais il ne se plaint jamais Peter. D’ailleurs, pourquoi se plaindrait-il ? Quand il est né, il était chauve, sans dents, incontinent, ne marchait pas, ne parlait pas, pesait 3 kgs. Et depuis, tout s’est amélioré. La preuve, le bel homme épanoui que l’on a devant nous aujourd’hui.

    Peter, je te remercie pour ton engagement. Tu laisses la place de président et une association en très bonne santé financière. A la banque, l’écureuil doit remuer la queue et j’espère que ton successeur en fera de même, je parle bien sûr de la santé financière !

    Plus sérieusement, je voudrais dire à tous ceux qui pourraient porter un jugement. Portez sa caisse à outils, parcourez son chemin, vivez ses douleurs, ses doutes, donnez comme il a donné durant toutes ces années de bénévolat et après, vous pourrez le juger. On sait très bien que la confiance se gagne en gouttes et se perd en litres.
    Si un bénévole n’est pas payé, ce n’est pas parce qu’il ne vaut rien, mais c’est qu’il n’a pas de prix.

    Peter, pour moi tu es un ami, c’est-à-dire, quelqu’un qui me connaît bien mais qui m’aime quand même !
    Peter, tout ce que tu as fait, tu l’as fait pour ton village et le comité des fêtes, pas pour le prestige ou la gloire et nous te devons reconnaissance. Sache que tout ce qui est fait par amour n’est jamais perdu. »

    • (Union Sportive Sauvetatoise de laquelle découle le Comité des Fêtes)

    La soirée se terminait sur cette note joyeuse et cette page qui se tourne mais avec l’assurance que Peter, qui vit aux portes du village, sera toujours un bénévole assidu. Quant à la composition du nouveau bureau, rendez-vous pour le vote jeudi 4 décembre à 20h30 à la Maison des Loisirs.

  • Arrivage de chrysanthèmes au CocciMarket

    Pour vos chrysanthèmes et autres fleurs de Toussaint, pensez à votre épicerie de proximité CocciMarket à La Sauvetat du Dropt.

    Savez-vous d’où vient cette tradition française des chrysanthèmes pour fleurir les tombes de nos cimetières ?

    C’est en 1919 que le chrysanthème, fleur de l’automne, devient la fleur des morts et même celle des veuves de guerre. A ce moment-là, Raymond Poincaré est président de la République. C’est le 11 novembre 1919 qu’il demande à ce que les monuments aux morts de France soient fleuris en signe de commémoration.
    Avec le temps, ce fleurissement des cimetières avec les fleurs de saison et tout particulièrement les chrysanthèmes a été associé à la fête des morts et donc au jour férié de la Toussaint.

    Sa symbolique ailleurs dans le monde

    Il est d’ailleurs dommage que le chrysanthème soit associé à la fête des morts car il se pare de multiples couleurs et résiste à des gelées modérées s’il est abrité. Il n’est utilisé pour la fête des morts qu’en France. En Italie, Pologne, Belgique ou Espagne, on le met en avant pour l’armistice. Aux États-Unis, il rentre dans la composition des bouquets de mariage et en Australie, il est offert à l’occasion de la fête des mères.
    Nos voisins britanniques, ceux d’ici ou de là-bas, en fleurissent leurs entrées et abords de maison. Ils n’hésiteront pas à vous en offrir en signe d’amitié si vous les recevez.

     

  • Passage de « La France en Courant »

    Photos de Jean-Luc Gardeau et de la page La France en Courant.

    La France en Courant, c’est la traversée de la France par équipe et en relais. La plus longue course en relais sur route et dans tout l’hexagone !
    L’itinéraire est ponctué par des villes-étapes séparées de 200km en moyenne. Les coureurs sont partis le 19 juillet de Cournonterral dans l’Hérault (34). Ils ont fait 5 étapes en Occitanie, sont passés par les Pyrénées et le mythique Tourmalet, la Nouvelle Aquitaine, les Pays de la Loire, la Bretagne, la Normandie pour rejoindre Bernay dans l’Eure (27), destination finale de la course le samedi 2 août.

    Un parcours sur une base de 2650 km en 14 jours, étapes échelonnées entre 180 et 195 km par jour. Le format actuel permet à chaque coureur de parcourir 25 km en moyenne par jour ce qui est accessible pour les personnes entraînées.

    De ville en ville, les coureurs arpentent les routes françaises tout en découvrant les plus beaux paysages sur leur passage. Rencontres, dégustations de produits boulangers et festivités rythment l’édition.

    Notre village de La Sauvetat du Dropt a eu la chance de les accueillir samedi 26 juillet au cours d’un petit déjeuner très matinal pris à 6h du matin en compagnie du Maire Jean-Luc Gardeau.

    En savoir plus sur La France en Courant !

    Reconnue par la Fédération Française d’Athlétisme (FFA) qui lui accorde son « label » depuis 1992, cette épreuve se déroule sous forme de relais par équipe de 8 coureurs dont au moins une féminine.

    Chaque équipe organise ses relais à sa guise. Un officiel de la FFA accompagne l’épreuve pour veiller à sa régularité.

    Chaque étape fait en moyenne 200 kimomètres (soit 25 kms par coureur). L’arrivée se situe entre 16h et 17h et le départ a lieu souvent vers 2h ou 3h du matin.
    L’organisation assure le petit déjeuner, le repas du soir et le coucher dans une salle communale, un gymnase ou à … la belle étoile.
    Chacun doit amener son duvet. Une équipe médicale (médecin, kiné et podologue) accompagne l’épreuve.
    Dans chaque ville étape, l’ambiance est assurée par un animateur entouré de musiciens.

    Ces conditions particulières font de La France en Courant une épreuve originale et unique.
    Cette 36ème édition se déroule donc du 19 juillet au 2 août.

  • La municipalité fête les 100 ans de Laure Barreau

    Photos de Patricia et des conseillères Maëlle (noir et blanc), Anne et Isabelle.

    Lundi 23 juin, Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau, ses adjoints et plusieurs conseillers se retrouvaient dans le beau jardin de la famille Barreau pour fêter les 100 ans de sa doyenne Laure Barreau. Auprès d’elle, deux de ses enfants, Roger et Didier et leur épouse Louisette et Josiane ainsi qu’une de ses petites-filles Isabelle et son mari Freddy. Ses deux autres enfants Nicole et Christian n’ont pu se joindre à la petite fête.

    Laure, toujours bon pied bon œil, resplendissante dans sa robe colorée a écouté le discours de ce maire qu’elle a connu en culotte courte. Avec tantôt dans les yeux la nostalgie du temps passé ou l’esquisse d’un sourire à l’évocation de certains faits. Laure est une figure de la commune que l’on ne peut croiser dans le village sans s’arrêter pour écouter les anecdotes du temps passé. Mais laissons au maire le soin de tout raconter…

    Chère Laure,

    C’est vraiment un grand plaisir d’être à vos côtés aujourd’hui pour fêter ce bel anniversaire. Les anniversaires sont des évènements positifs car les statistiques montrent que ce sont ceux qui en ont le plus qui vivent le plus longtemps et surtout comme disait un certain contemporain : « Pour devenir centenaire il faut commencer jeune! »

    Vous êtes née le 23 juin 1925 à Labretonie. Vous y restez jusqu’ à l’âge de 6 ans puis vos parents achètent une propriété à Birac sur Trec à coté du château. Votre jeunesse va être rythmée par la guerre, vous avez 15 ans quand elle débute. Vous qui aimez la danse, vous allez trouver un partenaire, un allié pour toujours, André. Il va tout faire pour que cette période soit la plus supportable et agréable possible.

    Vous vous mariez en 1944. Pour l’occasion, comme vous me l’avez si bien raconté, vos parents abattent un veau qui va être cuisiné dans l’âtre de la cheminée car à l’époque il n’y avait pas encore de cuisinière dans le foyer familial. Ce fut un beau mariage et tous les invités furent comblés. Et vous avez pu danser sur l’air des idoles de l’époque : Joséphine Baker, Maurice Chevalier ou Tino Rossi.

    En 1952, à l’âge de 27 ans, vous quittez Birac avec André et vos deux fils Didier et Roger pour vous installer à La Sauvetat, Avenue de Grammont appelée Grand Rue à l’époque, dans l’ancienne maison Valdevit. Puis c’est la création de l’entreprise de charpente. Je me souviens des charpentes taillées sous la halle et de ces croquis (épures) à la craie sur le sol juste avant que vous ne déménagiez au moulin puis à la maison où vous vivez actuellement, nous sommes en 1966.

    Vous avez vécu ce progrès, vous qui avez vu la première scie entrainée par la force de l’eau jusqu’à la voiture électrique aujourd’hui et même l’intelligence artificielle… chose qui sert à ceux qui en manquent, je peux attester que ce n’est pas votre cas. La spécialité de votre entreprise, c’est l’abattage, le débardage, le sciage, la fabrication et le montage de ces séchoirs à tabac dit « cathédrales ». Je dis bien votre entreprise car, si André et ses ouvriers fabriquent, c’est bien vous qui gérez l’administratif : devis, factures et salaires. Vous accompagnerez même Christian lors de la reprise.

    Votre vie a été très active. Élever quatre enfants car l’air Sauvetatois va donner un nouvel élan à André puisque 8 ans après Roger, Laure, vous allez donner naissance à deux nouveaux enfants qui complèteront la fratrie, Nicole et Christian. Les sauvetatois rejoignent les Biracais ! Le bonheur ne s’arrêtera pas aux enfants puisque 6 petits-enfants vont suivre, Isabelle, Frédéric, William, Audrey, Jean-Christophe et Chloé et 7 arrières petits-enfants Maeva, Baptiste, Paul, Joséphine, Lise, Achille et Syrélis.

    La vie, parfois, fait mal, parfois épuise, parfois elle blesse aussi. Elle n’est ni parfaite, ni logique, ni facile. Et pourtant malgré tout, la vie est belle surtout avec une telle famille.
    Laure vous pouvez être ravie tous les matins qu’il fasse jour, que ça recommence, peut être les douleurs aussi mais au moins ça recommence. Vous pouvez en profiter pour parcourir le village. Car vous aimez votre village, voir ce qu’il s’y passe. Vous aimez arpenter les rues pour découvrir un nouveau chantier, voir du changement, échanger. C’est toujours un grand plaisir pour moi de faire votre rencontre, de vous écouter, et j’ai du mal à réaliser votre centenaire lorsque j’analyse le contenu, la lucidité et la cohérence de vos propos.

    Que fait une centenaire chaque matin en se levant ? Laure lit les faires parts nécrologiques du journal Sud-Ouest, et comme son nom n’y est pas, elle repart se coucher!
    Un jour, une infirmière pose cette question au père de Laure qui était centenaire lui aussi : « Quel est votre secret pour devenir centenaire ?« . « Mademoiselle, il suffit juste de ne pas mourir avant!« .

    Je vais vous faire une petite confidence. Laure a hésité à fêter ses 100ans. Elle voulait attendre 105 ans. Et puis, elle s’est ravisée en disant : « Peut-être que nous ne serions pas tous là! » Oui, car plus ça dure et plus elle a l’impression que ça ne va pas s’arrêter. Laure m’a avoué n’avoir aucun traitement ni médicament. On dit « tel père, telle fille« ! Résultat, deux centenaires!

    Elle me disait : « Ça fait bizarre d’avoir le même âge que les vieux! »

    Quand je pense que vous êtes domiciliée Rue de l’Hospice ! Parce que pour rappel, autrefois, l’hospice, c’était la maison on l’on recevait les vieillards démunis et malade. Il va falloir songer à la rebaptiser! Il y a des rues « Guerre de cent ans » et pourquoi pas la « Rue des cent ans » ?

    Un siècle, c’est un moment singulier, synonyme de respect et longévité. La présence de nombreux élus du conseil municipal autour de vous aujourd’hui est un signe qui ne trompe pas. Vous êtes une femme de valeur, de courage, d’honnêteté et une fierté pour nous tous ici. Alors Laure, nous vous souhaitons bien affectueusement un très bon anniversaire.

    Vous qui aimez la lecture, Laure, je terminerais en citant Jean D’Ormesson qui est né en 1925 comme vous : « Tout le bonheur du monde est dans l’inattendu« .

  • Toujours autant d’ambiance pour la fête des voisins du quartier haut sauvetatois

    Photos et infos enthousiastes de Marie Requier, Raymonde Ferrara et Christiane Bireaud (qui exposera ses photos avec une artiste peintre de Pardaillan du 2 au 8 juin au château d’Eymet).

    Pour cette Fête des Voisins version 2025, c’était au tour des britanniques Helen et Jerry de recevoir le quartier haut de La Sauvetat du Dropt ce samedi 31 mai. Une tradition qui perdure depuis maintenant de nombreuses années dans cette partie du village.

    C’est donc au Sorbier de Michaud que se sont retrouvés les voisins de la Route de La Tuilerie et autres lieu-dits attenants ainsi que les seuls habitants du quartier situés juste de l’autre côté de la « frontière » sur la commune de Moustier. Pour cette auberge espagnole, les tables étaient installées dans la cour de cette ravissante maison. Un accueil VIP attendait la 30aine de convives pour une soirée fort joyeuse et conviviale dont le dress code était le rose comme annoncé sur la sympathique invitation ci-dessous affichée.

    On ne citera pas ici tous les convives. Cependant, il est difficile de ne pas mentionner Gérard, toujours aussi élégant avec son petit nœud papillon rose et le chapeau assorti, Tati Sauvette à qui le rose pétant va si bien, Manu l’artiste de Belgique, Céline et Fred qui vivent à Eymet maintenant mais qui reviennent aussi souvent que possible dans leur cabane sur la colline perchée ou encore Angéla et Roddy qui ont récemment déménagé mais sont toujours les bienvenus dans le quartier.
    Que dire du menu sinon que la table était bien garnie et qu’Helen a une fois de plus régalé la compagnie de son fameux pavlova so british !

    Même si nous ne sommes pas dans le secret des Dieux, il est certain que le rendez-vous est fixé pour l’année prochaine… et que, pour notre plaisir et celui des joyeux fêtards, vous en aurez des échos, bien évidemment !

     

     

  • Les grandes manœuvres dans le jardin de la Halte du Dropt

    Les travaux au sein du jardin de l’Habitat Partagé Seniors La Halte du Dropt se poursuivent. Le maire Jean-Luc Gardeau, retraité, ses adjoints Germain Sauron et Jean-Paul Mothes, retraités, le conseiller Jeannot Garoste, retraité, apportent leurs compétences et mettent leur savoir-faire au service de la municipalité. Et ça leur plaît ! Et ça se voit !

    Les fours à pain sont maintenant restaurés avec le concours du maçon, ancien footballer de l’ASSA, Gérald Bordin. Jean-Paul s’est appliqué à poser les gouttières en zinc sur ce bâtiment qui accueille les fours. La dalle du kiosque a été coulée et, là, on peut parler de grandes manœuvres, le kiosque a été déplacé grâce au télescopique du conseiller Eric Vettorello.

    Tout une organisation et surtout, une énorme motivation de la part de l’équipe municipale qui prend du plaisir à embellir les extérieurs de ce futur Habitat Partagé à destination des Seniors. Monsieur le Maire arbore même fièrement un polo floqué qui en dit long … « l’authentique petite histoire d’un grand état d’esprit » !

    N’oublions pas le futur parking de l’Habitat Partagé qui se trouvera de l’autre côté de l’Avenue du Gué, côté école. 8 emplacements qui sont en cours de construction grâce au service voirie de la Communauté des Communes du Pays de Lauzun.

    Restez connectés pour voir la suite de la série. Il faudra habiller le kiosque. On se doute que l’équipe a prévu de se retrouver dans la foulée tandis que, de leur côté, les entreprises poursuivent le travail sur les deux maisons qui seront pourvues de 4 appartements chacune. Le chantier avance correctement. La Halte du Dropt devrait pouvoir accueillir ses premiers résidents avant la fin de l’année. Vous savez que les inscriptions sont ouvertes. Il suffit d’envoyer un courrier de motivation à la Mairie, 25 Route d’Eymet, 47800 La Sauvetat du Dropt. Tel : 05 53 83 03 27

    En plus des photos de chacun des retraités très actifs, profitez de la vidéo du déplacement du kiosque. Quand on parle de grandes manœuvres …

     

  • Un recueil de poésie pour partager l’expérience du handicap invisible

    Stéphanie Noël Lespineux, arrivée de Belgique avec sa famille, est sauvetatoise depuis plus de 10 ans. On la connaît pour son dynamisme car elle a fait l’école à la maison pour ses quatre enfants, et pour l’entreprise de jeux Accordons-Nous ! créée par Hugues son époux pour laquelle elle participe. On la retrouve aussi à la communication du Club de Canoë Kayak Vallée du Dropt grâce à sa fille Eléanore, kayakiste assidue.

    Depuis quelques temps, Stéphanie éprouve le besoin de partager son hypersensibilité sous forme de poèmes. En attendant la version papier, il est possible de télécharger la version Kobo. Mais si vous n’êtes pas équipés d’une liseuse, soyez patients, le livre imprimé sera bientôt en vente sur les marchés locaux.

    Stéphanie s’explique

    « Poésie sur ma drôle de vie arrive en version papier dans les prochains jours mais pour les lecteurs sur liseuse ou en numérique, voici la version KOBO.

    Ce recueil de poèmes porte sur le handicap invisible : TDAH, troubles de l’humeur, hypersensibilité, troubles alimentaires,…
    Ce livre raconte une partie de ma vie. Je vous la partage pour tenter de retrouver confiance en l’existence. Mais également pour dire à ceux qui parcourent le même chemin de vie qu’ils ne sont pas seuls.

    Merci pour votre soutien et à très vite, sur les marchés, avec les livres imprimés! »

  • Réfection des deux fours à pain de la Halte du Dropt

    Photos de Jean-Luc Gardeau.

    Après deux samedis de déblaiement du bâtiment abritant les fours à pain situés dans l’enceinte de l’Habitat Partagé Seniors, ont débuté les travaux de réfection de ces joyaux du passé. Grâce à l’aide de Gérald, ancien coéquipier de foot et ami de Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau, le seuil de l’un des fours est maintenant refait et la voûte resuivie.

    Nous en saurons plus la semaine prochaine puisque les travaux reprennent ce lundi 7 avril.

  • A-t-on le droit de nourrir les pigeons ?

    Le parvis de l’église est constamment couvert de fientes de pigeons. Chaque semaine, les employés municipaux emploient leur matinée du vendredi au nettoyage complet de cette entrée. Mais force est de constater que si les pigeons n’étaient pas nourris à cet endroit-là, le travail serait plus simple et moins contraignant.

    Cette semaine, les employés municipaux sont en vacances et c’est la responsable de l’église qui a dû se charger de ce travail fastidieux afin de rendre l’entrée de l’édifice présentable pour des obsèques!

    Pour appuyer cette demande, voici ce que dit la loi :

    « Il est interdit d’attirer ou de nourrir systématiquement ou de façon habituelle des animaux, notamment les pigeons, quand cette pratique est une cause d’insalubrité.

    Le préfet peut, par arrêté, interdire, sur les territoires et pour la durée qu’il définit, le nourrissage d’animaux de la faune sauvage, notamment les pigeons.

    Cette interdiction a pour but de prévenir la transmission de maladies entre animaux de la faune sauvage et animaux domestiques ou de compagnie ou entre animaux de la faune sauvage et humains.« 

    Il en va donc de la santé de tous. Et franchement, les pigeons ne sont pas en manque de nourriture! Les alimenter ne leurs rend absolument pas service!

  • Un silure de 80 kg pêché dans le Lac de l’Escourou!


    Hervé, d’Eymet, qui pêchait tranquillement avec son fils au Lac de l’Escourou un dimanche de novembre, a senti sa canne à pêche piquer du nez et compris très vite que la prise était de taille. N’ayant pas de matériel adapté, il décidait de fatiguer la bête en la promenant de droite à gauche pendant plus d’une heure puis d’appeler son frère pour l’aider à la tirer du lac. Au final, la bête est un silure de 2,82 m pour 80 kg!

    L’événement a eu lieu en présence de son fils Tom âgé de 7 ans. Très impressionné par l’opération, il n’en pose pas moins fier sur la photo donnée par l’heureux pêcheur!

    Félicitations!

     

  • Photo de classe des années 50, quelques noms donnés …

    Merci à Danielle Mercat, aujourd’hui Danielle Corbière, ancienne institutrice, qui a très sérieusement repris règle et crayon pour dessiner le plan de la classe et commencé à mettre une date et des noms sur cette photo envoyée par Daniel Bordessoulle.
    Le travail étant en cours, qui saura poursuivre ?
    Nous attendons vos réponses à info.sauvetatdudropt@gmail.com

  • Les jeux d’autrefois dans le village … mais qui trouvera le nom des athlètes ?

    Depuis toujours, les associations sauvetatoises ont organisé des manifestations dans le village. Si nous remontons dans les années d’après guerre, les jeunes, très nombreux, participaient assidument aux défis sportifs.

    Voici deux photos envoyées par Daniel Bordessoule qui lui-même les tenait de Jeannette Yousfi (tante de notre Tati Sauvette!) pour sauvegarder la mémoire du village.

    Sur la première, on peut voir deux jeunes gens, fille et gars, semblant participer à une course de brouette si l’on en juge par le mouvement qui semble vif et déterminé de la conductrice tandis que son coéquipier tente de garder l’équilibre! On voit des chaises alignées dans la rue pour des spectateurs qui ne doivent pas être très loin.

    Sur la seconde, quatre gaillards en caleçon de bain posent devant l’objectif. On sait qu’il existait une « plage » dans le village tout au bout de l’Avenue du Gué. On peut supposer qu’ils vont se baigner. Ou bien, qu’ils vont participer aux jeux qui étaient organisés sur le Dropt au bout de la Place du Moulin.

    Bref, beaucoup de questions dont nous aimerions avoir les réponses. Et puis, qui saura reconnaître ces six jeunes et nous donner les noms ? Qui saura nous parler des manifestations dont il s’agit ?

    Nous attendons vos réponses à info.sauvetatdudropt@gmail.com