• Lauzun fait un appel aux dons pour l’achat du château

    Information reprise sur la page Facebook de la Communauté de Communes du Pays de Lauzun. Photo de l’Office de Tourisme du Pays de Lauzun.

    « Afin de soutenir la commune de Lauzun qui souhaite préempter le Château de Lauzun (classé Monument Historique), son parc et ses dépendances, l’association Les Amis du Châteaux de Lauzun lance un appel à don.

    Retrouvez toutes les informations et l’accès à la plateforme de don via le site de la commune https://www.ville-lauzun.fr/

    Merci à tous pour votre participation.
    N’hésitez pas à partager au plus grand nombre pour que ce beau projet puisse voir le jour et que le Château de Lauzun redevienne public ! »

  • 43 ans après son père, Constance Tenot, se classe 6ème au Concours National de la Résistance et de la Déportation

    Explications de Jean-Pierre Tenot, adjoint au Maire, père de Constance. Photos de Paul Robin du Studio Pollux que l’on remercie d’avoir accepté de couvrir l’événement au pied levé et sans hésitation.

    Comme chaque année, et depuis maintenant des décennies, le Concours National de la Résistance et de la Déportation est ouvert à tous les collégiens et lycéens de France, sur la base du volontariat, sous forme de travail individuel ou collectif.

    Pour ce travail de recherche puis de rédaction, les élèves sont soutenus par les différents professeurs d’histoire-géographie de chaque établissement. Si ces travaux permettent, bien sûr, d’entretenir la mémoire collective de ces sombres heures de notre histoire, ils donnent aussi l’occasion aux élèves d’exceller dans la quête de documents, l’analyse puis l’écriture.

    L’épreuve, qui a duré 3 heures, a eu lieu le 30 mars. Le thème étant le suivant: « L’école et la résistance: des jours sombres aux lendemains de la libération (1940-1945). »
    Pour l’académie de Bordeaux, 1800 élèves se sont prêtés à cet exercice.

    Au cours de la première phase, un jury départemental sélectionne les différents travaux. Seuls ceux obtenant la mention « excellent » sont qualifiés pour le classement final au niveau académique. Ce fût le cas pour 83 d’entre eux dans la catégorie épreuve individuelle lycée.

    Notre village représenté par Constance

    La Sauvetat du Dropt était représentée par Constance TENOT en classe de terminale au Lycée Val de Garonne de-Marmande. Son devoir ayant obtenu la mention « excellent », Constance était donc qualifiée pour le classement final avec son collègue de la même classe, Paul ANASTAZE.

    La deuxième phase, celle de la remise des prix au niveau de l’académie, avait lieu à l’Athénée Municipal de Bordeaux le vendredi 16 juin. Constance et Paul étaient accompagnés par leur professeur Mr COURRÈGELONGUE. Ils se classaient tous deux 6ème ex-aequo.

    Une histoire qui se répète dans la famille Tenot

    43 ans plus tard, l’histoire se répète pour la famille TENOT puisque le père de Constance, Jean-Pierre, adjoint au maire, avait lui aussi reçu un prix pour ce même concours sur la résistance. Clin d’œil du temps, la boucle est bouclée !

    Félicitons Constance et Paul de VDG et bravo à Isia TALBI de Pau, grande gagnante 2023 pour cette catégorie « rédaction d’un devoir individuel en classe ». Elle a représenté le Béarn avec brio !

     

  • Martine sur le Chemin d’Amadour de Bordeaux à La Sauvetat

    Suite du parcours achevé de Martine Brosse sur le Chemin d’Amadour. Martine, pèlerine confirmée, conseillère municipale de La Sauvetat du Dropt qui se propose de vous conseiller si vous souhaitez faire ce parcours de Soulac à Rocamadour …

    En ce 2 juin, au petit matin, le vieux pont de Bordeaux est traversé sans problème.

    L’agglomération rive droite est un peu longue à passer mais on prend légèrement de la hauteur vers Floirac et Bouliac d’où on a une dernière vue sur le panorama de Bordeaux.

    Je rentre dans l’Entre-Deux-Mers, emprunte un moment la piste cyclable Roger Lapébie et arrive à La Sauve Majeure (magnifique abbaye bénédictine qui accueillait en son temps pèlerins et croisés) où je passe la nuit chez 2 sympathiques paroissiennes.

    Le lendemain de nouveau la piste cyclable direction Sauveterre de Guyenne. Arrêt à Rauzan – Impossible de trouver un logement pour la nuit !

    Je continue vers Saint Ferme où je sais trouver un refuge de pèlerins de la voie de Vézelay. L’imposante abbaye domine le village.

    Le 4 juin je reprends le chemin tranquillement vers Duras. Terrain connu : Sainte Colombe, Baleyssagues…

    Le 5 juin ma dernière étape vers La Sauvetat. Depuis Saint Ferme le chemin est bien balisé. Je retrouve facilement ma maison!!

    Le chemin d’Amadour continue sur Eymet, Issigeac, Saint Avit Sénieur, Cadouin, Belvès, Castelnaud la chapelle, Grojélac, Saint Julien de Lampon, Souillac et Rocamadour. Ayant effectué ce chemin dans les 2 sens (2018 et 2021) je m’arrête donc.

    10 jours c’est un peu court mais très chaud (pour les pieds!).

    Chemin ouvert depuis peu pour la portion Soulac-Eymet les hébergements ne sont pas prévus et j’ai trouvé le balisage un peu juste. Merci encore aux ami(e)s qui m’ont aidée à trouver des âmes charitables.

    Si vous vous décidez à partir sur ce chemin d’Amadour je peux vous donner tous les renseignements possibles.

    « L’unique moyen de savoir jusqu’où on peut aller, c’est de se mettre en route et de marcher » Henri Gergson … E Ultreïa, en avant !

  • Martine, la pèlerine, sur le Chemin d’Amadour

    La revoilà sur la route pour cheminer sur le CHEMIN D’AMADOUR qui va de Soulac à Rocamadour, de l’Océan Atlantique aux Causses du Quercy ! C’est pour parcourir ces 500 km que Martine Brosse, pèlerine chevronnée, a abandonné son poste de conseillère municipale à La Sauvetat du Dropt et le Point Lecture qu’elle ouvre chaque mercredi pour découvrir ce nouveau circuit.

    Elle nous enverra un récapitulatif de son parcours chaque semaine ainsi qu’une sélection de photos pour nous imprégner du chemin et de son atmosphère. Suivons là, pas à pas …

    Elle raconte …

    « Samedi 27 mai, début du chemin d’Amadour. Départ devant la basilique « Notre-Dame de la fin des terres » de Soulac. Ce chemin suit l’estuaire de la Gironde (plus ou moins) jusqu’à Pauillac et repart dans les terres direction Bordeaux.

    Ces paysages ne nous sont pas familiers. Il s’en dégage une atmosphère particulière, une puissance due aux marées et une certaine solitude.
    Les levers de soleil sont majestueux et les personnes qui m’ont hébergée super accueillantes. Merci aux sauvetatoises Kristin et Marie de m’avoir trouvé des maisons où dormir. J’ai même fait une portion de l’étape vers Pauillac avec Quentin et Roméo, 2 ânes appartenant à un ami de Marie. Nouvelle expérience !

    Ce jeudi 1er juin, c’est mon 6ème jour avec l’arrivée sur Bordeaux, voitures et bruit …

    Je passe la Garonne demain matin (vendredi) par le vieux pont de pierres. Créon, Rauzan, Sauveterre de Guyenne, Monsegur, Duras seront mes prochaines étapes pour arriver à la Sauvetat le 7 juin. En espérant qu’il fera moins chaud que ces 6 premiers jours… »

  • Un panneau tourisme mis à jour


    Si vous avez l’occasion de vous garer sur la Place du Moulin (parking du P’tit Panier du Dropt et de l’Agence Postale), vous avez peut-être remarqué qu’un des panneaux tourisme est flambant neuf ! Il reprend le plan de la visite guidée du village avec des photos récentes des 12 centres d’intérêts, annonce le jeu de piste Randoland à destination des familles ainsi que la randonnée de 9km intitulée « Balade du Pont Roman » avec la précision du point de départ.

    A découvrir à l’entrée de la place, près de l’ancien mur et du sentier qui mène au Pont Roman.

  • Commémoration du 78ème anniversaire de la Victoire du 8 Mai 1945

    Lundi 8 Mai, une délégation menée par Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau se retrouvait devant le monument aux morts pour commémorer le 78ème anniversaire de la Victoire du 8 Mai 1945. C’est Martine Brosse, conseillère municipale et correspondante défense qui lisait le message national de Monsieur Sébastien LECORNU, ministre des Armées et de Madame Patricia MIRALLES, secrétaire d’État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire pour cette commémoration.
    Message à lire ci-après : 2023 – Message pour le 8 mai

    Parmi les gens présents, des enfants accompagnés de leurs parents, des anciens et un groupe de britanniques du village représentant les forces alliés.

    Après la cérémonie, le groupe était invité à la mairie pour le partage du verre de l’amitié.

  • Portraits de sauvetatois, archives de Paulette, alors adjointe au maire

    Voici un agencement de photos d’identité déniché par le Maire Jean-Luc Gardeau dans les nombreuses archives communales de sa mère Paulette, décédée à l’automne 2021.
    Cette dernière, figure omniprésente et très active du village, a débuté son mandat d’élue en tant qu’adjointe au maire de 1983 à 2008 auprès de Gilbert Grannereau puis de 2008 à 2014 aux côtés de son fils, soit 31 ans de bons et loyaux services.

    Sous les photos, Paulette a identifié les portraits en précisant, pour deux d’entre eux, leur statut de maire et les dates de leurs mandats. Si Gilbert Grannereau n’est pas mentionné en tant que Maire, c’est certainement parce que ce travail a été fait au tout début de sa fonction, en 1983.

    Nous faisons appel à vos souvenirs.

    Certains prénoms manquent et une photo reste sans nom. Saurez-vous compléter et nous en faire part ? Une participation active pour enrichir les archives et donc la mémoire du village. Vos courriers sont à adresser à info.sauvetatdudropt@gmail.fr Merci d’avance.

  • Commémoration du 11 Novembre 1918


    Journée nationale de commémoration de l’Armistice du 11 novembre 1918 et d’hommage à tous les morts pour la France.

    Un peu d’Histoire

    Si le 11 novembre est devenu un jour de mémoire, c’est aussi la mémoire d’un jour, celui de l’Armistice de 1918 qui mit fin aux combats de la Première Guerre mondiale (1914-1918).

    C’est en effet le 11 novembre 1918 au Palais Bourbon, à 16 heures, que Clémenceau lit les conditions d’armistice, salue l’Alsace et la Lorraine et rend hommage à la Nation. Ce « jour de bonheur » ne peut faire oublier à l’ancien combattant, revenu à la vie civile, l’expérience tragique et le message dont il est porteur. Il importe en effet que le courage et les sacrifices des soldats durant ces quatre années de guerre restent dans chaque mémoire. Ce sont les anciens combattants qui vont imposer peu à peu le 11 novembre comme fête nationale.

    Enjeu mémoriel

    Le 11 novembre au service «des mémoires de la Grande Guerre»

    Le 11 novembre, jour de commémoration de l’armistice de 1918, est progressivement devenu l’occasion de questionner et donner à comprendre l’histoire. Désormais, ce jour de mémoire permet d’évoquer régulièrement un épisode particulier de la Grande Guerre, éventuellement associé, en fonction des anniversaires, à une thématique plus large : en 1989, la Grande Guerre et la mémoire de la Révolution française . en 1992, les troupes coloniales dans la Première Guerre mondiale . en 1998, la contribution des Alliés à la Première Guerre mondiale . en 2003, le 85e anniversaire de l’Armistice de 1918 et le 80e anniversaire du premier allumage de la Flamme du Souvenir par André Maginot . en 2004 le début de la guerre et la victoire de la Marne . en 2006, Verdun . en 2008, le 90e anniversaire de l’Armistice de 1918 . en 2014, le centenaire du début de la Grande Guerre et l’inauguration de l’anneau de la mémoire . en 2016, le centenaire de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre . en 2017, le centenaire de l’arrivée au pouvoir de Clemenceau, etc.

    Le 11 novembre et la mémoire des OPEX

    OPEX : Opérations militaires extérieures de la France

    La loi du 28 février 2012 fait de cette journée nationale une journée d’hommage à tous les morts pour la France, quel que soit le conflit. Le 11 novembre devient une forme de catalyseur des mémoires des morts au combat, permettant pleinement aux OPEX d’être intégrées à la mémoire collective. Cette nouvelle législation impose par ailleurs aux communes de naissance ou de dernière domiciliation d’inscrire sur le monument aux morts, ou à proximité, les noms des personnes dont l’acte de décès porte la mention « mort pour la France ». Dès lors, tous les noms des soldats tombés en OPEX obtenant ladite mention sont inscrits sur les monuments aux morts des communes.

    Information tirée du site cheminsdememoire.gouv.fr et diffusées par le Secrétariat d’État chargé des Anciens combattants et de la Mémoire.  

  • Arrêt de Jaquets aux gîtes de La Castagnère

    Récit de Anne Lesimple, conseillère municipale, elle-même marcheuse et pèlerine sur les chemins jacquaires.

    « Fin mai, Jacqueline et Jean-Pol Poulet, propriétaires des Gîtes de La Castagnère situés sur les hauteurs de La Sauvetat du Dropt, contactait Anne Lesimple pour expliquer que des amis, partis de Mons en Belgique pour aller vers Compostelle, venaient passer quelques jours chez eux.
    C’est comme cela qu’avec Martine, pèlerine confirmée, elles se sont retrouvées à la Castagnère autour d’un copieux apéro …

    « Partis de Mons le 25 mars dernier, Michel et Jeanne, sac au dos, se proposent de rejoindre Saint Jacques de Compostelle pour la fin juillet. Ayant eu quelques soucis de santé au niveau de Clamecy en Bourgogne, ils se sont interrompus trois semaines.

    Les anecdotes fusent ! Jeanne abonde, Michel est plus discret. Tout de suite, nous retrouvons l’esprit du chemin … depuis 2014, année de leur premier départ, ils sillonnent les chemins de France et d’Europe : Vézelais, le Puy, le Portugal, le camino Mozarabe qui va d’Almeria à St Jacques, le camino del Norte …

    Samedi 4 juin, nos amis du chemin repartent de St Ferme pour rejoindre La Réole puis Bazas où ils vont retrouver un ami …

    Ultreïa les amis ! Bon chemin ! »

  • Les « Vieux Boulons Marmandais » se font raconter le village

    Commentaire et photos de Martine Brosse, conseillère municipale et responsable du Point Lecture, une des guides pour la journée. Autres photos des adhérents aux Vieux Boulons Marmandais.

    Dimanche 15 mai, l’association « Les Vieux Boulons Marmandais » qui réunit des passionnés de vieille mécanique venait visiter le village de La Sauvetat du Dropt, accueillie par trois guides des Amis de la Sauveté dont le président Jacques Foglia.

    Arrivés à bord de voitures de collection et sous un franc soleil, Francine, Martine et Jacques les attendaient sur le parking de la Place du Moulin. Comme très souvent, la visite commençait derrière l’Église St Germain, près de la Place du Prieuré puisque c’est là que sont les origines du village avec l’implantation de religieux vers le VIème siècle.
    Puis, le groupe prenait la direction de la Rue de l’Hospice en passant par le Pont Roman, se dirigeait vers la Place du Temple, passait ensuite au pied de la Tour de Monviel, observait les vestiges de la Porte de Duras via l’Avenue de Grammont puis la Prairie des Croquants pour finir au frais dans l’église.

    Heureux d’avoir découvert la vie et le passé de notre charmant village, les visiteurs sont repartis dans leur belle auto vers Monteton où un bon repas les attendait.

    Les Amis de la Sauveté les remercient de s’être arrêté et de les avoir écoutés. Une remise en piste après ces deux années de restrictions sanitaires qui ne permettaient plus d’accueillir de groupes. Une remise en scène aussi avant l’accueil des nouveaux arrivants du village programmé au samedi 11 juin.

  • Le Guide du Lot-et-Garonne donne l’envie de visiter le village


    Que vous soyez acteurs du tourisme professionnels, que vous receviez famille et amis ou que vous ayez seulement l’envie de découvrir le département, pensez à consulter le Guide du Lot-et-Garonne qui met en avant nos villes et villages avec de belles photos et des explications détaillées.

    C’est le cas pour La Sauvetat du Dropt qui avait reçu la visite de Nathalie Jouat Bontemps l’été dernier sous un soleil radieux. Le reportage est bien détaillé. Il se déroule au fil des rues et ruelles en reprenant le parcours du circuit numérique que l’on peut suivre grâce au qr code à flasher sur les panneaux disponibles aux endroits stratégiques du village.

    Visite de La Sauvetat du Dropt et son pont à 23 arches ! 

  • Histoire de la gare La Sauvetat-Agnac, épisode 3 en ligne

    La gare aujourd’hui (photos 1, 2 et 3), située sur la commune d’Agnac et carte postale de la gare dîtes de La Sauvetat du Dropt datant du début du XX° siècle..

    Rappelons comment tout a commencé

    C’est le 15 novembre 2019 que Jean-Luc Gardeau, Maire de La Sauvetat du Dropt, reçoit un appel téléphonique de Monsieur Comont, membre de l’Association « Chemin de Fer de Vendée » (CFV) dont l’un des buts premiers est la remise en état du patrimoine ferroviaire. Association basée à Mortagne sur Sèvre (85).
    Dans leurs ateliers en cours de restauration, une luxueuse Voiture Salon Pullman numérotée 4150, classée aux Monuments Historiques depuis 2003, dont l’histoire est liée à l’ancienne gare de notre village, étrangement située sur la commune d’Agnac.
    Après plusieurs échanges téléphoniques, l’idée d’un récit détaillé sur l’Histoire de la gare est née visant à enrichir les pages du site du village mais aussi à interpeller les amoureux de l’histoire ferroviaire passée, comme l’est Monsieur Comont, pour que chacun puisse partager des éléments écrits ou oraux qu’il aurait en sa possession.

    Depuis fin 2019, deux dates de rencontres ont été fixées à La Sauvetat du Dropt entre Eric Comont et Jean-Luc Gardeau auxquelles été invitées Stéphane Dusseau, responsable du Comité Archéologique d’Eymet. Deux dates prévues en 2020 mais reportées en raison des arrêtés de confinements successifs ou des différentes mesures sanitaires ! Les échanges se poursuivent cependant, par téléphone ou par mail permettant de mettre en ligne aujourd’hui le troisième épisode de l’histoire de la gare et du chemin de fer dans notre région …

    Depuis ces premiers échanges, à l’occasion de sa retraite, le Conseil Municipal décidait d’offrir au Maire Jean-Luc Gardeau une balade en train-restaurant à bord d’une voiture des Grands Express ayant parcouru l’Europe dès la fin du XIX° siècle. Balade programmée au printemps 2020 mais repoussée en mai 2021 pour les raisons sanitaires que l’on sait ! Quoiqu’il en soit, le couple officiel est revenu enchanté de l’escapade, Monsieur le Maire ayant eu le privilège de visiter les ateliers de restauration où se trouvent la 4150 par l’entremise de Monsieur Comont qui n’avait pu se libérer ce jour-là.

    Aujourd’hui, nous savons, grâce à Monsieur Comont toujours, qu’une machine à vapeur est en cours de restauration dans les ateliers du CVF et devrait être remise en service en juin 2023. Quant à la 4150, les travaux ont repris depuis juin sur le volet électrique et le freinage. Un travail gigantesque mené par des bénévoles passionnés âgés de 14 à 80 ans que vous pouvez voir sur le site du Chemin de Fer de Vendée


    Mise en ligne de l’Épisode 3, rappel des épisodes précédents
    • L’épisode 1 portait sur la gare de La Sauvetat et son exploitation ferroviaire;
    • L’épisode 2 expliquait les circulations sur les lignes et en gare à la veille de la seconde guerre mondiale;
    • L’épisode 3 nouvellement mis en ligne porte sur la signalisation et le matériel roulant.
    Remerciements

    Monsieur Gardeau et son Conseil Municipal remercient chaleureusement Monsieur Comont pour ce fastidieux travail de recherche et la mise en page de l’histoire de notre gare et du chemin de fer en général. Un travail précieux que nous prenons plaisir à découvrir et que nous archivons pour permettre aux passionnés d’histoire de trouver là matière à s’enrichir.

    Nous espérons vivement le recevoir en 2022.