• Les Gavaches se présentent au cours de La Sauvetat sans Frontière !

    Samedi 17 septembre, l’Association des Amis de la Sauveté conviait les nouveaux résidents sauvetatois à se présenter à travers leur pays ou leur région de France d’où ils sont originaires. C’est avec ces mots que Jacques Foglia, président de l’association, prenait la parole avant de céder la place à Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau qui souhaitait la bienvenue aux nouveaux résidents en leur donnant le nom de Gavache.

    Il était bien sûr indispensable de donner la définition de cette appellation si souvent utilisée dans le village de La Sauvetat du Dropt. Il faut remonter au Moyen-Âge entre le XII° et le XV° siècle pour retrouver ce terme employé pour désigner les étrangers venus de la Saintonge, du Poitou et de la Vendée alors qu’ils étaient appelés par les Seigneurs pour repeupler les régions ruinées par les guerres, les épidémies ou les famines. Comme l’expliquait Jean-Luc Gardeau, si ce terme était péjoratif à cette époque, il est repris aujourd’hui pour les gens venus d’ailleurs de notre village avec respect et de façon tout à fait conviviale. C’est ainsi qu’il leur souhaitait la bienvenue !

    Et la soirée commençait par les exposés Gavaches avec Diane venue de Kettering en Angleterre. Ville du Northamptonshire d’environ 66 000 habitants, qui a vu l’installation des Romains en raison de la présence de minerai de fer dans son sous-sol. Puis l’industrie s’est développée. La ferronnerie, la laine puis l’implantation d’usines dans lesquelles se fabriquaient des bottes et des chaussures. Commerces prospères pendant les guerres puisqu’on y fabriquait les bottes des soldats mais qui déclinaient jusqu’à fermer durant les années 70 en raison d’une importation de bottes et chaussures moins chères de l’étranger. Diane associait alors l’histoire des usines de chaussures de Kettering avec celle des usines de chaussures de Miramont de Guyenne qui connut le même au cours de la même période.

    Ensuite, Houria prenait la parole. Née à Paris dans le 13°, comme son nom ne l’indique pas, Houria, de père algérien et de mère belge, maman de 4 beaux garçons a décidé de se rapprocher de ses petits enfants bordelais. Jeune retraitée de l’enseignement, Houria qui aimait transmettre a finalement fui un métier qui ne ressemblait plus à celui qu’elle aimait tant. Installée à La Sauvetat depuis 2 ans, elle se consacre à sa passion pour la création et ouvrira les portes de son atelier d’art le dimanche 2 octobre. Peinture, modelage et céramique seront exposés. Il vous sera possible de vous exercer à une technique ou d’assister à une démonstration artistique.

    En suivant, départ pour les Pays-Bas avec Rinus, vêtu d’une chemise orange, couleur identitaire de son pays. Installé depuis quelques années sur une petite exploitation agricole sur laquelle il élève des moutons et produit du miel, Rinus raconte sa vie aux pays des digues et des tulipes, fait le tour des nombreux métiers qu’il a exercé pour en revenir toujours à sa passion qui est la musique. Il invitait d’ailleurs les spectateurs à reprendre les karaokés qu’il organise aux bar-tabac-restaurant des Fées Gourmandises dès le vendredi 30 septembre.

    Le voyage se poursuivait très loin puisque Lynda la britannique nous emmenait en Inde et plus précisément à Jaipur où elle exerçait pendant de nombreuses années le métier d’ergothérapeute. Métier difficile puisqu’elle côtoyait de nombreux meurtris de la vie, des handicapés souvent privés de plusieurs membres pour lesquels étaient fabriqués des tricycles adaptés.
    Venue il y a 16 ans en France pour visiter son frère qui vivait à Eymet, elle réalisait qu’il lui serait possible de vivre dans le secteur tout en poursuivant son rêve de travail en Inde. Après avoir restauré et vécu dans une maison à Lavergne, elle décidait de chercher un antre plus petit et cosy. C’est par hasard en emmenant son jeune teckel faire la connaissance d’une jeune chienne de même race chez ses boulangers vivant à La Sauvetat qu’elle entrait dans la maison où elle réside depuis maintenant 7 ans !

    Après les Pays-Bas, passage par la Belgique avec Léandre et Éléanore respectivement âgés de 13 et 11 ans. Un bel exposé où l’on apprenait la vie trépidante et festive de la ville de Liège où ils sont nés ainsi que leur frère et sœur avant de s’échapper vers la campagne française pour avoir une vie plus calme et équilibrée. Il y a 7 ans, c’est après avoir visité une trentaine de maisons en quelques jours que leurs parents Stéphanie et Hugues décidaient de poser leurs bagages à La Sauvetat. Depuis, ils ont créé la boutique de jeux Accordons-Nous et sillonnent marchés et fêtes locales pour des rencontres ludiques qui réunissent adultes et enfants.

    La soirée se poursuivait en accueillant Katia la Russe. Née à Moscou, fille et petite-fille de diplomate ayant décroché un diplôme d’architecte à Moscou puis ayant fait des études linguistiques à Genève où elle avait suivi ses parents, Katia, passionnée d’histoire d’art et d’architecture présentait les monuments de sa ville natale et les lieux qu’elle fréquentait en expliquant que malgré le rideau de fer, elle avait accès à un cinéma qui diffusait les films du monde entier où elle découvrait petite les Walt Disney puis plus tard, les œuvres de Fellini ou les westerns ! C’est à Genève qu’elle rencontrait son mari français et qu’après de nombreuses années de voyage à bord d’un voilier, le couple posait ses valises à La Sauvetat grâce à la découverte de la région par un ami lot-et-garonnais.

    Puis, une « vieille » Gavache se levait à la grande surprise de son époux pour raconter à l’assemblée le pourquoi de sa vie sauvetatoise. Régine, jeune fille de La Roquille en Gironde, racontait le jour de ses fiançailles avec Jean-Pierre, Jojo pour les intimes, et la question souvent posée des deux familles : « A quand le mariage ? » à laquelle était inlassablement répondu « Nous ne savons pas !« .
    Mais 15 jours après, Jojo le boucher revenait voir sa belle alors secrétaire chez un notaire pour lui dire : « Il faut que l’on se marie ! J’ai acheté une boucherie à La Sauvetat !« .
    C’est ainsi que Régine dévoilait aux spectateurs des photos de mariage et de leur jeunesse. Elle en profitait pour justifier une démarche parfois hésitante dans les rues du village, non pas due à un état d’ivresse mais à la maladie de Parkinson.

    La soirée se terminait par un retour au Royaume-Uni avec le couple formé de Jo-Ann et Doug. Né en Écosse où il résidait jusqu’à l’âge de 17 ans avant de s’engager dans la Marine Royale, Doug rencontrait Jo-Ann en Angleterre. Ils ont déménagé plusieurs fois de la Cornouaille plus au centre du pays et montrait de belles photos de campagne vallonée et verdoyante ainsi qu’une ruine de château magnifique. C’est avec le désir de vivre en France au sein d’une communauté sans être isolés à la campagne qu’ils posaient leurs valises dans le village de La Sauvetat, dans la belle maison renaissance de l’Avenue de Grammont où ils accueillent des touristes dans leurs magnifiques chambres d’hôtes de la Maison de la Tour.

    Après avoir écouté ces morceaux de vies, les spectateurs se dirigeaient vers une table garnie de douceurs faîtes par les Gavaches suivant les traditions du pays qu’ils représentaient. Une belle découverte de saveurs très appréciée tandis que d’autres allaient observer les objets installés sur les tables où le fin service à thé en porcelaine britannique côtoyait le samovar russe, où les tabliers de boucher se dressaient derrière les sabots de Hollande et où trônait bien sûr la photo de la Reine Elizabeth d’Angleterre …

    Jacques Foglia reprenait la parole pour remercier les participants, parler du plaisir de cette rencontre et annoncer que d’autres dates seraient programmées pour apprendre à connaître les Gavaches, ces gens venus d’ailleurs résider dans notre village.

  • L’US Cyclo rencontre les grands du Tour de France à Rocamadour !

    Résume du périple de l’US Cyclo Club du secrétaire Jean-Paul Labattut dit Paulo. Photos de Paulo et Régine Goulard. Si vous souhaitez rejoindre le groupe, contactez le secrétaire au 06 59 49 45 89 ou via labattut.jeanclaude@bbox.fr

    Samedi 23 juillet, la vingtième étape du Tour de France et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agissait de l’avant dernière épreuve et de plus d’un contre-la-montre entre Lacapelle-Marival et Rocamadour avant de clôturer sur les Champs-Elysées à Paris.
    Depuis le mois de décembre dernier, nous avions réservé un hébergement à proximité pour participer à cet événement.

    Vendredi 22 juillet, dès 7h30, Alain, Hervé, Alphonse, Jean-Claude, Jean-Michel et Paulo sont réunis à La Sauvetat pour affronter les quelques 150 kms qui nous séparent de Rocamadour.
    A midi, petite pause sympathique à Vézac sur les bords de la Dordogne où Régine, Jacqueline, Guislaine et Louise nous rejoignent pour la restauration.

    Première étape sans difficulté majeure réalisée, puis, pendant que nos accompagnatrices, profitant des merveilles de la Dordogne se dirigent vers Les Milandes pour visiter le château de Joséphine Baker, nous filons vers Souillac.
    Nos 6 cyclistes, toujours en forme, attaquent la dernière partie du circuit jusqu’à Martel quand apparaissent les lacets montants jusqu’à destination. L’accueil chaleureux de nos hôtes nous aident à surmonter la difficulté des derniers kilomètres.

    Le grand jour arrive. Malgré la foule considérable, nous assistons, bien placés, au passage des concurrents. Leur mine respective en dit plus long qu’un grand discours sur la difficulté du circuit et leur troisième semaine de course qui s’achève. Seul Jonas Vingegaard franchit la ligne d’arrivée avec le sourire. A cet instant, grâce aux oreillettes, il savait déjà qu’il avait remporté le Tour de France 2022 !

    Après cette journée quand même harassante, nous voici réunis autour d’une bonne table et les forces restantes nous autorisent une bonne belote avant de nous coucher.

    Dès le dimanche matin, Jean-Claude, Jean-Michel et Alphonse, les plus costauds, reprennent le chemin du retour sur leur vélo tandis que nous partons en voiture pour une balade touristique, d’abord en visite du Gouffre de Padirac, puis retour Rocamadour, mais cette fois-ci, à la découverte de son château puis de la vieille ville dont la particularité est d’être plus verticale que plate !

    Le soir venu, nous ne résistons pas à la curiosité en refaisant « en voiture » une partie du circuit qu’avaient empruntés la veille les coureurs. Cela nous confirme amplement le mérite de ces professionnels qui ont effectué le circuit à près de 50 km/h de moyenne !!!

  • Visite insolite et sympathique

    Toujours prêt à rendre compte des événements du village de La Sauvetat du Dropt qu’il entretient en tant qu’employé municipal, Aurélien nous envoie une belle photo d’un attelage insolite qu’il a réceptionné devant les ateliers municipaux ce vendredi 22 juillet. Les occupants de la roulotte, à la recherche d’un endroit tranquille, ont été dirigés vers la paisible aire de camping-car où ils se sont installés avec leurs bagages et quelques poules pour joindre l’utile à l’agréable.

    L’histoire ne dit pas d’où ils arrivent et où ils vont, simplement qu’ils n’ont pas de but précis et qu’ils s’arrêtent là où les petites routes de campagne les entraînent ! Un style de vie bohème dont on rêverait pour échapper aux tracasseries du quotidien. Après tout, il suffit juste de le décider …

  • Le Rando-Moto-Quad-Monteton sillonne les chemins du village

    Photos prises sur la page Facebook du Rando Moto Monteton – Officiel.

    Organisé jeudi 14 juillet par le responsable sauvetatois Christophe Corain, les motards du Rando Moto Monteton se donnaient rendez-vous jeudi 14 juillet pour un circuit sillonnant les routes et chemins du village. Malgré la chaleur caniculaire du moment, cette journée n’avait pas été annulée par la Préfecture.

    Le parcours se scindait en deux au niveau des points sensibles, à savoir des difficultés d’accès que certains purent passer haut la main alors que d’autres se trouvaient en mauvaise posture mais soutenus et aidés par une équipe postée aux endroits stratégiques.

    La situation imprévue du jour, pas forcément agréable sur le moment, fut de croiser dès le matin tôt un groupe de randonneurs à pied partis du village et empruntant une bonne partie du circuit dont un étroit chemin dans les bois du Beyla. Heureusement, l’épreuve sportive n’est pas une compétition et les chauffeurs de motos ou de quads ralentirent à leur approche.

    La rando se terminait au Charly chez Gérard Delamarre qui ouvre sa prairie chaque année pour l’occasion. Le groupe se retrouvait pour partager apéritif et pique-nique et commenter les anecdotes du jour.

  • « Réalise ton Big Dream », une conférence-débat ce samedi 2 juillet

    Anne Lesimple, infirmière libérale et conseillère municipale de La Sauvetat du Dropt recevra Sophie LION, qui est aussi sa belle-fille, pour une conférence-débat à l’occasion de la sortie de son livre « Demande à l’univers et réalise ton BIG DREAM » le samedi 2 juillet dans son antre baptisé « Le Séchoir ».

    En savoir plus sur Sophie LION

    Aujourd’hui très active et reconnue, Sophie qui perd son emploi de directrice marketing aux US en 2008 revient à Bordeaux, sa ville natale, avec sa famille où elle connaîtra une longue période de dépression et de doute. Après avoir monté une épicerie fine en ligne, c’est finalement un livre donné par une amie qui servira d’électrochoc à Sophie « Plus malin que le diable », de Napoléon Hill. C’est donc à l’âge de 40 ans que Sophie suit de nombreux coachings qui lui servent de thérapie. Après une retraite au Japon avec des Coachs Internationaux, elle décide ensuite d’oublier ses peurs et de passer à l’action pour aider un maximum de personne.
    Sophie aime inspirer les autres. Elle donne des cours dans les écoles de commerces Kedge, Inseec …, des conférences, des séminaires et participe à de nombreuses actions pro en tant que bénévole. Sa passion est d’aider à clarifier la vision de celles qui font appel à ses services, à devenir plus efficace et à gagner en leadership !

    « Sa mission est d’impacter et d’inspirer plus de 100 000 femmes à développer une entreprise profitable au service de leur vie.
    Sophie est franco-américaine. elle met son expérience d’entrepreneuriat en France et aux USA, de Coach Professionnel Certifié ICF International, d’investisseuse en immobilier rentable, auprès de ces femmes, les aidant à relier Business, Abondance, Spiritualité et Unicité. »

    Conférence-Débat

    Pour rencontrer Sophie LION et débattre de sa vision de la vie entrepreneuriale, rendez-vous au Séchoir chez Anne Lesimple à La Sauvetat du Dropt le samedi 2 juillet à 18h30. Il faut s’inscrire auprès de Anne au 06 81 85 99 26.

  • Reprise des Soirées Gourmandes de l’été – Détail des stands

  • L’Art Voyageur en Vallée du Dropt, les œuvres sont exposées jusqu’à fin juin


    C’est sur l’impulsion de l’Office de Tourisme des Pays de Lauzun et de Duras ainsi que de l’Office Culturel du Pays de Duras que débute, ce samedi 30 avril, l’événement de l’Art Voyageur en Pays du Dropt.

    Pour notre village de La Sauvetat du Dropt, l’artiste Sarah Wjuniski a choisi de tricoter sur le Pont Roman. Pour rajouter de la couleur dans le paysage et mettre en lumière ce bel élément du patrimoine.

    8 artistes – 9 lieux en Vallée du Dropt !

    – Duras
    – Moulin de Cocussotte, Saint Pierre sur Dropt
    – Moulin du Dropt, Monteton
    – Maison Marguerite Duras – Au Platier, Pardaillan
    – Halle aux grains, Allemans du Dropt
    Pont Roman, Sauvetat du Dropt
    – Église Sainte Marie, Miramont de Guyenne
    – Église Notre Dame, Bourgougnague
    – Lac de Lauzun

  • Naissances en série chez le fils chéri de Régine !

    En septembre 2021, nous présentions Pascal et Paul Jolibert, « fils et petit-fils chéris » de Régine et de Jean-Pierre Jolibert, anciens bouchers de La Sauvetat du Dropt.
    Pascal, éleveur de chevaux durant ses moments de loisirs, participe aux concours d’élevage « allure et beauté » du pur-sang arabe depuis qu’il a acquis une poulinière en cadeau d’anniversaire issue de l’élevage de Cathy Le Bihan de St Jean de Duras.

    Cette année, Régine annonce deux naissances dans l’écurie de son fils. La première, née le 15 mai, est une pouliche appaloosa baptisée Airjee Cooper Al Iinqadh. Il faut comprendre RJ pour Régine et Al Iinqhad pour La Sauvetat 😉
    Et la seconde, une belle surprise, la progéniture d’une autre jument appaloosa que Pascal a ramené l’année dernière de Monclar pour faire de la balade. Finalement, il l’avait remise en vente jusqu’à ce qu’un dimanche matin, surprise inattendue et explication de l’embonpoint de la bête, il l’a trouve en train de pouliner ! Arrivé juste à temps pour rompre la poche des eaux et accompagner la naissance, Pascal voit son cheptel s’agrandir d’une jolie pouliche baptisée Mystic qu’il gardera très certainement.

    Amir Al Iinqhad se qualifie pour Vichy

    Le 26 mai, Pascal participait au Concours d’élevage des Hauts de France à Demuin dans la Somme avec Amir Al Iinqadh, cheval arabe mâle âgé de 2 ans. Il termine premier de sa catégorie et se qualifie pour le championnat de France qui aura lieu à Vichy (03) au mois d’août. Un concours allure et beauté pour la race cheval arabe catégorie endurance.

    Félicitations pour ce beau travail et ces superbes chevaux dont nous suivrons le parcours grâce à Régine qui ne manquera pas de nous informer.

  • Service de bus depuis l’aéroport de Bergerac

    Une info du site de l’aéroport de Bergerac communiquée par la communauté britannique du village. Le service de bus entre Bergerac et Marmande via Eymet et St Pardoux-Isaac démarre des gares de Bergerac ou de Marmande. Le coût de ces transports est minime.

    BONNE NOUVELLE !

    Nouveauté cette année la région Nouvelle Aquitaine met en place 3 lignes de bus au départ où l’arrivée de l’aéroport !

    Ci-dessous les lignes de bus :

    • Bergerac – Périgueux : Ligne 3 : Bergerac/Périgueux
    • Bergerac – Eymet – Marmande : Ligne 4 : Bergerac/Eymet/Marmande
    • Bergerac – Issigeac – Villeneuve-sur-Lot : Ligne 4A : Bergerac/Issigeac/Villeneuve-sur-Lot

    Chacune de ces lignes passe par la gare SNCF de Bergerac.
    Pour profiter de ces lignes, il faut impérativement réserver avant 17h la veille de votre déplacement.
    Le trajet coûte uniquement 2€30
    RÉSERVATIONS AU : 0970 870 870 (appel non surtaxé).
    Plus d’informations ici : https://transports.nouvelle-aquitaine.fr/cars-regionaux

    GOOD NEWS!

    New this year, the Nouvelle Aquitaine region is putting in place 3 bus lines from or to Bergerac airport !

    Below are the bus routes:

    • Bergerac – Périgueux : Line 3 : Bergerac/Périgueux
    • Bergerac – Eymet – Marmande : Line 4 : Bergerac/Eymet/Marmande
    • Bergerac – Issigeac – Villeneuve-sur-Lot : Line 4A : Bergerac/Issigeac/Villeneuve-sur-Lot

    Each of these lines passes through the SNCF station in Bergerac.
    To take advantage of these lines, you must book before 5pm the day before your trip.
    The journey costs only 2€30
    RESERVATIONS BY PHONE: 0970 870 870 (not surcharged)

    More info on https://transports.nouvelle-aquitaine.fr/cars-regionaux

  • Balade équestre d’un groupe en visite sauvetatoise

    Aperçus ce dimanche 22 mai une quinzaine de chevaux et leurs cavaliers invités par le couple Francis et Christine Charlot de La Sauvetat du Dropt. Peu de photos pour ce passage cependant remarqué par de nombreux sauvetatois qui ont pris du plaisir à les regarder passer. Celles-ci sont de Monsieur le Maire Jean-Luc Gardeau qui se trouvait à proximité de leur lieu de départ.

  • Une étape de l’Art Voyageur en Vallée du Dropt

    Article et photo de Patricia Paties-Cassol, correspondante du Journal Sud-Ouest – Parution du 22 mai sous le titre « Le Pays de Lauzun, étape de l’Art Voyageur, une itinérance artistique.« 

    « Programmé jusqu’au 30 juin, l’Art voyageur en Vallée du Dropt avait rendez-vous en Pays de Lauzun. Samedi 14 mai, cette itinérance artistique calquée sur la Véloroute s’est arrêtée à Lauzun. Une vingtaine de personnes, venue à vélo ou à pied, s’est retrouvée au lac devant la sculpture de Xarli Zurell, pour démarrer le parcours jusqu’à Bourgougnague.

    À l’église Saint-Laurent, sont à découvrir les originales œuvres de Quentin Faugeras, inspirées par l’art pariétal et rupestre (visibles les samedis et dimanches en mai et du vendredi au dimanche en juin).

    Un point café avait été organisé par l’Office de tourisme du Pays de Lauzun avant que les divers partenaires ne prennent la parole. Jean-François Blanchet, président de l’Office de tourisme de Duras, partenaire de cette itinérance, et sa collègue Sylvie Farbos pour l’Office du Pays de Lauzun, les élus Émilien Roso, Daniele Dhelias se sont tous félicités de cette opération qui ne peut être que bénéfique pour les deux pays, en faisant valoir les sites et les paysages en y associant ainsi la culture, tant pour les touristes que pour les locaux. Les deux pays étant particulièrement bien adaptés à un tourisme familial et maintenant possiblement sportif avec le cheminement de la véloroute. »

    9 sites et 9 œuvres à découvrir entre Pays de Lauzun et Pays de Duras – Jusqu’au 30 juin
  • Scène des artistes rallongée sur la Prairie des Croquants

    Photos de Amélie Boisseaux, nouvellement élue secrétaire du Comité des Fêtes.

    Suite à l’Assemblée Générale de début mai, les bénévoles du Comité des Fêtes, les jeunes, et même très jeunes, ont sorti leurs outils pour rallonger la scène de la Prairie des Croquants. Une évidence, de l’avis du président Peter Cain et de son second Alain Crossoir. Les musiciens des groupes accueillis sont souvent nombreux et avaient jusque là du mal à se caser, eux et leur matériel de sonorisation. Une initiative que n’a pas manqué de saluer Aurélien, employé municipal du village, qui viendra, comme chaque année, avec son groupe de rap Les As du Mic.

    Il y a 10 ans déjà …

    Pendant le repas pris en commun, les anciens de l’association ont évoqué les débuts des Soirées Gourmandes. C’était en 2012, 10 ans déjà, sur une initiative de Marc Lesimple aujourd’hui disparu, que le Comité des Fêtes recevait une centaine de visiteurs sur ce bel espace vert que la Municipalité baptisera plus tard Prairie des Croquants. A ce moment-là, le dance floor était du gazon et la scène, un simple plateau de camion !
    Des souvenirs qui prêtent à sourire quand on sait qu’aujourd’hui, ce sont entre 500 et 800 personnes qui viennent chaque vendredi soir se restaurer et profiter de l’ambiance guinguette du lieu.