• La Sauvetat du Dropt, 542 habitants, 17 nationalités !

    Depuis quelques années dans notre petit village du nord Lot-et-Garonne, si la population repart sensiblement à la hausse, il faut noter qu’elle s’enrichit de multiples nationalités.

    Ces étrangers furent baptisés Gavaches lors des rencontres intitulées « La Sauvetat sans Frontière » ( en mars 2010 et 2011). En effet, c’est au cours du Moyen-Âge et en raison d’une forte baisse des populations dues aux guerres, aux famines ou à la peste qu’il fut fait appel à des gens venus d’ailleurs, généralement du Poitou ou de la Saintonge. Appelés péjorativement Gavaches au cours de cette lointaine époque, nous avions repris ce terme, clin d’œil à l’Histoire locale, mais de façon très amicale,

    Ce sont donc 17 nationalités qui se côtoient dans le village. Résidents permanents ou de passage pour quelques semaines de l’année dans leur résidence secondaire, ils ont en commun le choix d’une qualité de vie à la française. Dans notre espace rural, le bien-être, le calme et la proximité de la nature sont des atouts de choix recherchés et appréciés.

    Famille avec enfants scolarisés au sein du RPI Vallée du Dropt ou jeunes retraités, ils arrivent du Royaume-Uni, d’Irlande du Nord, de la Belgique, de la Suisse, des Pays-Bas, de l’Allemagne, de la Norvège et du Portugal mais aussi de continents plus éloignés avec les États-Unis, la Russie, l’Australie, le Japon, la Colombie ou l’Afrique du Sud. Un bel éventail de cultures que nous aimerions découvrir plus précisément… peut-être en les conviant pour une nouvelle soirée sans frontière …

  • L’Office de Tourisme du Pays de Lauzun lance la saison touristique en vidéo

    A année exceptionnelle, lancement de saison exceptionnel ! dixit l’OTPL

    Grâce à Radio Cool Direct, l’équipe dynamique de l’Office de Tourisme du Pays de Lauzun lance la saison touristique de façon virtuelle à l’aide d’une vidéo. Chacun y présente ses missions ou ses coups de cœur.
    Parmi les nombreuses animations citées, retrouvez les Soirées Gourmandes de La Sauvetat du Dropt présentées par Germain Sauron, à la fois 1er adjoint de la commune, membre du Comité des Fêtes et trésorier de l’OTPL.

    En bonus, la présentation des raconteurs en Pays de Lauzun avec Françoise pour les Fresques d’Allemans du Dropt, Monique et Jean-Paul pour respectivement le village et le château de Lauzun.

    Un lancement virtuel dans l’air du temps pour souhaiter un bel été à tous !

  • Le Comité des Fêtes s’active sur la Prairie des Croquants et recherche un pizzaïolo

    Retour vers le monde d’avant … c’est ce que le Comité des Fêtes de La Sauvetat du Dropt, sous la houlette de Peter Cain espère en préparant la Prairie des Croquants pour l’accueil des fameuses Soirées Gourmandes de la saison estivale. Ce samedi 29 mai aura vu la mise en place des guirlandes lumineuses et le montage du bar/local d’accueil des visiteurs.

    Concernant l’organisation de l’été, personne ne peut encore prédire si les mesures sanitaires imposées seront draconiennes au point d’empêcher la venue de tous les aficionados de bonne chère et d’ambiance guinguette.
    C’est donc avec de multiples questions mais une envie farouche de reprendre les animations que l’équipe réduite de ce jour de retrouvailles s’est mise à l’ouvrage.

    Pizzaïolo recherché

    Pour compléter les menus proposés d’un stand à l’autre, le Comité des Fêtes recherche un pizzaïolo ambulant. Qu’on se le dise !
    Pour tout renseignement, contactez Peter Cain au 06 20 78 15 20 ou Alain Crossoir au 06 88 36 17 27.

     

  • Info OTPL : le Pass Tourisme, passeport de découverte de notre région … pas seulement pour les touristes

    L’Office de Tourisme du Pays de Lauzun et plus largement le Pays Val de Garonne Guyenne Gascogne (V3G) informe les touristes comme les habitants des 107 communes du Pays V3G de la sortie d’un dépliant qui recense 38 réductions pour des offres touristiques du territoire.

    C’est quoi le Pass Tourisme en Pays V3G ?

    L’occasion de partir ou de repartir à la découverte de sa ville et de ses alentours ! Le passeport pour visiter les sites incontournables de la destination, votre compagnon tout au long de l’été.

    C’est le moment d’organiser des sorties en famille et entre amis à deux pas de chez soi et de profiter des activités en pleine nature : balade en vélo, balade en bateau et canoé, jeux gonflables sur l’eau, balade en calèche, découverte des jardins, visites guidées…

    Passez l’entrée des boutiques pour profiter de bons produits locaux (pruneaux, produits de canard gras, miels…) et des productions de vins AOP Côtes du Marmandais, AOP Côtes de Duras et AOP Buzet.

    Pour plus de visites, plus de bons produits et plus d’économies !

    Comment utiliser le Pass Tourisme en Pays Val de Garonne Guyenne Gascogne ?

    Sur présentation du Pass Tourisme à l’entrée des sites partenaires, le détenteur du Pass Tourisme et les personnes qui l’accompagnent bénéficient de l’offre privilégiée.

    Les réductions s’appliquent par foyer dans la limite de deux tarifs adultes et de trois tarifs enfants.

    Les avantages du Pass Tourisme sont effectifs du 1er juin 2021 au 30 septembre 2021, ils peuvent être utilisés en illimité.

    Où récupérer mon Pass ?

    A partir du 1er juin 2021 et ce jusqu’au 30 juin 2021, venez récupérer en exclusivité pour les habitants du PV3G votre Pass Tourisme GRATUITEMENT sur présentation d’un justificatif de domicile datant de moins de trois mois dans tous les Offices de Tourisme du PV3G.

    Après quoi, le pass tourisme sera disponible au prix de 2€ pour les habitants et les visiteurs.

    Découvrez tous les partenaires et réductions à partir du 1er juin 2021 à l’Office de Tourisme du Pays de Lauzun et profitez-en vite !

    Contact :
    Office de Tourisme du Pays de Lauzun via mel : tourisme@paysdelauzun.com

    Pour vous accueillir, 3 bureaux :

    BIT Lauzun – 5 rue Marcel Hervé – 47410 LAUZUN – Tel : 05 53 20 10 07

    BIT Miramont de Guyenne – 1 rue Pasteur – 47800 MIRAMONT DE GUYENNE – Tel : 05 53 93 38 94

    BIT Allemans du Dropt – 13 place de la Liberté – 47800 ALLEMANS DU DROPT (été) – Tel : 05 53 20 25 59

  • Lin oléagineux, une culture bleue nouvelle sur la commune

    Photos Isabelle et Agnès

    Si vos balades dominicales vous entraînent vers le Lac de l’Escourou, vous serez surpris et charmés de voir un champ aux belles nuances de vert et de bleu qui oscille au vent de mai.
    Cette culture observée sur une exploitation bio de La Sauvetat du Dropt est du lin. Non le lin qui servira à faire des textiles mais du lin oléagineux que vous pourrez consommer sous forme d’huile ou de graines alimentaires. Semé en début de printemps, sa croissance est rapide, ses racines nombreuses et puissantes améliorent la structure du sol. Il sera récolté en fin d’été.

    Pour admirer la finesse de cette plante et la délicatesse de la fleur, sachez qu’il faudra programmer votre sortie le matin car la floraison du lin est aussi éphémère que celle des coquelicots. Ses fleurs se fanent en milieu de journée, flétries par le soleil brûlant ou emportées par le vent. Une brièveté compensée par un renouvellement en continu sur plusieurs semaines.

  • A La Sauvetat du Dropt, Tom lutte contre la maladie de Lyme

    Comprendre la maladie de Lyme et soutenir l’Association Enfance Lyme & Co

    Anne Lesimple, infirmière, raconte aujourd’hui le quotidien d’une famille sauvetatoise dont un des enfants, adolescent maintenant, est atteint de la maladie de Lyme contractée à la suite d’une piqûre de tique. La famille ne souhaitant pas se dévoiler, les prénoms des enfants ont été modifiés.

    Suivront une explication sur la maladie et des conseils de prévention ainsi que l’affiche que vous retrouverez dans les commerces de La Sauvetat du Dropt pour soutenir l’association Enfance Lyme & Co.

    Anne témoigne

    « Ça a recommencé ! Mon corps s’est éteint … ».

    Tom, 14 ans, est un de mes jeunes patients. Ce jour-là, il rentre d’une sélection moto. Chrono, départ, le trou noir : réveil à terre rêves envolés … et ce n’est pas la première fois ! Mais cette fois-ci, l’enjeu était de taille. Son malaise l’oblige à renoncer à son rêve !

    « Si toute ma vie doit ressembler à ça, ce n’est pas la peine ! » Immense déception, immense désarroi : « J’ai l’impression de devenir fou dans ma tête ! » …

    Je connais son parcours de combattant. Enfant fragile, il est hospitalisé pour une hyperthermie en 2017. Grâce à la ténacité de ses parents et parce qu’aucun examen ne permettait de mettre un diagnostic sur ses troubles, ils demandent un test de la maladie de Lyme (parce qu’un autotest fait « en cachette » s’était révélé positif).

    Tom a de la chance dans cette histoire … beaucoup d’enfants ne sont pas pris au sérieux, passent pour des « bricoleurs », des enfants dans la lune et paresseux qui jouent la comédie du malaise et de la douleur pour se rendre intéressants. Mais ses parents l’ont cru et depuis, se battent pour lui.

    La vie de la famille est chamboulée ! Tout s’organise autour de la maladie de Tom. Son petit frère Paul, en bonne santé, lui, souffre de cette situation. Il aimerait tant pouvoir aider son grand frère, si souvent faible ou tordu de douleurs et sa maman aussi, si triste parfois.

    Car la réalité est très dure … Pour Tom, les symptômes se répètent : chutes de tension, fatigue chronique, fortes douleurs musculaires et articulaires, fièvre, convulsions, douleurs abdominales, déséquilibre de la thyroïde … autant de manifestations de la maladie qui impactent sa présence au collège par des absences fréquentes, notamment en raison de cette fatigue insoutenable qui est devenue chronique.  A la maison, il en résulte des chutes de vélo inexpliquées et récemment une chute de moto … « Comme si on avait débranché la prise !» dit-il.

    Et la ronde des spécialistes recommence : cardiologue, neurologue, endocrinologue … avec toujours la difficulté d’être pris au sérieux, l’impression de ne pas être comme les autres, l’obligation d’affronter le scepticisme voire les moqueries de certains médecins …

    Chaque famille se débrouille comme elle peut. Car d’autres enfants, et des adultes aussi, de plus en plus nombreux souffrent de cette maladie. Certains vont même à l’étranger pour consulter un médecin spécialiste Lyme (Allemagne, Suisse, Belgique, USA). Travail de fourmi pour une entreprise titanesque. Le parcours est long et pénible. Rien n’est gagné d’avance. Chaque avancée est une victoire même si elle est parfois de courte durée.

    C’est en cherchant encore et par eux-mêmes que les parents de Tom ont trouvé les coordonnées de l’association Enfance Lyme & Co. Grâce à cette association, ils ont pu trouver un médecin et partager leurs inquiétudes avec d’autres parents.

    Aujourd’hui, Tom et ses parents participent à la campagne de prévention pour faire connaître les risques liés aux piqûres de tiques et peut-être éviter à d’autres enfants d’être malades à leur tour.

    Ce vendredi 21 mai 2021, l’association Enfance Lyme & Co fait étape à La Sauvetat du Dropt en Lot-et-Garonne.

    UNE PANDÉMIE CHASSE L’AUTRE : L’ASSOCIATION ENFANCE LYME & CO SORT DE L’OUBLI LES ENFANTS ATTEINTS DE LA MALADIE DE LYME EN LANÇANT UNE CAMPAGNE DE PRÉVENTION A TRAVERS UN TOUR DE FRANCE VIRTUEL EN AQUARELLES (facebook.com/enfancelymeandco)

    C’est pourquoi ce vendredi 21 mai 2021, l’association Enfance Lyme & Co fait étape à La Sauvetat du Dropt en Lot-et-Garonne.

    Partie le 1er Mai de Dieppe en Seine-Maritime, cette campagne, après avoir traversé de nombreux départements, arrive en Lot-et-Garonne. Elle veut sensibiliser la population à la maladie de Lyme, maladie vectorielle à tique, qui reste à ce jour un terrible fléau, particulièrement chez les enfants.

    Aujourd’hui, pas de tests fiables en France, ni de traitements adaptés pour les formes persistantes, laissant des patients et des familles dans le désarroi et l’errance médicale … Pourtant, près de 120 000 nouveaux cas ont été déclarés officiellement dans notre pays au cours de ces deux dernières années par le réseau Sentinelle et Santé Publique France.

    On sait que les tiques sont présentes sur tout le territoire, que 47% des morsures déclarées au printemps dernier ont eu lieu dans des jardins privés. On trouve leur présence dans les forêts, les hautes herbes et même en altitude ou aux abords des plages. Un grand nombre d’entres elles sont infectées, porteuses de parasites ou de virus tel les borrélies responsable de la maladie de Lyme.

    Parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir, l’Association Enfance Lyme & Co invite chacun d’entre nous à adopter les bons gestes et les bons réflexes de façon précoce.

    Parlez-en autour de vous !


    Téléchargez les documents : Maladie de Lyme – Prévention des piqures de tiques et Tactique anti tique

  • 19 mai tant attendu ! Enfin du monde en terrasse aux Fées Gourmandises …

  • US Cyclo, entraînement d’un vétéran pour le Tour de France 2021

    Un comité de pilotage « Les éclaireurs du tour 2021 » lance une campagne auprès des maisons de retraite qui a pour thème « RE-SANTÉ VOUS ». L’EHPAD de la Madeleine à Bergerac y participe. Un des résidents est un sauvetatois bien connu pour sa passion du vélo et ses exploits cyclistes. C’est ce que nous explique le secrétaire de l’USS Cyclo Club Paulo Labattut qui a rendu visite à Simon Brugère.

    « Pour cette nouvelle édition des « Éclaireurs du Tour de France 2021 », des vélos spécifiques sont à la disposition des résidents volontaires pour effectuer quelques tours de pédale. Cependant, notre vétéran Simon BRUGERE, co-fondateur de l’USS CYCLO, considère que c’est pour « les vieux » alors que lui, fort de ses 94 printemps, enfourche allègrement son vélo fixé sur home trainer pour son quart d’heure d’entrainement quotidien !

    A son actif, rappelons que jeune retraité, il n’hésitait pas à grimper régulièrement le Pech De Berre à Aiguillon, avant d’aller affronter les différents cols pyrénéens depuis sa résidence secondaire à Argelès Gazost. Sans oublier son palmarès encore réalisé la veille de son entrée à l’EHPAD : parcourir annuellement la distance du tour de France soit 3500 kms !

    La participation à cette épreuve va avoir lieu entre le 26 MAI et le 25 JUIN, pour un périple partagé de 3383 kms. Prochainement, le compte rendu de ce chalenge audacieux. »

    En savoir plus sur « Les éclaireurs du Tour de France » – Une édition 2021 extraordinaire !

    Le projet : course virtuelle de vélo inter établissements qui reprend le parcours intégral du Tour de France 2021 soit 3383 kms à parcourir sur vélo indoor un mois avant le départ officiel.

    Les participants :

    • référents vélo formés dans chaque structure pour que le projet roule
    • résidents et professionnels

    Le challenge sportif :

    • les 9 établissements associent leur effort et leur motivation pour parcourir à eux tous 3383 kms entre le 26 mai et le 26 juin 2021. Soit 380 km chacun.
    • il serait important que chaque équipe puisse partager chaque jours la distance parcourue pour qu’ensemble le défi soit relevé.

    Le challenge animation : réaliser des projets culturels inclusifs autour des villes traversées en s’appuyant sur l’histoire de vie des résidents.

    Le Bonus Vivons Vélos : 1 km parcouru = 1 € versé à une association par AG2R La Mondiale. Vous pouvez rouler 3383 kms mais aller jusqu’à 5000 kms pour faire bénéficier l’association d’un chèque de 5000 € (Institut Curie ou Astrée en cours de sélection).

  • Enfin la réouverture du Bar-Tabac Les Fées Gourmandises !

    Les mesures gouvernementales autorisant la réouverture des terrasses, Céline, du Bar-Tabac-Restaurant Les Fées Gourmandises annonce la reprise du bureau de tabac, lundi 17 mai et celle du bar, mercredi 19 mai, en terrasse uniquement. Enfin un peu plus d’animation et de convivialité dans la Rue de Grammont !

     

  • Faune et flore de notre campagne admirées en cours de balades

    Les randonneuses du village nous offrent de belles photos de la faune et de la flore de la campagne prises en ce joli mois de mai. Fleurs aux couleurs éclatantes et aux formes variées, oiseau tout juste sorti du nid ou chevaux curieux au passage de marcheuses dans un chemin creux, les photographes se prénomment Martine, Agnès et Isabelle…

  • RUBRIQUE DE TATI SAUVETTE N°6 – MAI 2021

    Compte-rendu de réunion CCPL et réflexions de la conseillère municipale sauvetatoise Isabelle René alias Tati Sauvette ! Rubriques à retrouver dans la page dédié de votre site.

    ACTUALITÉ ENVIRONNEMENT
    Compte-rendu réunion de la commission environnement de la CCPL47 du 18 mars 2021

    Le budget de la CCPL 47 est à l’équilibre, pour le moment pas de déficit, mais de grosses dépenses nouvelles sont à prévoir pour permettre :

    – le ramassage généralisé en porte-à-porte des OM (Ordures Ménagères) ;
    – la mise en place de la TEOMI (Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères Incitative) ;
    – la mise en œuvre du tri à la source des bio déchets des foyers, avec toujours la problématique des centres bourgs.

    La gestion des déchets va impliquer des coûts supplémentaires qui pourraient impacter notre taxe d’enlèvement des ordures ménagères, d’où la nécessité de réduire leur volume.

    Enjeux : faire baisser le tonnage des Ordures Ménagères et effectuer un meilleur tri.

    Dépenses essentielles prévues sur l’année 2021

    – plus d’1/4 des foyers à doter en bacs avec le passage en porte-à-porte (PAP) généralisé d’ici l’année prochaine ;
    – achat d’un logiciel et fichier des foyers à constituer ;
    – camions à moderniser avec technologie embarquée pour réaliser l’application de la taxe incitative. Réflexion sur les choix à faire vu l’importance des coûts;
    – recrutement de 2 personnes : 1 personne pour généraliser le compostage, sensibiliser et animer les usagers. 1 autre chargée principalement de la constitution du fichier d’usagers en vue de la mise en œuvre de la tarification incitative.

    Problématique financement composteurs

    ValOrizon arrête de financer une partie du coût des composteurs. De ce fait, La CCPL ne peut plus offrir les composteurs à ceux qui suivent la formation.
    1200 composteurs ont déjà été distribués par la CCPL. Reste à doter 2200 foyers sur 3 ans. Un achat de 500 composteurs de 400 L est prévu en 2021 puis 700 chaque année jusqu’en 2023.
    2 choix de composteurs à proposer : avis de la commission, le prix à facturer à l’usager (avec ou sans formation) est fixé à 35 € pour le composteur bois et 25 € pour le modèle en plastique.

    Centres-bourgs/résidences : gestion tri à la source des bio déchets et solutions ordures ménagères/tri sélectif.

    Pour les Ordures Ménagères et le Tri des déchets recyclables, le choix du porte-à-porte a été fait. Mais ceci pose problème en centres-bourgs, notamment pour les communes de Miramont de Guyenne, La Sauvetat du Dropt (24 foyers concernés), Lauzun et Allemans du Dropt du fait de l’étroitesse des rues.
    Des solutions sont étudiées pour offrir aux foyers concernés un service de ramassage des ordures ménagères compatible avec la TEOMI (tarification incitative) : sacs poubelles prépayés, bacs à clé …

    Tri à la source des bio déchets – Extension des consignes de TRI

    Pour les déchets recyclables, l’extension des consignes de tri concernant les plastiques est reportée à juin 2022. Le centre de tri de Nicole étant vétuste, il ne peut absorber ce supplément de charge. La CCPL doit s’orienter vers un centre de tri sous contrat avec ValOrizon (Illats dans le 33 ou DRIMM dans le 82) en attendant que celui de Damazan soit opérationnel.
    Pour les bio déchets, un partenariat avec des associations de réinsertion est étudié pour apporter des solutions aux foyers ne pouvant mettre en place un compostage individuel ou collectif.

    Organisation

    Dans la nouvelle organisation de collecte des déchets il est prévu la levée des containers tous les 15 jours. Le compostage et l’extension de la consigne de tri pour les déchets recyclables diminueront le volume des OM. Ceci permettra de diminuer l’impact financier du ramassage.

    L’ECO-GESTE DU MOIS DE TATI SAUVETTE

    Nous voilà au cœur de ce joli mois de MAI au cour duquel s’activent les jardiniers. Illustration

    HALTE AU BRÛLAGE ! VIVE LE PAILLAGE !

    Lorsque l’on pratique le jardinage, il faut aussi penser prévention des déchets. Cette activité permet de recycler utilement les déchets qu’elle génère, que cela soit pour un jardin potager d’ornement, un verger ou nos pelouses. Nous avons tous compris les bienfaits du compostage.

    Le paillage est une solution idéale pour valoriser les déchets verts du jardin. Il est aussi plus facile à mettre en œuvre que le compostage. Le paillage est une technique qui consiste à recouvrir le sol de matières organiques pour le nourrir et le protéger. Vous pouvez appliquer cette technique partout dans votre jardin : au pied de vos haies, de vos arbres et arbustes, de vos massifs de plantes, autour des fruits et légumes du potager, dans vos plantes en pot ou en jardinières …

    Pourquoi pailler ?

    Le paillage présente de nombreux avantages. Il permet de :

    – garder la fraîcheur et maintenir l’humidité en été ;
    – protéger vos plantes des fortes gelées en hiver ;
    – empêcher les adventices (herbes indésirables) de pousser ;
    – améliorer la qualité de votre sol car votre paillage va se décomposer au fur et à mesure en humus, l’enrichir de nutriments et le rendre plus fertile. Le paillage va permettre de nourrir les plantations, de protéger votre sol du dessèchement ou du ruissellement et il permet de limiter les désherbages, dont le désherbage chimique, tout en vous évitant de l’achat d’engrais (déchets verts riche en azote).

    La technique est toute simple. Il suffit d’étaler le paillage en couche d’environ 5 cm. Directement sur le sol plutôt humide et préalablement désherbé (et enrichi en compost si vous en avez), lorsque le sol s’est réchauffé aux premières chaleurs printanières.
    N’oubliez pas de désherber avant de pailler et d’arroser avant et après avoir paillé autour de vos plantes, arbustes, arbres … Le paillis se décompose plus ou moins rapidement. Pensez à compléter régulièrement avec du nouveau paillis …

    Pour pailler, vous pouvez utiliser les feuilles mortes, les résidus de tonte, du broyat, vos déchets de cuisine (épluchures … ). L’idéal pour réaliser un paillis avec vos déchets de jardin, c’est de les broyer à l’aide d’un broyeur de végétaux. Si vous n’en avez pas, vous pouvez passer la tondeuse sur vos déchets séchés préalablement étalés, vous obtiendrez un très bon paillis !

    Recommandations : ne jamais enfouir le paillis et préférez du paillage sec. Sachez que les tontes fraiches attireraient les nuisibles comme les limaces. Limitez l’épaisseur pour éviter d’offrir un abri aux rongeurs.
    Les tailles de cyprès et thuyas sont toxiques. Utilisez-les dans les allées et réservez les aiguilles de pin pour les plantes de terre de bruyère.

    Pour aller plus loin : réduisez vos déchets de jardin en privilégiant des végétaux à croissance lente pour vos haies. Laissez une partie de vos espaces verts naturels en jachère pour favoriser la biodiversité. Installez des hôtels à insectes. Laissez en place des fagots de branchages pour offrir l’abri à une faune locale.

    Vous l’avez compris le paillage et le compostage sont des alternatives au brulage !

    LE BRULAGE EST INTERDIT CIRCULAIRE 18-11-2011

    Et oui ! Dans nos campagnes, il est difficile de comprendre cette interdiction parce que nous avons de l’espace et de l’air pur ! Comment imaginer que nos petits feux de jardin puissent être polluants et donc interdits ! Aussi voyons-nous souvent des volutes de fumées s’élever dans les airs tels des signaux qu’enverraient des indiens d’Amérique réfugiés dans nos régions !!!

    Voici quelques photos prises récemment autour de chez nous pour exposer le problème.

    Alors que faire de nos déchets de taille ou autre gros déchets verts ?

    direction déchetterie ! Facile pour ceux qui ont voiture et remorque ou facile pour ceux qui peuvent se payer un jardinier qui évacue ces déchets. Pour les autres … peut-être faire appel à la solidarité du voisinage ou de la famille. Restons positifs !
    – Limiter la production des déchets en prenant le temps de les réduire en broyat qui sera utilisé pour composter puis pailler.

    La CCPL et votre municipalité réfléchissent à plusieurs pistes dont celle d’un broyeur itinérant à l’échelle de la communauté des communes, ou pour notre commune celle d’un service à la carte de ramassage en porte-à-porte communal. Tout est à inventer, à étudier …

    A BIENTÔT ! ET N’OUBLIEZ PAS … LE MEILLEUR DÉCHET EST CELUI QUE NOUS NE PRODUISONS PAS !!!

  • Info CCPL : réduisons, trions et recyclons !

    Article repris intégralement sur la page de la Commission Environnement et Agriculture de la Communauté de Communes du Pays de Lauzun.

    Entre les ordures ménagères, les conteneurs de tri et les déchèteries, un Lot-et-Garonnais produit chaque année 638 kg de déchets*. C’est beaucoup ! Alors, comment mettre nos poubelles au régime ?

    *la moyenne nationale est de 568 kg et la moyenne régionale à 674 kg

    Solution n° 1 : Faire le tri dans ce qu’on achète

    Quand on fait les courses, on n’oublie plus d’emporter des sacs réutilisables.
    On laisse de côté les produits très emballés et jetables (lingettes, vaisselle à usage unique, serviettes en papier…).
    On préfère les produits en gros conditionnement ou en vrac, au détail ou à la coupe, les recharges plutôt que les nouveaux bidons pour la lessive par exemple…

    Pour limiter encore plus les emballages, plusieurs magasins proposent même à leurs clients d’apporter ses propres contenants pour acheter des produits en vrac. Excellente solution pour viser le zéro déchet !

    Du côté du mobilier, de l’électroménager ou des équipements multimédia, l’objectif est d’acheter pour faire durer. Autrement dit, d’opter pour des produits fiables et réparables, porteurs de labels environnementaux.

    D’ailleurs pourquoi tout acheter neuf quand on peut trouver beaucoup d’objets (vêtements, jouets, multimédia…) d’occasion sur le web ou dans un dépôt vente ?

    Enfin, pas besoin de tout acheter. La tendance est au DIY (Do It Yourself). En fabriquant vous-même certains produits, vous évitez de jeter bien des emballages en plastique notamment.

    Et pour le ménage, privilégiez des ingrédients d’origine naturelle (vinaigre banc, citron, savon noir, bicarbonate de soude) pour ne plus avoir à acheter autant de produits ménagers souvent vendus dans des contenants en plastique.

    Télécharger les infographies « Comment reprendre la main sur nos consommations » et « Comment garder nos objets plus longtemps »

    Solution n°2 : Ne rien gaspiller

    Fini le gaspillage alimentaire qui alourdit les poubelles. On jette un peu d’aliments tous les jours et au final cela représente 30 kg par personne et par an !
    Respectez les doses de produits ménagers, c’est moins de déchets (et de pollution !) à la clé. Sachez qu’utiliser trop de lessive ne lave pas mieux le linge mais encrasse plus vite le lave-linge.

    Utilisez le papier avec modération en imprimant recto-verso.

    Solution n°3 : Faire durer

    Beaucoup d’objets sont jetés alors qu’ils pourraient encore servir. Certains pourraient être réparés sans grands frais.

    Il existe de nombreux tutos sur Internet pour vous aider à réparer vous-même. Vous pouvez aussi participer à des ateliers de co-réparation (comme les Repair Café ou le Repair Tour) avec des professionnels qui vous guident et vous conseillent gratuitement.

    Retrouvez toutes les adresses utiles sur longuevieauxobjets.gouv.fr. Et n’oubliez pas que tout objet neuf ou d’occasion bénéficie d’un garantie légale.

    Télécharger l’infographie « Électroménager : comment éviter les pannes ? » – PDF – 150 Ko

    Solution n°4 : Avant de jeter, penser réemploi

    Le réemploi, ce sont toutes ces solutions qui permettent de donner une seconde vie aux objets dont on veut se débarrasser :

    • réutiliser : les tee-shirts usagés pour faire des chiffons, les bocaux pour les confitures, les boîtes à chaussures pour le rangement…
    • donner : si un objet ne vous sert vraiment plus, il peut encore faire des heureux ! Vêtements, meubles, électroménager, ordinateurs, téléphones, jouets… Apportés à une association caritative, ils seront rénovés et réparés pour servir à d’autres personnes ;
    • revendre : comme l’achat d’occasion, c’est un bon moyen de faire durer les objets. En plus, c’est bon pour le porte-monnaie !
      Découvrez toutes les adresses pour donner et vendre vos objets sur longuevieauxobjets.gouv.fr

    Solution n°5 : Valoriser tout ce qu’on peut

    Actuellement, plus de 3/4 des déchets dans nos poubelles d’ordures ménagères n’y ont pas leur place. Ils pourraient être valorisés en étant mieux triés, compostés ou apportés aux bons endroits.

    Les papiers et emballages : dans les bacs de recyclage !

    Cellulose, plastique, métaux, verre… ces matières peuvent être recyclées pour fabriquer de nouveaux produits. À condition de bien trier les emballages. C’est encore plus simple dans les secteurs où tous les plastiques se trient, y compris les pots de yaourt, les barquettes, les films et sacs… Lisez bien les consignes communiquées par votre mairie.

    Les déchets de cuisine et de jardin : au compostage ou dans les bacs de biodéchets.

    Le premier réflexe est bien sûr de ne pas jeter systématiquement des aliments encore consommables (fonds de casserole, fruits abîmés…). Tout ce qui reste (épluchures, parties abîmées, déchets verts…) peut ensuite être valorisé en fabriquant du compost, un engrais 100 % naturel et gratuit. Et pas besoin d’avoir un jardin ! Lombricomposteur, composteur collectif en pied d’immeuble ou dans son quartier : il y a toujours une solution, même en ville. Parallèlement, la collecte des biodéchets se développe, pour une valorisation sous forme de compost ou de biogaz. Peut-être est-ce déjà le cas chez vous ?

    Solution n° 6 : Déchets spécifiques : à chacun sa filière

    Après des travaux, un gros rangement ou une panne d’appareil, on se retrouve avec des déchets encombrants et pour certains dangereux pour la santé et l’environnement. La bonne nouvelle, c’est que la plupart disposent de filières spécifiques pour être traités et recyclés dans les meilleures conditions. Il suffit de les rapporter au bon endroit.

    • Les déchèteries pour déposer toutes sortes de déchets : les déchets encombrants (électroménager, meubles, gravats, pneus, cartons…), les déchets dangereux (piles, batteries, peinture…), les déchets verts (tontes, tailles de haies) ou encore des objets en métal.
    • Le service d’enlèvement des encombrants à domicile pour se débarrasser d’appareils électroménagers ou de meuble, sur demande, à jour fixe ou sur des points de regroupement, selon les communes.
    • Les dispositifs de collecte en magasin pour les piles, cartouches d’encre d’imprimantes, LED, lampes basse consommation et tube néon, appareils électriques et électroniques… À l’achat d’un appareil neuf, les magasins ont aussi l’obligation de récupérer l’ancien.
    • Les bornes textiles d’apport volontaire sur tout le territoire pour déposer les vêtements, le linge de maison, les chaussures usagées et la maroquinerie.
    • Les pharmacies pour rapporter les médicaments périmés ou les radiographies. Un doute ? Rendez-vous sur quefairedemesdechets.fr ! Plus de 850 types de déchets y sont référencés, ainsi que 50 000 points de collecte pour les valoriser.

    Pour aller plus loin

    Infographie : Ces objets qui pèsent lourd dans notre quotidien

    Comment réduire les pertes et gaspillages alimentaires ? Découvrez les solutions dans cette animation

    Réseau Compost Citoyen Nouvelle-Aquitaine – Réseau Compost Citoyen (reseaucompost.org)

    CF PDF : Guide pour aménager mon jardin zéro déchet

    infographie-manger-mieux-sans-dépenser-plus

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    Campagne de communication réalisée par Valorizon