• La vie de l’US Cyclo en période de confinement

    En ces temps troublés, la vie des associations tourne au ralenti. L’US Cyclo Club poursuit néanmoins ses entraînements comme nous l’explique ici le secrétaire Paulo Labattut que vous pouvez contacter au 06 59 49 45 89 ou via Mail labattut.jeanclaude@bbox.fr si vous souhaitez rejoindre ce groupe sympathique et découvrir la région en vélo.

    « Tout en respectant les restrictions gouvernementales ainsi que le règlement spécifique à notre sport, nous poursuivons nos entrainements bi-hebdomadaires.

    Avec le printemps qui arrive, les jambes fourmillent, le beau temps aidant, difficile de résister à la promenade.
    Ainsi ce samedi, neuf cyclistes étaient présents devant la maison des loisirs à LA SAUVETAT. Jean-Pierre Meyrat, notre président, était sur place pour les recommandations d’usage en cette période particulière.
    Nous voici donc organisés en deux groupes distinct inférieur à 6 personnes pour sillonner les petites routes dans un rayon de 10kms.

    Ce confinement aura au moins eu le mérite de nous faire découvrir les diverses routes environnantes avec leurs raidillons caractéristiques. »

  • Vente ou location de jeux de société, l’entreprise Accordons-nous est sauvetatoise

    Photo de Marie-Pierre Caris du Républicain Marmande.

    Stéphanie et Hugues Noël ont lancé leur activité en février 2020 ! Baptisée ACCORDONS-NOUS, leur entreprise propose à la vente ou à la location des jeux d’ambiance, de réflexion, de dessin, des jeux pour enfants, d’autres pour ados et adultes, des jeux de stratégie dès l’âge de 2 ans ou encore des loisirs créatifs, des puzzles et des jeux d’extérieur. Tous sont joyeusement testés par la famille composée de 4 enfants âgés de 5 et 12 ans.

    Vu la situation sanitaire qui les empêche de se présenter sur les marchés du secteur, d’ouvrir la boutique et d’organiser des événements, ils ont plus que jamais besoin d’augmenter leur visibilité. Vous pouvez voir le détail de leur boutique et les nombreux jeux présentés chaque semaine sur leur page Facebook intitulée jeuxaccordonsnous. Vous êtes largement invités à partager leurs annonces et à profiter de leurs offres ponctuelles. Ils proposent également la livraison gratuite jusqu’à 20 km autour du village.

    Vous en saurez plus en lisant l’article de la journaliste du Républicain Marie-Pierre Caris. Elle a interviewé Stéphanie et Hugues dans le courant du mois d’avril. Un article intitulé Lot-et-Garonne, ils vendent et louent des jeux de société depuis leur belle campagne.

    Pour les contacter via mail : accordons-nous@outlook.fr ou téléphone : 06.31.39.40.35

  • Les Amis de la Sauveté reportent la randonnée du 30 avril


    En raison des mesures sanitaires, l’Association des Amis de la Sauveté a décidé de reporter la randonnée pédestre prévue le vendredi 30 avril. La date de ce report sera communiquée en fonction de l’évolution des mesures gouvernementales. Merci pour votre compréhension.

  • Accordons-nous, une entreprise sauvetatoise dont on parle !

    Article et photo de Marie-Pierre Caris parus sur le journal Le Républicain du 21 avril. Située dans la campagne de La Sauvetat du Dropt, l’entreprise Accordons-nous propose des jeux de société à la vente ou à la location. Mise à mal en raison des mesures sanitaires imposées par le gouvernement, ce communiqué annonce qu’il est possible de contacter Hugues et Stéphanie pour vous faire livrer à domicile jeux et loisirs créatifs qui égaieront vos journées de confinés et celles de vos enfants …

    Lot et Garonne. Ils vendent et louent des jeux de société depuis leur belle campagne

    Stéphanie et Hugues Noël vivent à La Sauvetat-du-Dropt avec leurs 4 enfants. Fans de jeux de société, ils en ont fait leur métier.

    Stéphanie et Hugues Noël ont créé leur entreprise de vente et location de jeux de société, « Accordons-nous! » depuis leur village d’adoption, La Sauvetat-du-Dropt, avec service de livraison, une boutique et du click and collect.

    Ils se sont installés dans la campagne de La Sauvetat-du-Dropt depuis 6 ans, pour une nouvelle vie, avec un nouveau métier à la clef. Ils, ce sont Stéphanie et Hugues Noël, un sympathique couple belge, qui a craqué pour notre beau pays à l’occasion de vacances, il y a une dizaine d’années.

    « On s’était dit qu’on viendrait vivre ici plus tard. C’est donc ce que nous avons fait : on a quitté nos boulots, notre maison, pour vivre ici avec nos 4 enfants et nous réinventer. »

    Et ils vont le faire jusqu’au bout, car leur nouvelle activité professionnelle est insolite par ici : ils vendent et louent des jeux de société.

    Envie de partager

    Dans leur espace boutique, à l’entrée de leur maison, plus de 1.000 références et des boîtes de jeux qui feraient rêver les plus réfractaires tant elles sont belles !

    Ils voulaient faire… société avec les jeux de société ! « Nous n’avions pas du tout envie de faire juste un site de vente en ligne, explique Hugues. Nous voulions faire des animations, travailler avec les associations et les mairies, être sur les marchés, rencontrer des gens… Sauf que nous avons lancé l’activité en février 2020… ».

    Alors, depuis, le couple est quasiment confiné dans sa petite boutique, hormis quelques marchés auxquels il a pu participer.

    Plus de 1.000 références

    Mais pas question d’abandonner, et même pendant les confinements, Stéphanie et Hugues peuvent livrer les jeux, à une bonne vingtaine de kilomètres aux alentours.

    D’ordinaire, la boutique est ouverte deux après-midi par semaine (les mardi et jeudi), et offre un choix exceptionnel : des jeux d’ambiance, de réflexion, de dessin, des jeux pour enfants, d’autres pour ados et adultes, des jeux de stratégie à partir de 2 ans… « Nous évitons les jeux grand public qu’on peut facilement trouver ailleurs. Nous sommes allés chercher quelques éditeurs français, par exemple. Il y a aussi beaucoup de jeux pour 2 joueurs, ou encore des jeux classiques, bien sûr ».

    A la vente, tous les jeux sont neufs, et le couple a développé son catalogue avec les loisirs créatifs et des puzzles. Les jeux en location restent 2 semaines en quarantaine avant d’être de nouveau proposés.

    Quasiment tous ont été testés par le couple.

    « Si on veut conseiller les gens, il faut que nous connaissions les jeux. Et puis, nous ne prenons que des jeux qui ont un sens pour nous, qu’on apprécie. Mais la gamme est assez large ! ».

    Chacun peut en effet y trouver son bonheur, avec les conseils pour le moins éclairés de Stéphanie et Hugues Noël.

    « Accordons-nous ! », site internet : www.accordons-nous.net, Page Facebook : @jeuxaccordonsnous, Tél. : 06.31.39.40.35.

  • Le P’tit Panier du Dropt et ses offres de saison

    Dans votre épicerie de proximité du P’tit Panier du Dropt située Place du Moulin à La Sauvetat du Dropt, vous trouverez, entre autres fruits et légumes de saison et produits locaux, des bouquets colorés d’Agnès Gatel de Soumensac et un arrivage de poissons et crustacés chaque jeudi matin.

  • Joie de vivre pour les pensionnaires de l’Écurie Karine Dercourt

    Vu sur une page Facebook cette semaine, cette vidéo qui amène le sourire et la bonne humeur. On y voit deux des chevaux de l’Écurie Karine Dercourt manifester une certaine joie de vivre. Karine accepte de la partager.

    L’écurie de Karine Dercourt est située au lieu-dit Peyronnette à La Sauvetat du Dropt et vous propose différentes prestations de qualité pour vous et votre cheval: enseignement à domicile ou aux écuries, travail du cheval, débourrage, pension, tonte, passage de galop, gardiennage … Si le confinement vous pèse et si vous souhaitez débuter en équitation, n’hésitez pas à la contacter. Ses coordonnées : dercourtkarine@gmail.com / 0686045163 ou page Facebook Karine Dercourt.

  • Miroir de sécurité pour une meilleure visibilité en sortant de la Rue du Plantier

    Demandé depuis longtemps par les habitants du Plantier lorsqu’ils débouchent sur la D19 en direction de Ste Foy-la-Grande, un miroir de sécurité a été posé par les employés communaux de La Sauvetat du Dropt pour sécuriser ce carrefour à la visibilité réduite.

  • Histoire de la gare, les circulations sur la ligne jusqu’à la veille de la seconde guerre mondiale – Recherches de Monsieur Éric Comont

    Nous venons de recevoir l’Épisode 2 relatant l’Histoire de la gare de La Sauvetat du Dropt.
    Monsieur Comont, passionné de chemins de fer, bénévole au sein de l’Association CFV, poursuit ses recherches …

    Voici le préambule mis à jour et l’épisode 2 en suivant.

    La gare de La Sauvetat-du-Dropt, ou l’histoire d’une rencontre improbable et mouvementée avec une voiture de luxe (wagon pullman n°4150) de la Compagnie des Wagons-Lits en juin 1944

    Début juillet 2017, le Chemin de Fer de la Vendée (CFV) réceptionnait après quelques péripéties, le wagon pullman n°4150. Ce wagon inscrit aux monuments historiques avait été confié par l’armée au CFV, et avant son arrivée, un travail historique nécessaire à sa restauration avait été entamé, lequel n’a pas cessé depuis. Très vite, l’histoire de ce véhicule prestigieux s’est révélée passionnante, avec des épisodes singuliers, qui vont me conduire avec d’autres personnes, dont un membre de l’association, aux confins de la Dordogne et du Lot et Garonne, et de la gare de la Sauvetat-du-Dropt en particulier.
    C’est à la fois les contacts avec la commune de La Sauvetat, et les informations accumulées qui ont fait germer l’idée de retracer l’histoire de la gare, et « l’irruption » du 4150 dans celle-ci en juin 1944.

    L’objectif de ces épisodes est double : retracer les faits historiques importants relatifs à la gare de la Sauvetat-du-Dropt, afin de comprendre les raisons qui ont poussé la Compagnie des Wagons-Lits à placer du matériel dans cette gare et d’autres, aux limites de la Dordogne et du Lot-et-Garonne. Une remarque, la notion de gare renvoie à un espace dans lequel on va trouver différentes installations, plus ou moins développées, cela désigne également le bâtiment destiné aux voyageurs, avec un guichet, une salle d’attente et un espace bagages. Le terme sera utilisé dans ces deux sens.
    Cela a nécessité de revenir sur l’histoire locale, où l’arrivée du Chemin de Fer à la fin du XIXème siècle, a eu un impact économique et social important, et ce à l’image de beaucoup d’autres régions rurales françaises, et quasi oublié depuis. On est aussi dans le présent et le futur, avec cette voiture qui fait le lien entre l’histoire locale de la gare de La Sauvetat, et la vie actuelle du CFV. C’est aussi une forme de contribution à cette histoire, et l’objectif au final, est de la partager en toute simplicité.

    Outre l’histoire de la gare, chaque épisode comprendra un point travaux sur la restauration du pullman 4150. Ces épisodes sont construits à partir des informations disponibles à la date de rédaction, et peuvent être modifiées en fonction de mises à jour. Les informations sont parfois limitées, et certaines demanderaient un gros travail de recherche qui n’est pas possible en l’état, ou tout au moins à court terme. Evidemment, tous les témoignages relatifs à ces épisodes sont les bienvenus, et seront intégrés dans cet historique.

    Un aspect important, c’est de respecter les propriétaires actuels des bâtiments de l’ancienne gare, et la tranquillité des lieux.

    Bonne lecture à tous,

    Eric COMONT, membre du Chemin de Fer de la Vendée

    A découvrir – Épisode 2 : La gare de la Sauvetat-du-Dropt : Les circulations sur les lignes et en gare jusqu’à la veille de la seconde guerre mondiale

  • Info CCPL, des aides de l’ADEME pour la transition écologique

    Une info relayée par la Communauté de Communes du Pays de Lauzun. L’ADEME, agence de la transition écologique, finance la transition écologique de votre entreprise.

    Les entreprises, dont celles du monde agricole, doivent répondre à une équation complexe : comment développer leur activité, génératrice de croissance économique et d’emplois, tout en prenant en compte les enjeux environnementaux ? Différentes opportunités existent à court, moyen ou long terme. L’ADEME accompagne les entreprises qui souhaitent agir avec des outils et des financements adaptés à leurs besoins, ainsi qu’à travers des partenariats avec les chambres consulaires et les organisations professionnelles.

    Aides ADEME entreprises et monde agricole

    Tremplin pour la transition écologique des PME

    Investissement pour la gestion des biodéchets des acteurs économiques

    Subventions aux équipements de lutte contre le gaspillage

  • Pas de télétravail pour la coiffeuse qui fait l’école dans le salon !

    Pour ce troisième confinement décrété depuis le 3 avril et pour 4 semaines, le gouvernement impose la fermeture des écoles jusqu’au lundi 26 avril pour les maternelles et les primaires et jusqu’à la semaine suivante pour les collèges et les lycées. Mais école fermée ne veut pas dire pas de cours. Les enfants suivent les leçons à distance et ont des devoirs envoyés à la maison par leurs professeurs.

    A La Sauvetat du Dropt, Amandine du Salon de Coiffure Manihair, peut garder boutique ouverte mais n’a pas une profession qui lui permette de mettre ses enfants à l’école malgré tout ouverte pour le personnel soignant et le personnel enseignant ! Résultat, Lina et Léo participent à la vie de leur maman tout en jouant et en faisant leurs devoirs. Les clients sont compréhensifs et s’amusent même de la présence des bambins qui sont patients et sages. Il n’en reste pas moins que les journées sont longues pour eux et que cette situation va se poursuivre puisqu’ils ne pourront pas aller au centre de loisirs au cours des quinze jours de vacances qui suivent pour les mêmes raisons de profession dîtes non essentielle !

     

     

  • Le sous-préfet Afif Lazrak en visite à La Sauvetat du Dropt

    Résumé de la rencontre de Germain Sauron et Jean-Luc Gardeau. Photos de Martine Brosse.

    Mercredi 7 avril après-midi, Jean-Luc Gardeau, Maire de La Sauvetat du Dropt, accompagné de Germain Sauron, 1er adjoint, Jean-Paul Mothes, 4ème adjoint et Martine Brosse, conseillère municipale, accueillaient le sous-préfet des arrondissements de Marmande et Nérac, Monsieur Afif Lazrak, en poste depuis septembre 2020.

    C’est dans la salle du conseil de la Mairie que Monsieur Gardeau lui présentait le village, un condensé de l’histoire passée et de la vie d’aujourd’hui avant de développer le projet d’acquisition du bien immobilier de Monsieur Simon Brugère en vue de la création d’un habitat partagé de type béguinage. Monsieur le sous-préfet approuvait ce projet qu’il dit être une belle opération de revitalisation du bourg. Pour assurer la faisabilité d’un tel investissement communal, Monsieur Afif Lazrak annonce une aide financière à auteur de 40 % et espère dès que possible une réunion de travail à ce sujet. Ce projet pourrait également s’accorder avec le programme appelé « Petite Ville de Demain » et un outil à disposition des collectivités locales dit Opération de Revitalisation du Territoire (ORT).
    La discussion se poursuivait au sujet du lien de la commune avec la CCPL. Monsieur le sous-préfet insiste sur la centralité de la commune de Miramont de Guyenne et la nécessité de création d’une Maison France Service actuellement en pourparlers au sein de la CCPL.

    Le groupe partait ensuite faire le tour du village avec un arrêt au multiservice P’tit Panier du Dropt et devant l’Agence Postale puis un circuit allant du Pont Roman à la Place du Prieuré où furent expliqués les prochains travaux de création d’un parking, puis la Prairie des Croquants, les stades de foot, la base de canoës, l’aire de jeu, l’école, la salle des sports, la Maison des Loisirs avant d’arriver devant les maisons Brugère dont il était question précédemment pour le projet de béguinage et enfin l’Avenue de Grammont et ses commerces.

    Monsieur le sous-préfet évoquait alors la question de la sécurité et l’intérêt de la mutualisation d’une police communale, à ce jour, seulement présente à Miramont de Guyenne sur notre territoire du Pays de Lauzun. Et enfin, la discussion portait sur le projet d’un PLU groupé avec Agnac, Peyrière, Puysserampion et peut-être Lachapelle. Il rappelait là, l’importance d’avoir un document d’urbanisme. Ce dont la municipalité est tout à fait consciente, le but étant de récupérer des parcelles proches de l’école oubliées dans la carte communale actuelle.

    La visite se terminait dans la bonne humeur et le sentiment d’une rencontre riche et constructive.

     

  • La CCPL a besoin de votre avis pour connaître les besoins des jeunes

    La Commission Culture de la Communauté de Communes du pays de Lauzun avec à sa tête Cécile Richard, adjointe à la mairie de Miramont de Guyenne, souhaite pouvoir trouver et se donner les moyens matériels, humains et financiers garantissant l’épanouissement de sa jeunesse, son ancrage local dans le temps et l’attractivité du pays de Lauzun.

    Un Comité Jeunesse a été constitué avec la priorité d’identifier les attentes des jeunes et de leur famille. Un questionnaire a été élaboré à cet effet.

    Diagnostic Jeunesse, votre avis nous intéresse

    Ce questionnaire a pour objectif de recenser et de connaitre les besoins des jeunes sur la Communauté des Communes du Pays de Lauzun, pour construire une politique jeunesse et la décliner en actions éducatives, sportives, culturelles, associatives, citoyennes, de loisirs…
    Quels sont vos attentes, vos préoccupations, votre manière de vivre, vos problématiques, vos loisirs, vos souhaits… ?
    Vous n’avez pas forcément les mêmes centres d’intérêt suivant votre âge ! Nous vous invitons donc à répondre de manière appropriée aux questions qui vous concernent.
    Nous nous adressons aux jeunes de l’Intercommunalité (un questionnaire en direction des 11-17 ans leur est réservé), à leurs parents, à leur famille, aux directeurs des établissements scolaires, aux associations, aux élus et à toutes personnes souhaitant partager un retour d’expériences professionnelles ou personnelles.

    Accéder au questionnaire en cliquant sur Diagnostic de la jeunesse